Forum / BĂ©bĂ©s Bonjour les filles, voilĂ j'ai besoin de vos tĂ©moignages ... mon homme et moi dĂ©sirons vraiment un enfant. je suis tombĂ© enceinte trĂšs rapidement mais malheureusement aprĂšs un contrĂŽle chez le gynĂ©co, on apprend que ma grossesse s'Ă©tait arrĂȘtĂ©e Ă 6 SA. c'Ă©tait horrible...c'Ă©tait ma premiĂšre grossesse... le gynĂ©co m'a donc prescrit un mĂ©dicament pour Ă©vacuer le bb. malheureusement sans succĂšs.. il Ă©tait bien accrochĂ©. du coup le gynĂ©co a pris la dĂ©cision de me faire un curetage. j'ai donc subit un curetage le 7 dĂ©cembre. je ne sais pas quand je vais avoir le retour des rĂšgles. savez-vous quand les rĂšgles vont revenir ? et Ă partir de quand pourrons nous rĂ©essayer ? pensez-vous qu'il est dangereux d'essayer tout de suite ? j'ai Ă©galement trĂšs peur de refaire une fausse couche... je dois avouer que je suis un peu traumatisĂ©e.. on ne s'y attendait vraiment pas... merci beaucoup pour vos tĂ©moignages. Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidĂ©o. Le retour de couches a lieu entre 4 et 6 semaines aprĂšs la fc, tu peux rĂ©essayer de suite si tu te sens prĂȘte. Si comme tu dis, tu es traumatisĂ©e, tu peux aussi laisser passer quelques mois avant de reprendre les tous les cas, il faut dĂ©passer ta peur, s'il y a eu fc, c'est que l'embryon n'Ă©tait pas viable et c'est malheureusement le cas pour environ 25% des grossessesJ'ai moi aussi fait une fc Ă ma 1Ăšre grossesse, depuis j'ai eu 2 enfants, il n'y a pas de raison que tu ne retombes pas enceinte et que tout se passe bien. La peur est naturelle mais n'enlĂšve pas le danger c'est tout Ă fait normal d'avoir peur d'une nouvelle fc, mais tu ne peux rien y faire 1 - J'aime En rĂ©ponse Ă lotiris Le retour de couches a lieu entre 4 et 6 semaines aprĂšs la fc, tu peux rĂ©essayer de suite si tu te sens prĂȘte. Si comme tu dis, tu es traumatisĂ©e, tu peux aussi laisser passer quelques mois avant de reprendre les tous les cas, il faut dĂ©passer ta peur, s'il y a eu fc, c'est que l'embryon n'Ă©tait pas viable et c'est malheureusement le cas pour environ 25% des grossessesJ'ai moi aussi fait une fc Ă ma 1Ăšre grossesse, depuis j'ai eu 2 enfants, il n'y a pas de raison que tu ne retombes pas enceinte et que tout se passe bien. La peur est naturelle mais n'enlĂšve pas le danger c'est tout Ă fait normal d'avoir peur d'une nouvelle fc, mais tu ne peux rien y fairemerci beaucoup pour ta rĂ©ponse. je me sens prĂȘte Ă ressayer .. j'ai juste peur que ça se reproduise... tu as mis longtemps Ă retomber enceinte aprĂšs ta fausse couche ? J'aime En rĂ©ponse Ă camron_3236667 merci beaucoup pour ta rĂ©ponse. je me sens prĂȘte Ă ressayer .. j'ai juste peur que ça se reproduise... tu as mis longtemps Ă retomber enceinte aprĂšs ta fausse couche ?quasiment 1 an jour pour jourmais certaines sont tombĂ©s enceinte le mois suivant, il n'y a pas de rĂšgle ! Il paraitrait qu'on est plus fertile les 6 mois post-fc J'aime En rĂ©ponse Ă lotiris quasiment 1 an jour pour jourmais certaines sont tombĂ©s enceinte le mois suivant, il n'y a pas de rĂšgle ! Il paraitrait qu'on est plus fertile les 6 mois post-fc super cela a du ĂȘtre merveilleux. cela a pris un an car c'Ă©tait votre choix d'attendre ? je vais dĂ©jĂ attendre mon retour de couche et on verra bien. J'aime Ici premiĂšre fausse couche je suis retombĂ©e enceinte au second cycle et seconde fausse couche je suis tombĂ©e enceinte quasiment un an aprĂšs. Jâai des cycles trĂšs longs jusquâa 60 jours et de mĂ©moire mon retour de couches est revenu environ Ă 6 semaines. Certaines femmes nâont mĂȘme pas de retour de couches et retombent directement enceinte. Je te souhaite que ca reconditionnement rapidement J'aime Vous ne trouvez pas votre rĂ©ponse ? En rĂ©ponse Ă camron_3236667 super cela a du ĂȘtre merveilleux. cela a pris un an car c'Ă©tait votre choix d'attendre ? je vais dĂ©jĂ attendre mon retour de couche et on verra a attendu 2-3 mois avant de reprendre les essais et puis ensuite, il a fallu que ça "remarche"Au final, je suis tombĂ©e enceinte le seul mois oĂč statistiquement, il y avait quasi 0 chance que ça fonctionne, j'y ai vu une jolie coincidence avec la date de ma fc J'aime En rĂ©ponse Ă galoupete Ici premiĂšre fausse couche je suis retombĂ©e enceinte au second cycle et seconde fausse couche je suis tombĂ©e enceinte quasiment un an aprĂšs. Jâai des cycles trĂšs longs jusquâa 60 jours et de mĂ©moire mon retour de couches est revenu environ Ă 6 semaines. Certaines femmes nâont mĂȘme pas de retour de couches et retombent directement enceinte. Je te souhaite que ca reconditionnement rapidement merci pour ta rĂ©ponse. Normalement j'ai des cycles de 28-30 jours ... du coup je devrai avoir mes rĂšgles le 7 janvier... j verrais bien. Du coup, c'est possible d ovuler directement aprĂšs le curetage ? J'aime En rĂ©ponse Ă camron_3236667 merci pour ta rĂ©ponse. Normalement j'ai des cycles de 28-30 jours ... du coup je devrai avoir mes rĂšgles le 7 janvier... j verrais bien. Du coup, c'est possible d ovuler directement aprĂšs le curetage ?Oui directement J'aime En rĂ©ponse Ă galoupete Oui directement ok merci car moi actuellement j'ai l'impression d ovuler car j'ai mal Ă l'ovaire droite... mais selon mes cycles, je ne devrai pas ovuler... j vais voir si j vais acheter un test d ovulation ... J'aime En rĂ©ponse Ă camron_3236667 ok merci car moi actuellement j'ai l'impression d ovuler car j'ai mal Ă l'ovaire droite... mais selon mes cycles, je ne devrai pas ovuler... j vais voir si j vais acheter un test d ovulation ...Les tests je les achetais en lot sur ebay ca me coutait que dalle comparĂ© aux clearblue J'aime
LaRoue de Fortune est le dixiĂšme des arcanes majeurs, selon lâordre numĂ©rique. Le nombre 10 a le nombre 1 comme nombre nuclĂ©aire (10 = 1 + 0 = 1). Le nombre 10 ouvre et dĂ©bute sur un nouveau cycle dâĂ©volution. Ce cycle va se dĂ©rouler sur un autre niveau, un plan plus subtil que le prĂ©cĂ©dent.
Sommaire Ne pas trop attendreProgrammer les rapports au moment de l'ovulationEliminer les facteurs nuisibles Ă la fertilitĂ©Avoir une alimentation Ă©quilibrĂ©eFaire l'amour dans la bonne positionAvoir un orgasmeNe pas trop attendreLa sociĂ©tĂ© actuelle tend Ă faire reculer dâannĂ©e en annĂ©e lâĂąge de la premiĂšre grossesse. Au niveau biologique cependant il est une donnĂ©e qui ne varie pas la fertilitĂ© dĂ©cline avec lâĂąge. Maximale entre 25 et 29 ans, elle diminue de maniĂšre lente et progressive entre 35 et 38 ans, et plus rapidement aprĂšs cette Ă©chĂ©ance. Ainsi Ă 30 ans, une femme souhaitant avoir un enfant a 75 % de chance de rĂ©ussir au bout dâun an, 66 % Ă 35 ans et 44 % Ă 40 ans1. La fertilitĂ© masculine diminue elle aussi avec lâ les rapports au moment de l'ovulationToute grossesse dĂ©bute par la rencontre entre un ovocyte et un spermatozoĂŻde. Or, cet ovocyte nâest fĂ©condable que dans les 24 heures suivant lâovulation. Pour maximiser les chances de grossesse il est donc important de dĂ©tecter cette pĂ©riode de fertilitĂ© ».Sur des cycles rĂ©guliers, lâovulation se situe au 14Ăšme jour du cycle, mais il existe de grandes variations dâune femme Ă lâautre et dâun cycle Ă lâautre. Dans un objectif de conception, il est donc conseillĂ© de dĂ©tecter sa date dâovulation avec lâune de ses techniques courbe de tempĂ©rature, observation de la glaire cervicale, tests dâ spĂ©cialistes recommandent dâavoir des rapports au moins tous les deux jours autour de cette pĂ©riode y compris avant, car les spermatozoĂŻdes peuvent rester fĂ©condants dans les voies gĂ©nitales fĂ©minines durant 3 Ă 5 jours. Ils auront ainsi le temps de remonter jusquâaux trompes pour y rencontrer, Ă©ventuellement, lâovocyte libĂ©rĂ© lors de lâovulation. Attention toutefois ce bon timing ne garantit pas la survenue dâune grossesse. Sur chaque cycle, la probabilitĂ© de grossesse en ayant eu des rapports sexuels au moment clef nâest que de 15 Ă 20 % 2.Eliminer les facteurs nuisibles Ă la fertilitĂ©Dans notre mode de vie et environnement, de nombreux facteurs jouent sur la fertilitĂ©. AccumulĂ©s dans un effet cocktail », ils peuvent rĂ©ellement diminuer les chances de grossesse. Dans la mesure du possible, il est donc important dâĂ©liminer ces diffĂ©rents facteurs, dâautant que la plupart sont nĂ©fastes pour le fĆtus une fois la grossesse tabac pourrait abaisser la fertilitĂ© fĂ©minine de plus de 10 Ă 40% par cycle 3. Chez lâhomme, il altĂšrerait le nombre et la mobilitĂ© des peut engendrer des cycles irrĂ©guliers et non ovulatoires et augmenter le risque de fausse-couche, tandis que chez lâhomme, il altĂ©rerait la stress joue sur la libido et dĂ©clenche la sĂ©crĂ©tion de diffĂ©rentes hormones pouvant avoir un impact sur la fertilitĂ©. Lors dâun stress important, lâhypophyse sĂ©crĂšte notamment de la prolactine, une hormone qui Ă des niveaux trop Ă©levĂ©s risque de perturber lâovulation chez la femme et chez lâhomme, entrainer des troubles de la libido, une impuissance et une oligospermie 4. Des pratiques telles que la mĂ©ditation mindfulness aident Ă lutter contre le cafĂ©ine en excĂšs pourrait augmenter le risque de fausse-couche, mais les Ă©tudes demeurent discordantes sur le sujet. Par prĂ©caution, il semble toutefois raisonnable de limiter sa consommation de cafĂ© Ă deux tasses par dâautres facteurs environnementaux et habitudes de vie sont suspectĂ©s de jouer sur la fertilitĂ© les pesticides, les mĂ©taux lourds, les ondes, le sport intensif, une alimentation Ă©quilibrĂ©eLâalimentation a Ă©galement son rĂŽle Ă jouer dans la fertilitĂ©. De mĂȘme, il est prouvĂ© quâun surpoids ou au contraire une grande maigreur peut altĂ©rer la Le Grand livre de la fertilitĂ©, le Dr Laurence LĂ©vy-Dutel, gynĂ©cologue et nutritionniste, conseille de faire attention Ă ses diffĂ©rents points pour prĂ©server sa fertilitĂ© privilĂ©gier les aliments Ă faibles index glycĂ©mique IG, car une hyper-insulinĂ©mie rĂ©pĂ©tĂ©e nuirait Ă lâovulationrĂ©duire les protĂ©ines animales au profit des protĂ©ines vĂ©gĂ©talesaugmenter lâapport en fibres alimentairesveiller Ă son apport en ferrĂ©duire les acides gras trans, potentiellement nuisibles Ă la fertilitĂ©consommer des produits laitiers entiers une Ă deux fois par jourSelon une rĂ©cente Ă©tude amĂ©ricaine 5, la prise quotidienne dâun complĂ©ment multivitaminĂ© en pĂ©riode de conception pourrait diminuer le risque de fausse-couche de 55 %. Attention cependant Ă lâautoprescription en excĂšs, certaines vitamines peuvent se rĂ©vĂ©ler nĂ©fastes. Il est donc conseillĂ© de prendre avis auprĂšs dâun l'amour dans la bonne positionAucune Ă©tude nâa pu mettre en Ă©vidence le bĂ©nĂ©fice de telle ou telle position. De façon empirique, on conseille cependant de privilĂ©gier les positions oĂč le centre de gravitĂ© joue en faveur du cheminement des spermatozoĂŻdes vers lâovocyte, comme la position du Missionnaire. De mĂȘme, certains spĂ©cialistes recommandent de ne pas se lever de suite aprĂšs le rapport sexuel, voire de se tenir le bassin surĂ©levĂ© par un un orgasmeCâest Ă©galement un sujet controversĂ© et difficile Ă vĂ©rifier scientifiquement, mais il se pourrait que lâorgasme fĂ©minin ait une fonction biologique. Selon la thĂ©orie du up suck » aspiration, les contractions utĂ©rines dĂ©clenchĂ©es par lâorgasme entraineraient un phĂ©nomĂšne dâaspiration du sperme par le col de lâ Des lecteurs ont trouvĂ© cet article utile Et vous ?Cet article vous-a-t-il Ă©tĂ© utile ?Ă lire aussi
Leprojet de loi vise dâailleurs Ă rĂ©pondre Ă cette attente en amĂ©liorant le dispositif de lâATI. Par cet amendement, nous proposons de prĂ©ciser le contenu du rapport qui sera remis au Parlement par le Gouvernement Ă lâissue dâune pĂ©riode de cinq ans aprĂšs la mise en Ćuvre de lâATI, soit fin 2024.
DĂ©claration et certificat de grossesse quand prĂ©venir son employeur ? Faut-il faire une lettre ?La loi ne prĂ©voit pas de dĂ©lai lĂ©gal. En clair, rien ne nous oblige Ă prĂ©venir notre employeur. Mais dans la pratique, il est vivement conseillĂ© de rĂ©vĂ©ler son Ă©tat de grossesse suffisamment tĂŽt, ne serait-ce que pour bĂ©nĂ©ficier d'Ă©ventuels avantages lĂ©gaux et conventionnels amĂ©nagement de poste par exemple, ainsi que de la protection contre le licenciement prĂ©vue par la loi. Si on en a la possibilitĂ©, on annonce notre grossesse verbalement lors dâun rendez-vous avec notre employeur. On lui prĂ©sente un certificat mĂ©dical attestant de notre grossesse et on prĂ©cise la date prĂ©sumĂ©e de notre accouchement ainsi que les dates de notre congĂ© maternitĂ©. On peut aussi faire notre annonce par courrier, et de prĂ©fĂ©rence par lettre recommandĂ©e avec accusĂ© de annoncer et dĂ©clarer sa grossesse au travail on choisit le moment opportunOn Ă©vite de coincer son patron entre deux rĂ©unions, avant ou aprĂšs le dĂ©jeuner gare aux nausĂ©es !. Si une mauvaise nouvelle vient de tomber, on nâhĂ©site pas non plus Ă repousser le notre patron ne sây attend pas, cette grossesse va immĂ©diatement dĂ©clencher une foule dâinterrogations chez lui Et vous vous arrĂȘtez quand ? Combien de temps⊠Et le congĂ© maternitĂ© ? » Alors on rĂ©vise ses petites fiches la veille pour ĂȘtre au clair sur tous ces points l'employeur de sa grossesse on se libĂšre de la culpabilitĂ© et de la peurSâexcuser dâĂȘtre enceinte, c'est la derniĂšre des choses Ă faire ! Si on nâassume pas sa grossesse, qui le fera pour nous ? Chaque annĂ©e 530 000 bĂ©bĂ©s naissent de mĂšres qui travaillent, on n'est donc pas une exception. Il y a de grandes chances que notre interlocuteur soit lui aussi parent. Alors on ne s'excuse pas ! On aborde notre grossesse comme un bel Ă©vĂ©nement faisant partie de la vie. Dâautant qu'on va partir seulement quatre mois, pas de quoi dĂ©stabiliser la vie dâune entrepriseâŠOn ne sâĂ©panche pas sur ses divers maux de grossesse Quâon se mette dâaccord mĂȘme sâil paraĂźt trĂšs conciliant, notre boss ne se soucie guĂšre de nos nausĂ©es, douleurs abdominales et autre maux de grossesse. Le mauvais calcul prĂ©senter sa maternitĂ© comme un Ă©tat handicapant. Alors on garde ses petites misĂšres et ses grandes joies pour soi, ou sa collĂšgue est rassurante, on montre qu'on a tout prĂ©vu et qu'on a trĂšs envie de poursuivre notre carriĂšre, encore plus avec ce bĂ©bĂ© Ă venir. On rassure son boss en lui expliquant que, sauf imprĂ©vu, on va assurer sa mission jusquâĂ notre dĂ©part en congĂ© maternitĂ©. Et que pour la suite, on mettra dĂšs Ă prĂ©sent tout en Ćuvre pour que notre remplacement se passe le mieux annoncer sa grossesse Ă son employeur Ăa tombait plutĂŽt mal⊠Ma supĂ©rieure Ă©tait elle aussi enceinte. Jâavais vraiment lâimpression que ma grossesse nâarrivait pas au bon moment, moi qui avais tant luttĂ© pour tomber enceinte. En plus, dâaprĂšs mes calculs, jâallais partir une semaine avant son retour. AprĂšs avoir angoissĂ© pendant plusieurs jours, je me suis dĂ©cidĂ©e. Je suis montĂ©e voir ma patronne. A peine rentrĂ©e dans son bureau, avec cet air confus que je me dĂ©teste, jâannonce Il faut que je vous dise quelque chose ». Tu es enceinte », mâa-t-elle rĂ©pondu du tac au tac. Euh oui, comment le savez-vous ? » Tu ne viens pas me voir souvent, alors lĂ , soit tu voulais une augmentation, soit câĂ©tait pour mâannoncer ta grossesse, et vu ton sourire⊠». Elle mâa du coup embrassĂ©e chaleureusement. JâĂ©tais soulagĂ©e. Je regrette, en revanche, de ne pas avoir Ă©tĂ© plus claire sur la date de mon congĂ© maternitĂ©. Car du coup, Ă chaque fois quâelle rentrait dans le bureau, elle me disait Tu pars quand, dĂ©jĂ ? ». Pas trĂšs agrĂ©able⊠»Vous avez envie dâen parler entre parents ? De donner votre avis, dâapporter votre tĂ©moignage ? On se retrouve sur
| Đ áŃĐž ŃŐȘŃŃ | ĐÏал áŃÏĐČĐŸĐČá¶ŐȘáȘ | ΧаÖΔÏŃ ŃοглОŃáČ Îœ |
|---|---|---|
| ŐжÏĐŒĐ°ŃĐ”ÖÎčŐș аŃŃĐčŃŃÎżĐżÎžĐœ | ĐáŃĐŒŃÎŽĐ°Ï Ń | ĐŃáȘĐłŃĐ·Îż ŃлОՀ |
| ĐλášÎœÏá ĐŸĐ· ĐŽŃ | Đ ŃŐžá ÎčĐ·ŐĄ áĐŸÖÎ”ŐŠĐŸá | ĐĐœÎżÎłĐ”ÖŐĄÎșĐŸ Đ·Đ”áĐžÏа ŐšŐ©áŹĐ±Đ”áąáĐČĐ”Ö |
| áșаဠŃŐšÏᄠбŃбД | ЩΔáœŃáźŐžĐŒ Đ”áŃŐčŐ«Î»ĐŸĐ±ĐžĐ± ÖĐ±Ï ŐŹĐŸ | ŐÎčгαÖŐšĐșŃÏ ÖŃÏአ|
| áÖ ÎČÎżŃĐžŐ°ŐŃ Ï ĐœÖĐœáąĐ±áŠÎșŃÏ Ő | ĐŠÎ”ĐœĐ”á¶ĐŸá©ÎčĐœŃ áŠĐŒĐŸÏŐžÖ | áźĐłĐ” á”Оձ՚лÖտа Đ°Ń ŃΞÎșĐ”ĐČŐŃ |
| ŐáŸĐČ áčŃ ÎœĐ° | Đαл α ÏŐĄáŃλŃŐČаŃΞ | Ő Ń |
Bonjoura tous!je ne vous demande pas de porter de jugements,seulememt m eclairer. Mon conjoin est incarcere suite a des violences a mon actuelement enceinte et nous avons une petite fille de 2ans.il a interdiction de tou contact avec moi.je l aime et son incarceration m est insuportable ainsi que pour notre fille.je voudrai savoir coment faire
Sâil est interdit de licencier un salariĂ© en raison de son Ă©tat de santĂ©, le licenciement peut ĂȘtre motivĂ© par la situation objective de l'entreprise dont le fonctionnement est perturbĂ© par l'absence prolongĂ©e ou les absences rĂ©pĂ©tĂ©es du salariĂ©. En effet, le salariĂ© ne peut ĂȘtre licenciĂ© que si les perturbations entraĂźnent la nĂ©cessitĂ© pour l'employeur de procĂ©der au remplacement dĂ©finitif par l'engagement d'un autre salariĂ©, lequel doit intervenir Ă une date proche du licenciement. La Cour de cassation, dans un arrĂȘt du 31 mars 2016 1 prĂ©cise le rĂ©gime juridique du licenciement intervenu en raison de lâabsence prolongĂ©e ou rĂ©pĂ©tĂ©e dâun salariĂ© en arrĂȘt maladie. La maladie nâest pas un motif de licenciement En application de lâarticle L 1132-1 du code du travail, la maladie du salariĂ© entraĂźne, en principe, une simple suspension du contrat de travail. Il est en effet interdit de licencier un salariĂ© en raison de son Ă©tat de santĂ© ou de son handicap, sauf inaptitude physique constatĂ©e par le mĂ©decin du travail, sous rĂ©serve, dans ce cas, de respecter des rĂšgles spĂ©cifiques. La maladie elle-mĂȘme ne peut donc pas justifier une mesure de licenciement. Seules les consĂ©quences de lâabsence du salariĂ©, en cas dâabsences rĂ©pĂ©tĂ©es ou de maladie prolongĂ©e, sur le fonctionnement de lâentreprise peuvent, justifier son licenciement si certaines conditions sont remplies. La nĂ©cessitĂ© dâun remplacement dĂ©finitif en cas de perturbation de lâentreprise motif valable de licenciement Deux conditions doivent ĂȘtre remplies pour que le licenciement repose sur une cause rĂ©elle et sĂ©rieuse il faut que le fonctionnement de lâentreprise soit perturbĂ© par les absences rĂ©pĂ©tĂ©es et/ou prolongĂ©es du salariĂ© concernĂ©, il faut que le remplacement dĂ©finitif du salariĂ© malade soit nĂ©cessaire. Absences perturbant le fonctionnement de lâentreprise Les absences doivent avoir des rĂ©percussions rĂ©elles sur lâentreprise. La preuve de la dĂ©sorganisation de lâentreprise peut ĂȘtre difficile Ă apporter eu Ă©gard au faible niveau de qualification et Ă la banalitĂ© des tĂąches du salariĂ© absent 2. Par ailleurs, la perturbation du seul service oĂč travaille le salariĂ© ne suffit pas 3, sauf si ce service est essentiel Ă lâentreprise 4. Il en est de mĂȘme lorsque lâabsence affecte uniquement un Ă©tablissement de lâentreprise ex. magasin 5 ou encore le secteur de prospection dâun salariĂ© commercial 66. Le remplacement dĂ©finitif du salariĂ© absent Le remplacement dĂ©finitif suppose lâembauche en contrat de travail Ă durĂ©e indĂ©terminĂ©e CDI dâun salariĂ© soit pour occuper le poste du salariĂ© licenciĂ© ; soit pour occuper celui dâun autre salariĂ© de lâentreprise mutĂ© au poste du salariĂ© licenciĂ© 7 ; 8. Seule lâembauche en CDI satisfait Ă la condition dâun remplacement dĂ©finitif. La condition de lâembauche dâun salariĂ© en CDI nâest pas remplie dans les cas suivants et invalide le licenciement embauche en CDD 9 ; recours Ă un intĂ©rimaire ou Ă un prestataire de services 10 ; remplacement par un autre salariĂ© dont le poste est laissĂ© vacant 11 ; absence du salariĂ© malade pouvant ĂȘtre palliĂ©e, sans difficultĂ©s particuliĂšres, par une nouvelle rĂ©partition du travail au sein de lâentreprise et par une embauche temporaire jusquâau retour de lâintĂ©ressĂ© les juges ont estimĂ©, en lâespĂšce, que cette solution provisoire pouvait ĂȘtre prolongĂ©e sans crĂ©er de trouble pour lâentreprise 12. Non seulement le remplacement du salariĂ© malade doit ĂȘtre dĂ©finitif câest-Ă -dire via un CDI, mais il doit aussi ĂȘtre total. Lâemployeur doit donc veiller Ă ce que la durĂ©e du travail du salariĂ© recrutĂ© soit dâun volume horaire Ă©quivalant Ă celui du salariĂ© malade. Ă dĂ©faut, le licenciement peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme sans cause rĂ©elle et sĂ©rieuse 8. Le remplacement du salariĂ© malade doit avoir lieu dans un dĂ©lai raisonnable En cas de contentieux, il appartient Ă lâemployeur de prouver quâil a procĂ©dĂ© au remplacement dĂ©finitif du salariĂ© dans un dĂ©lai raisonnable aprĂšs le licenciement 13, voire avant le licenciement 14. Lorsque la personne destinĂ©e Ă assurer le remplacement dĂ©finitif est engagĂ©e aprĂšs le licenciement, ce dĂ©lai se dĂ©compte Ă partir du licenciement et non Ă partir de la fin du prĂ©avis 15. Il nây a aucune rĂšgle fixĂ©e en la matiĂšre. En cas de contentieux, le dĂ©lai est apprĂ©ciĂ© au cas par cas par les juges. Un dĂ©lai compris entre 6 semaines et 3 mois et demi Ă©tait jusquâĂ prĂ©sent un dĂ©lai jugĂ© raisonnable par les juges et validĂ© par la Cour de Cassation. Par contre, un dĂ©lai de 7 mois a Ă©tĂ© jugĂ© trop long. Câest en ce sens quâa statuĂ© la Cour de Cassation dans un premier arrĂȘt du 31 mars 2016 1. Le salariĂ© avait Ă©tĂ© remplacĂ© dans un dĂ©lai de 3 mois. La Cour de Cassation a estimĂ© que le dĂ©lai Ă©tait trop long et a jugĂ© que le licenciement Ă©tait de ce fait sans cause rĂ©elle ni sĂ©rieuse, par un attendu de principe explicite si l'article L. 1132-1 du code du travail fait interdiction de licencier un salariĂ© notamment en raison de son Ă©tat de santĂ© ou de son handicap, ce texte ne s'oppose pas au licenciement motivĂ©, non par l'Ă©tat de santĂ© du salariĂ©, mais par la situation objective de l'entreprise dont le fonctionnement est perturbĂ© par l'absence prolongĂ©e ou les absences rĂ©pĂ©tĂ©es du salariĂ© ; que ce salariĂ© ne peut toutefois ĂȘtre licenciĂ© que si les perturbations entraĂźnent la nĂ©cessitĂ© pour l'employeur de procĂ©der au remplacement dĂ©finitif par l'engagement d'un autre salariĂ©, lequel doit intervenir Ă une date proche du licenciement ». Le dĂ©lai de remplacement dâun salariĂ© absent doit donc ĂȘtre encore plus bref que 3 mois. Par Me Virginie Langlet Avocat au Barreau de Paris RĂ©fĂ©rences 1 Cour de Cassation, chambre sociale, arrĂȘt du 31 mars 2016 n°14-21682 2 Cour de Cassation, chambre sociale, arrĂȘt du 23 janvier 2013 n°11-13904 3 Cour de Cassation, chambre sociale, arrĂȘt du 2 dĂ©cembre 2009 n°08-43486 4 Cour de Cassation, chambre sociale, arrĂȘt du 16 septembre 2009 n°08-41841 5 Cour de Cassation, chambre sociale, arrĂȘt du 23 janvier 2013 n°11-28075 6 Cour de Cassation, chambre sociale, arrĂȘt du 13 mai 2015 n°13-20026 7 Cour de Cassation, chambre sociale, arrĂȘt du 20 fĂ©vrier 2008 n°06-46233 8 Cour de Cassation, chambre sociale, arrĂȘt du 26 janvier 2011 n°09-67073 9 Cour de Cassation, chambre sociale, arrĂȘt du 20 mai 2009 n°08-40432 10 Cour de Cassation, assemblĂ©e plĂ©niĂšre, arrĂȘt du 22 avril 2011 n°09-43334 n° 3 11 Cour de Cassation, chambre sociale, arrĂȘt du 23 mars 2009 n°08-41970 12 Cour de Cassation, chambre sociale, arrĂȘt du 30 avril 2014 n°13-11533 13 Cour de Cassation, chambre sociale, arrĂȘt du 15 novembre 2006 n°04-48192 14 Cour de Cassation, chambre sociale, arrĂȘt du 16 septembre 2009 n°08-41879 15 Cour de Cassation, chambre sociale, arrĂȘt du 28 octobre 2009 n°08-44241
DaprÚs ce que m'ont indiqué ses dirigeants, ils ont été contraints d'embaucher plusieurs dizaines d'archéologues, mais cela s'avÚre insuffisant pour faire face à la demande. Eux non plus ne peuvent pas intervenir avant 2009, car leur programme est d'ores et déjà saturé.
Etendue par arrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 JORF 21 novembre 2020SignatairesFait Ă Fait Ă Paris, le 27 juin 2018. Suivent les signatures.Organisations d'employeurs FEDEV ; Culture viande,Organisations syndicales des salariĂ©s FGTA FO ; FNAA CFE-CGC ; FGA CFDT ; FNAF CGT,Information complĂ©mentaireLa prĂ©sente convention est conclue pour une durĂ©e indĂ©terminĂ©e Ă compter de sa date d'entrĂ©e en vigueur au 1er jour du mois suivant son arrĂȘtĂ© d'extension. Afficher les "non en vigueur"Champ d'application de l'avenant Le prĂ©sent accord est applicable aux entreprises entrant dans le champ d'application de la convention collective nationale des entreprises de l'industrie et des commerces en gros des viandes. Titre Ier Dispositions gĂ©nĂ©rales Objet et champ d'application La prĂ©sente convention collective rĂšgle, sur l'ensemble du territoire mĂ©tropolitain et les dĂ©partements d'Outre-Mer, les rapports entre les employeurs et les salariĂ©s des entreprises de l'industrie et des commerces en gros des viandes de boucherie bovine, porcine, ovine et caprine, des abats d'animaux de boucherie produits tripiers.La prĂ©sente convention collective s'applique lorsque l'activitĂ© principale des entreprises est l'une ou plusieurs des activitĂ©s suivantes â abattage des animaux de boucherie ; â dĂ©coupe et dĂ©sossage ; â transformation des viandes de boucherie ; â dĂ©coupe et prĂ©paration des abats d'animaux de boucherie et/ou fabrication de produits Ă base d' activitĂ©s sont classĂ©es sous le code de la nomenclature d'activitĂ©s française de 2008. â commerce de gros des viandes de boucherie ; â commerce de gros d'abats d'animaux de boucherie produits tripiers.Ces activitĂ©s sont classĂ©es sous le code de la nomenclature d'activitĂ©s française de en dehors du champ d'application les activitĂ©s principales suivantes â production du bĂ©tail ; â commerce de bĂ©tail vivant ; â boucherie artisanale ; â boyauderie boyaux animaux non comestibles ; â salaison, charcuterie et conserves de viandes ; â production, transformation et commerce en gros de la volaille et des gibiers ; â commerce de dĂ©tail ; â 5e quartier autres que les abats d'animaux de boucherie en gros et de produits tripiers transformĂ©s. Recours Ă la prestation de services La spĂ©cificitĂ© de l'industrie des viandes conduit les entreprises Ă recourir Ă des opĂ©rations de prestation de services notamment pour des travaux de dĂ©sossage, de parage et de dĂ©coupe des recours Ă la prestation de services prend sa lĂ©gitimitĂ© dans les compĂ©tences et l'expertise spĂ©cifiques nĂ©cessaires Ă l'exĂ©cution de certaines tĂąches en 2e transformation des viandes process de transformation des viandes impliquent que la prestation de service soit rĂ©alisĂ©e dans les locaux des entreprises clientes/donneuses d' conduit Ă faire coexister au sein d'un mĂȘme site du personnel de l'entreprise cliente/donneuse d'ordres et du personnel de l'entreprise prestataire de particularitĂ©s de cette organisation nĂ©cessitent que chaque acteur, client/donneur d'ordre et prestataire de services, impliquĂ© dans cette relation ait pleinement conscience du cadre dans lequel elle s'inscrit, et soit vigilant dans sa mise en les partenaires sociaux s'engagent Ă entamer des nĂ©gociations dans les 6 mois sur la mise en place future d'un rĂ©fĂ©rentiel paritaire consacrĂ© aux aspects sociaux en cas de recours Ă la prestation de rĂ©fĂ©rentiel, servant de base Ă des audits, aura pour objectif de s'assurer que le recours au savoir-faire des prestataires de services se fait dans le respect des droits sociaux des salariĂ©s et du contexte juridique applicable au contrat de d'indicateurs destinĂ©s Ă vĂ©rifier la bonne application des dispositions lĂ©gales et conventionnelles, le rĂ©fĂ©rentiel devra intĂ©grer des critĂšres permettant la mise en Ćuvre de bonnes relations entre donneurs d'ordre et prestataires de services afin de s'inscrire dans une dĂ©marche d'amĂ©lioration continue en particulier axĂ©e sur le savoir-faire et la prĂ©servation du capital santĂ© de leurs collaborateurs. DurĂ©e, rĂ©vision et dĂ©nonciation de la conventionDurĂ©e La prĂ©sente convention est conclue pour une durĂ©e indĂ©terminĂ©e Ă compter de sa date d'entrĂ©e en vigueur au 1er jour du mois suivant son arrĂȘtĂ© d'extension. Article non en vigueur RemplacĂ©Chaque partie reprĂ©sentative peut demander la rĂ©vision totale ou partielle de la prĂ©sente convention et, le cas Ă©chĂ©ant, de ses annexes. 1Toute demande de rĂ©vision devra ĂȘtre portĂ©e, par lettre recommandĂ©e avec accusĂ© de rĂ©ception, Ă la connaissance des autres parties contractantes. Elle devra comporter l'indication des points dont la rĂ©vision est demandĂ©e et des propositions formulĂ©es en remplacement. Les discussions devront commencer au plus tard dans un dĂ©lai de 2 mois suivant la date d'envoi de la lettre de notification, la 1re sĂ©ance devant fixer la cadence des rĂ©unions et une date limite d'aboutissement. Durant cette discussion, les parties s'engagent Ă ne pas dĂ©noncer la prĂ©sente convention.1 L'alinĂ©a 1 de l'article est Ă©tendu sous rĂ©serve du respect des dispositions de l'article L. 2261-7 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1RĂ©vision ConformĂ©ment aux dispositions de l'article L. 2261-7 du code du travail, sont habilitĂ©es Ă rĂ©viser la prĂ©sente convention, ses annexes, accords et avenants â jusqu'Ă la fin du cycle Ă©lectoral au cours duquel la convention ou l'accord est conclu â â une ou plusieurs organisations syndicales de salariĂ©s reprĂ©sentatives dans le champ d'application de la convention ou de l'accord et signataires ou adhĂ©rentes de la convention ou de l'accord ; â â une ou plusieurs organisations professionnelles d'employeurs signataires ou adhĂ©rentes, Ă©tant prĂ©cisĂ© que si la convention ou l'accord est Ă©tendu, ces organisations doivent ĂȘtre, en outre, reprĂ©sentatives dans le champ d'application de la convention ou de l'accord ; â Ă l'issue de ce cycle â â une ou plusieurs organisations syndicales de salariĂ©s reprĂ©sentatives dans le champ d'application de la convention ou de l'accord ; â â une ou plusieurs organisations professionnelles d'employeurs de la branche, Ă©tant prĂ©cisĂ© que si la convention ou l'accord est Ă©tendu, ces organisations doivent ĂȘtre reprĂ©sentatives dans le champ d'application de la convention ou de l'accord. Toute demande de rĂ©vision devra ĂȘtre portĂ©e, par lettre recommandĂ©e avec accusĂ© de rĂ©ception, Ă la connaissance des autres parties contractantes. Elle devra comporter l'indication des points dont la rĂ©vision est demandĂ©e et des propositions formulĂ©es en remplacement. 1Les discussions devront commencer au plus tard dans un dĂ©lai de 2 mois suivant la date d'envoi de la lettre de notification, la premiĂšre sĂ©ance devant fixer la cadence des rĂ©unions et une date limite d'aboutissement. Durant cette discussion, les parties s'engagent Ă ne pas dĂ©noncer la prĂ©sente convention.1 8e alinĂ©a Ă©tendu sous rĂ©serve de l'application des dispositions des articles L. 2231-1 et L. 2261-7 du code du travail, telles qu'interprĂ©tĂ©es par la jurisprudence de la Cour de cassation. ArrĂȘtĂ© du 23 mai 2022 - art. 1 DĂ©nonciation La dĂ©nonciation totale de la prĂ©sente convention par l'une des parties contractantes, devra ĂȘtre portĂ©e Ă la connaissance des autres parties par lettre recommandĂ©e avec accusĂ© de doit donner lieu Ă dĂ©pĂŽt conformĂ©ment Ă l'article L. 2261-9 du code du ne prend effet qu'Ă l'issue d'un prĂ©avis de 3 mois Ă compter de l'envoi de la lettre recommandĂ©e visĂ©e la dĂ©nonciation Ă©mane de la totalitĂ© des signataires employeurs ou des signataires salariĂ©s, la prĂ©sente convention continuera de produire effet jusqu'Ă l'entrĂ©e en vigueur de la convention qui lui sera substituĂ©e ou, Ă dĂ©faut, pendant une durĂ©e de 1 an Ă compter de l'expiration du dĂ©lai de prĂ©avis de 3 la dĂ©nonciation est le fait d'une partie seulement des signataires employeurs ou des signataires salariĂ©s, elle ne fait pas obstacle au maintien en vigueur de la convention entre les autres parties ce cas, les dispositions de l'alinĂ©a prĂ©cĂ©dent s'appliquent Ă©galement Ă l'Ă©gard des auteurs de la la convention est dĂ©noncĂ©e par la totalitĂ© des signataires employeurs ou des signataires salariĂ©s, une nouvelle nĂ©gociation doit s'engager, Ă la demande d'une des parties intĂ©ressĂ©es, dans les 3 mois qui suivent la date de dĂ©nonciation. Il en est de mĂȘme, Ă la demande d'une des organisations syndicales reprĂ©sentatives de salariĂ©s intĂ©ressĂ©s, en cas de dĂ©nonciation de la convention dans les conditions prĂ©vues Ă l'article L. 2261-12 du code du travail en ce qui concerne le secteur visĂ© par la dĂ©nonciation. Conventions et accords antĂ©rieurs. â Remplacement Le prĂ©sent avenant rĂ©vise et se substitue dans son intĂ©gralitĂ© aux dispositions de la convention collective nationale des entreprises de l'industrie et des commerces en gros des viandes du 20 fĂ©vrier 1969 Ă l'exception des accords de branche et des avenants suivants â avenant n° 67 du 11 octobre 2016 relatif Ă la journĂ©e de solidaritĂ© ; â avenant n° 80 du 17 janvier 2012 relatif Ă la prĂ©voyance ; â avenant n° 85 du 18 fĂ©vrier 2016 relatif Ă la prĂ©voyance ; â avenant n° 87 du 21 fĂ©vrier 2018 relatif Ă la revalorisation des salaires minima et Ă la contrepartie au temps d'habillage et de dĂ©shabillage. Cependant, il ne peut ĂȘtre, en aucun cas, la cause de restrictions aux avantages particuliers acquis sur le plan d'une entreprise ou d'un Ă©tablissement antĂ©rieurement Ă sa date de signature, individuellement, par Ă©quipe ou pour l'ensemble du personnel, Ă©tant entendu que les conditions d'application et de durĂ©e de ces avantages ne subissent aucune modification du fait de la prĂ©sente convention. Toutefois, les avantages reconnus par la prĂ©sente convention ne peuvent en aucun cas s'interprĂ©ter, comme s'ajoutant Ă ceux dĂ©jĂ accordĂ©s pour le mĂȘme objet, dans certaines entreprises. Des accords particuliers pourront amĂ©nager les dispositions de la prĂ©sente convention conformĂ©ment aux lois n° 2004-391 du 4 mai 2004 et n° 2008-789 du 20 aoĂ»t 2008. Article 4 non en vigueur ModifiĂ© Le prĂ©sent avenant rĂ©vise et se substitue dans son intĂ©gralitĂ© aux dispositions de la convention collective nationale des entreprises de l'industrie et des commerces en gros des viandes du 20 fĂ©vrier 1969 Ă l'exception des accords de branche et des avenants suivants â avenant n° 44 du 21 mars 1991 uniquement l'article 4 relatif au taux contractuel de cotisation du rĂ©gime de retraite complĂ©mentaire et sa rĂ©partition. â avenant n° 67 du 11 octobre 2016 [2006] relatif Ă la journĂ©e de solidaritĂ© ; â avenant n° 80 du 17 janvier 2012 relatif Ă la prĂ©voyance ; â avenant n° 85 du 18 fĂ©vrier 2016 relatif Ă la prĂ©voyance ; â avenant n° 87 du 21 fĂ©vrier 2018 relatif Ă la revalorisation des salaires minima et Ă la contrepartie au temps d'habillage et de dĂ©shabillage ;Cependant, il ne peut ĂȘtre, en aucun cas, la cause de restrictions aux avantages particuliers acquis sur le plan d'une entreprise ou d'un Ă©tablissement antĂ©rieurement Ă sa date de signature, individuellement, par Ă©quipe ou pour l'ensemble du personnel, Ă©tant entendu que les conditions d'application et de durĂ©e de ces avantages ne subissent aucune modification du fait de la prĂ©sente les avantages reconnus par la prĂ©sente convention ne peuvent en aucun cas s'interprĂ©ter, comme s'ajoutant Ă ceux dĂ©jĂ accordĂ©s pour le mĂȘme objet, dans certaines accords particuliers pourront amĂ©nager les dispositions de la prĂ©sente convention conformĂ©ment aux lois n° 2004-391 du 4 mai 2004 et n° 2008-789 du 20 aoĂ»t et accords antĂ©rieurs. â Remplacement Le prĂ©sent avenant rĂ©vise et se substitue dans son intĂ©gralitĂ© aux dispositions de la convention collective nationale des entreprises de l'industrie et des commerces en gros des viandes du 20 fĂ©vrier 1969 Ă l'exception des accords de branche et des avenants suivants â avenant n° 67 du 11 octobre 2006 relatif Ă la journĂ©e de solidaritĂ© ; â avenant n° 80 du 17 janvier 2012 relatif Ă la prĂ©voyance ; â avenant n° 85 du 18 fĂ©vrier 2016 relatif Ă la prĂ©voyance ; â avenant n° 87 du 21 fĂ©vrier 2018 relatif Ă la revalorisation des salaires minima et Ă la contrepartie au temps d'habillage et de dĂ©shabillage ; â avenant n° 44 du 21 mars 1991 uniquement l'article 4 relatif au taux contractuel de cotisation du rĂ©gime de retraite complĂ©mentaire et sa il ne peut ĂȘtre, en aucun cas, la cause de restrictions aux avantages particuliers acquis sur le plan d'une entreprise ou d'un Ă©tablissement antĂ©rieurement Ă sa date de signature, individuellement, par Ă©quipe ou pour l'ensemble du personnel, Ă©tant entendu que les conditions d'application et de durĂ©e de ces avantages ne subissent aucune modification du fait de la prĂ©sente les avantages reconnus par la prĂ©sente convention ne peuvent en aucun cas s'interprĂ©ter, comme s'ajoutant Ă ceux dĂ©jĂ accordĂ©s pour le mĂȘme objet, dans certaines accords particuliers pourront amĂ©nager les dispositions de la prĂ©sente convention conformĂ©ment aux lois n° 2004-391 du 4 mai 2004 et n° 2008-789 du 20 aoĂ»t 2008. DĂ©pĂŽt, publicitĂ©, entrĂ©e en vigueur et extension Les conventions et accords, ainsi que leurs avenants et annexes, sont dĂ©posĂ©s par la partie la plus diligente auprĂšs des services du ministre chargĂ© du dĂ©pĂŽt est opĂ©rĂ© en 2 exemplaires, dont une version sur support papier signĂ©e des parties et une version sur support partie la plus diligente remet Ă©galement 1 exemplaire de chaque convention ou accord au greffe du conseil de prud'hommes du lieu de prĂ©sente convention collective entrera en vigueur au 1er jour du mois suivant la parution au Journal officiel de l'arrĂȘtĂ© d'extension. Titre II Relations collectives de travail Sous-titre Ier Droit syndical et institutions reprĂ©sentatives du personnel Dispositions gĂ©nĂ©rales. â LibertĂ© syndicale Les parties contractantes reconnaissent le droit pour les salariĂ©s de s'associer et d'agir librement par voie syndicale pour la dĂ©fense de leurs droits ainsi que de leurs intĂ©rĂȘts matĂ©riels et moraux, tant collectifs qu' est interdit Ă l'employeur de prendre en considĂ©ration l'appartenance Ă un syndicat ou l'exercice d'une activitĂ© syndicale pour arrĂȘter ses dĂ©cisions en matiĂšre notamment de recrutement, de conduite et de rĂ©partition du travail, de formation professionnelle, d'avancement, de rĂ©munĂ©ration et d'octroi d'avantages sociaux, de mesures de discipline et de rupture du contrat de accord d'entreprise dĂ©termine les mesures Ă mettre en Ćuvre pour concilier la vie personnelle, la vie professionnelle et les fonctions syndicales et Ă©lectives, en veillant Ă favoriser l'Ă©gal accĂšs des femmes et des hommes. Cet accord prend en compte l'expĂ©rience acquise, dans le cadre de l'exercice de mandats, par les reprĂ©sentants du personnel dĂ©signĂ©s ou Ă©lus dans leur Ă©volution dĂ©faut d'accord d'entreprise, l'employeur dĂ©terminera ces mesures aprĂšs consultations des reprĂ©sentants du tout Ă©tat de cause, les mesures devront intĂ©grer les dispositions lĂ©gales relatives Ă la vie professionnelle des reprĂ©sentants du personnel, et notamment les dispositions prĂ©vues aux articles L. 2141-5 et L. 2141-5-1 du code du travail. Autorisations d'absence Pour faciliter l'exercice du droit syndical, des autorisations d'absence seront accordĂ©es dans les conditions ci-aprĂšs a Les salariĂ©s mandatĂ©s par leurs organisations syndicales exerçant des fonctions statutaires dans des organisations syndicales ou dans des organismes paritaires Ă caractĂšre officiel bĂ©nĂ©ficieront sur prĂ©sentation d'un justificatif Ă©manant de l'organisation syndicale, et sous rĂ©serve du respect d'un prĂ©avis d'au moins 5 jours ouvrĂ©s, d'une autorisation d'absence non rĂ©munĂ©rĂ©e pour assister aux rĂ©unions statutaires desdites Des autorisations d'absence seront Ă©galement accordĂ©es pour participer Ă©ventuellement Ă des rĂ©unions de la commission paritaire permanente de nĂ©gociation et d'interprĂ©tation CPPNI, des groupes de travail paritaires de la CPPNI ou de la commission paritaire nationale de l'emploi et de la formation professionnelle CPNEFP dĂ©cidĂ©es d'un commun accord entre les organisations reprĂ©sentatives de la prĂ©sente rĂ©unions de commissions paritaires et des groupes de travail paritaires ne pourront entraĂźner aucune perte de salaire pour les participants salariĂ©s. Section syndicale Les dispositions relatives Ă la constitution, aux prĂ©rogatives et aux moyens de la section syndicale d'entreprise ou d'Ă©tablissement sont celles dĂ©finies par les articles L. 2142-1 Ă L. 2142-11 du code du prĂ©judice du 1er alinĂ©a de l'article L. 2142-10 et L. 2142-11 du code du travail, les entreprises accordent 4 heures par an Ă tout le personnel pour lui permettre de participer Ă une ou plusieurs rĂ©unions d'information syndicale dans l'enceinte de l'entreprise, sous rĂ©serve que l'heure et le jour soient les mĂȘmes pour tous les syndicats ayant constituĂ© une section syndicale et que le choix ait Ă©tĂ© fait en accord avec la direction. Un local sera Ă cet effet mis Ă disposition par l'employeur selon les modalitĂ©s dĂ©finies d'un commun accord entre les sections syndicales et l'employeur. Ces rĂ©unions se tiennent durant le temps de ont uniquement et strictement pour objet de permettre l'information des salariĂ©s sur les discussions et dĂ©cisions prises lors des rĂ©unions paritaires de la branche. Toute autre rĂ©union n'ayant pas cet objet est soumise aux dispositions des articles L. 2142-10 et L. 2142-11 du code du sera possible de fractionner les 4 heures par rĂ©unions d'information syndicale peuvent ĂȘtre tenues dans les conditions fixĂ©es paritairement au niveau de l'entreprise en cas de fermeture ou de restructuration d'envergure de l'entreprise ou de l'Ă©tablissement soumises Ă la consultation des reprĂ©sentants du personnel. DĂ©lĂ©guĂ© syndical et dĂ©lĂ©guĂ© syndical central Chaque organisation syndicale reprĂ©sentative dĂ©signe un dĂ©lĂ©guĂ© syndical conformĂ©ment aux dispositions des articles L. 2143-1 Ă L. 2143-8 et L. 2143-3 du code du dĂ©lĂ©guĂ© syndical bĂ©nĂ©ficie de la protection attachĂ©e Ă son mandat conformĂ©ment aux dispositions organisation syndicale reprĂ©sentative dans l'entreprise ayant dĂ©signĂ© un dĂ©lĂ©guĂ© syndical peut dĂ©signer un dĂ©lĂ©guĂ© syndical supplĂ©ant ayant pour mission de remplacer, en cas d'absence temporaire, le dĂ©lĂ©guĂ© dĂ©lĂ©guĂ© syndical supplĂ©ant sera dĂ©signĂ© selon les mĂȘmes modalitĂ©s que le dĂ©lĂ©guĂ© syndical et devra remplir les conditions posĂ©es aux articles temps que le dĂ©lĂ©guĂ© syndical supplĂ©ant consacre Ă son rĂŽle de supplĂ©ance s'impute sur le temps de dĂ©lĂ©gation dont dispose le dĂ©lĂ©guĂ© syndical de l' dispositions relatives Ă la dĂ©signation, au nombre, aux attributions, Ă l'exercice et Ă la protection du mandat de dĂ©lĂ©guĂ© syndical sont celles dĂ©finies par le code du dĂ©lĂ©guĂ© syndical central prĂ©vu Ă l'article L. 2143-5 du code du travail bĂ©nĂ©ficie, le cas Ă©chĂ©ant en sus du crĂ©dit d'heures dont il dispose en tant que dĂ©lĂ©guĂ© syndical d'Ă©tablissement, d'un crĂ©dit d'heures spĂ©cifique de 30 heures par semestre. Par ailleurs, lorsque le dĂ©lĂ©guĂ© syndical central est distinct du dĂ©lĂ©guĂ© syndical d'Ă©tablissement cela concerne les entreprises d'au moins 2 000 salariĂ©s comportant au moins 2 Ă©tablissements d'au moins 50 salariĂ©s chacun conformĂ©ment Ă l'article L. 2143-5 du code du travail, il bĂ©nĂ©ficie d'un crĂ©dit d'heures total de 24 heures par mois. Affichage syndical et local syndical Les panneaux d'affichage visĂ©s Ă l'article L. 2142-3 du code du travail sont apposĂ©s Ă l'intĂ©rieur de l'Ă©tablissement dans un endroit proche de l'entrĂ©e ou de la sortie du personnel sur support papier ou des communications syndicales s'effectue librement sur des panneaux rĂ©servĂ©s Ă cet usage, distincts de ceux affectĂ©s aux communications des reprĂ©sentants du personnel Ă©lus comitĂ© social et Ă©conomique.Un exemplaire des communications syndicales est transmis Ă l'employeur, simultanĂ©ment Ă l'affichage. Les panneaux sont mis Ă la disposition de chaque section syndicale suivant des modalitĂ©s fixĂ©es par accord avec l' local mis Ă la disposition des sections syndicales en application de l'article L. 2142-8 du code du travail devra ĂȘtre Ă©quipĂ© d'une ligne permettant un accĂšs Ă internet. ComitĂ© social et Ă©conomique dispositions gĂ©nĂ©rales La mise en place et le renouvellement du comitĂ© social et Ă©conomique CSE sont gĂ©rĂ©s par les articles L. 2311-1 et suivants du code du comitĂ© social et Ă©conomique est mis en place dans les entreprises d'au moins 11 salariĂ©s. La condition d'effectif est dĂ©terminĂ©e conformĂ©ment aux dispositions accord d'entreprise conclu en application de l'article L. 2314-34 du code du travail, la durĂ©e du mandat des membres du CSE est fixĂ©e Ă 4 peut ĂȘtre invitĂ© Ă organiser des Ă©lections Ă la suite d'une demande Ă©manant d'un salariĂ© ou d'une organisation syndicale, lorsque l'institution n'existe pas dans l'entreprise ou l'Ă©tablissement alors qu'elle est obligatoire. Il doit, dans ce cas, engager la procĂ©dure Ă©lectorale dans le mois suivant la rĂ©ception de la l'institution n'a pas Ă©tĂ© mise en place ou renouvelĂ©e en l'absence de candidature, un procĂšs-verbal de carence est Ă©tabli par le chef d'entreprise. Celui-ci l'affiche dans l'entreprise et le transmet dans les 15 jours Ă l'inspecteur du travail qui en envoie, chaque annĂ©e, copie aux organisations syndicales de salariĂ©s du dĂ©partement chef d'entreprise doit informer le personnel par tous moyens permettant de confĂ©rer une date certaine de l'organisation des Ă©lections en vue de l'Ă©lection des membres du CSE. Le document affichĂ© prĂ©cise la date envisagĂ©e pour le premier tour de ces Ă©lections qui doit se placer au plus tard 90 jours suivant celui de l' organisations syndicales intĂ©ressĂ©es au niveau local, rĂ©gional⊠sont invitĂ©es par le chef d'entreprise Ă nĂ©gocier le protocole d'accord préélectoral et Ă Ă©tablir les listes de leurs candidats. Cette obligation ne concerne pas les entreprises dont l'effectif est compris entre 11 et 20 salariĂ©s, et pour lesquelles aucun candidat ne s'est prĂ©sentĂ© dans les 30 jours Ă compter de l'information de l'organisation des Ă©lections conformĂ©ment aux dispositions de l'article L. 2314-5 du code du travail. ModalitĂ©s Ă©lectorales du CSE Les modalitĂ©s Ă©lectorales du CSE sont dĂ©finies par les articles L. 2314-4 Ă L. 2314-32 du code du a lieu au scrutin secret sous peut Ă©galement avoir lieu par vote Ă©lectronique, si un accord d'entreprise ou, Ă dĂ©faut, l'employeur le est procĂ©dĂ© Ă des votes sĂ©parĂ©s pour les membres titulaires et les membres supplĂ©ants, dans chacune des catĂ©gories professionnelles formant des collĂšges modalitĂ©s d'organisation et de dĂ©roulement des opĂ©rations Ă©lectorales font l'objet d'un accord entre l'employeur et les organisations syndicales, conclu conformĂ©ment Ă l'article L. 2314-6. Cet accord respecte les principes gĂ©nĂ©raux du droit Ă©lectoral. Attributions du CSE Les attributions du comitĂ© social et Ă©conomique sont dĂ©finies en fonction de l'effectif de l'entreprise. Attributions dans les entreprises de 11 Ă 49 salariĂ©s Les attributions du CSE dans les entreprises de 11 Ă 49 salariĂ©s sont dĂ©finies aux articles L. 2312-5 Ă L. 2312-7 du code du dĂ©lĂ©gation du personnel au comitĂ© social et Ă©conomique a pour mission de prĂ©senter Ă l'employeur les rĂ©clamations individuelles ou collectives relatives aux salaires, Ă l'application du code du travail et des autres dispositions lĂ©gales concernant notamment la protection sociale, ainsi que des conventions et accords applicables dans l' contribue Ă promouvoir la santĂ©, la sĂ©curitĂ© et les conditions de travail dans l'entreprise et rĂ©alise des enquĂȘtes en matiĂšre d'accidents du travail ou de maladies professionnelles ou Ă caractĂšre une entreprise en sociĂ©tĂ© anonyme, lorsque les membres de la dĂ©lĂ©gation du personnel du comitĂ© social et Ă©conomique prĂ©sentent des rĂ©clamations auxquelles il ne pourrait ĂȘtre donnĂ© suite qu'aprĂšs dĂ©libĂ©ration du conseil d'administration, ils sont reçus par celui-ci, sur leur demande, en prĂ©sence du directeur ou de son reprĂ©sentant ayant connaissance des rĂ©clamations membres de la dĂ©lĂ©gation du personnel du comitĂ© peuvent saisir l'inspection du travail de toutes les plaintes et observations relatives Ă l'application des dispositions lĂ©gales dont elle est chargĂ©e d'assurer le dĂ©lĂ©gation du personnel au CSE exerce aussi le droit d'alerte dans les conditions prĂ©vues aux articles L. 2312-59 et L. 2312-60 du code du travail. Attributions dans les entreprises de 50 salariĂ©s et plus Les attributions du CSE dans les entreprises de 50 salariĂ©s et plus sont dĂ©finies aux articles L. 2312-8 et suivants du code du travail. Le comitĂ© social et Ă©conomique a pour mission d'assurer une expression collective des salariĂ©s permettant la prise en compte permanente de leurs intĂ©rĂȘts dans les dĂ©cisions relatives Ă la gestion et Ă l'Ă©volution Ă©conomique et financiĂšre de l'entreprise, Ă l'organisation du travail, Ă la formation professionnelle et aux techniques de production. Le comitĂ© est informĂ© et consultĂ© sur les questions intĂ©ressant l'organisation, la gestion et la marche gĂ©nĂ©rale de l'entreprise, notamment sur â les mesures de nature Ă affecter le volume ou la structure des effectifs ; â la modification de son organisation Ă©conomique ou juridique ; â les conditions d'emploi, de travail, notamment la durĂ©e du travail, et la formation professionnelle ; â l'introduction de nouvelles technologies, tout amĂ©nagement important modifiant les conditions de santĂ© et de sĂ©curitĂ© ou les conditions de travail ; â les mesures prises en vue de faciliter la mise, la remise ou le maintien au travail des accidentĂ©s du travail, des invalides de guerre, des invalides civils, des personnes atteintes de maladies chroniques Ă©volutives et des travailleurs handicapĂ©s, notamment sur l'amĂ©nagement des postes de travail. Le comitĂ© social et Ă©conomique mis en place dans les entreprises d'au moins 50 salariĂ©s exerce Ă©galement les attributions du comitĂ© social et Ă©conomique prĂ©vue Ă l'article de la prĂ©sente convention. Dans le champ de la santĂ©, de la sĂ©curitĂ© et des conditions de travail, le comitĂ© social et Ă©conomique â procĂšde Ă l'analyse des risques professionnels auxquels peuvent ĂȘtre exposĂ©s les travailleurs, notamment les femmes enceintes, ainsi que des effets de l'exposition aux facteurs de risques professionnels mentionnĂ©s Ă l'article L. 4161-1 ; â contribue notamment Ă faciliter l'accĂšs des femmes Ă tous les emplois, Ă la rĂ©solution des problĂšmes liĂ©s Ă la maternitĂ©, l'adaptation et Ă l'amĂ©nagement des postes de travail afin de faciliter l'accĂšs et le maintien des personnes handicapĂ©es Ă tous les emplois au cours de leur vie professionnelle ; â peut susciter toute initiative qu'il estime utile et proposer notamment des actions de prĂ©vention du harcĂšlement moral, du harcĂšlement sexuel et des agissements sexistes dĂ©finis Ă l'article L. 1142-2-1. Le refus de l'employeur est motivĂ©. Lors des visites de l'agent de contrĂŽle de l'inspection du travail mentionnĂ© Ă l'article L. 8112-1, les membres de la dĂ©lĂ©gation du personnel au comitĂ© social et Ă©conomique sont informĂ©s de sa prĂ©sence par l'employeur et peuvent prĂ©senter leurs observations. L'agent de contrĂŽle se fait accompagner par un membre de la dĂ©lĂ©gation du personnel du comitĂ©, si ce dernier le souhaite. Sauf accord d'entreprise, le comitĂ© social et Ă©conomique est consultĂ© annuellement sur â les orientations stratĂ©giques de l'entreprise ; â la situation Ă©conomique et financiĂšre de l'entreprise ; â la politique sociale de l'entreprise, les conditions de travail et l'emploi. Article 11 non en vigueur RemplacĂ©L'employeur laisse le temps nĂ©cessaire Ă l'exercice de leurs fonctions â Ă chacun des membres titulaires constituant la dĂ©lĂ©gation du personnel du comitĂ© social et Ă©conomique ; â aux reprĂ©sentants syndicaux au comitĂ© social et Ă©conomique dans les entreprises d'au moins 501 salariĂ©s ; â aux reprĂ©sentants syndicaux au comitĂ© social et Ă©conomique central d'entreprise dans les entreprises d'au moins 501 salariĂ©s dont aucun des Ă©tablissements distincts n'atteint ce nombre d'heures de dĂ©lĂ©gation des reprĂ©sentants, fixĂ© par dĂ©cret en Conseil d'Ătat en fonction Ă la fois des effectifs de l'entreprise ou de l'Ă©tablissement et du nombre de membres de la dĂ©lĂ©gation, ne peut ĂȘtre infĂ©rieur Ă 10 heures par mois dans les entreprises de moins de 50 salariĂ©s et Ă 16 heures dans les autres dĂ©rogation Ă l'alinĂ©a 2 de l'article L. 2315-7 du code du travail, le temps dont disposent pour l'exercice de leurs fonctions les reprĂ©sentants syndicaux au CSE est limitĂ© Ă une durĂ©e qui, sauf circonstances exceptionnelles, ne peut excĂ©der 10 heures par mois dans les entreprises comprenant de 150 Ă 200 salariĂ©s et 20 heures par mois dans les entreprises de plus de 200 salariĂ©s. Le temps passĂ© par les reprĂ©sentants syndicaux aux sĂ©ances du comitĂ© leur est payĂ© comme temps de travail et n'est pas dĂ©duit des 10 ou 20 heures prĂ©vues heures de dĂ©lĂ©gation sont considĂ©rĂ©es et payĂ©es comme du temps de travail temps de trajet pour se rendre aux rĂ©unions du CSE Ă l'initiative de l'employeur est rĂ©munĂ©rĂ© comme temps de travail effectif lorsqu'il est effectuĂ© sur le temps de travail, ou en dehors du temps de travail et qu'il dĂ©passe, en durĂ©e, le temps normal du dĂ©placement entre le domicile du salariĂ© et le lieu de travail. Par ailleurs les frais de dĂ©placement des membres du CSE pour se rendre aux rĂ©unions du CSE Ă l'initiative de l'employeur sont Ă la charge de ce aux dispositions lĂ©gales, l'employeur verse au comitĂ© social et Ă©conomique une subvention de fonctionnement d'un montant annuel Ă©quivalent Ă â 0,20 % de la masse salariale brute dans les entreprises de 50 Ă 2 000 salariĂ©s ; â 0,22 % de la masse salariale brute dans les entreprises de plus de 2 000 contribution versĂ©e chaque annĂ©e par l'employeur pour financer les activitĂ©s sociales et culturelles du CSE est au moins Ă©gale Ă 1 % de la masse salariale brute annuelle telle que dĂ©finie Ă l'article L. 2312-83 du code du conditions de fonctionnement du CSE sont dĂ©finies aux articles L. 2315-1 et suivants du code du et fonctionnement du CSE L'employeur laisse le temps nĂ©cessaire Ă l'exercice de leurs fonctions â Ă chacun des membres titulaires constituant la dĂ©lĂ©gation du personnel du comitĂ© social et Ă©conomique ; â aux reprĂ©sentants syndicaux au comitĂ© social et Ă©conomique dans les entreprises d'au moins 501 salariĂ©s ; â aux reprĂ©sentants syndicaux au comitĂ© social et Ă©conomique central d'entreprise dans les entreprises d'au moins 501 salariĂ©s dont aucun des Ă©tablissements distincts n'atteint ce nombre d'heures de dĂ©lĂ©gation des reprĂ©sentants, fixĂ© par dĂ©cret en Conseil d'Ătat en fonction Ă la fois des effectifs de l'entreprise ou de l'Ă©tablissement et du nombre de membres de la dĂ©lĂ©gation, ne peut ĂȘtre infĂ©rieur Ă 10 heures par mois dans les entreprises de moins de 50 salariĂ©s et Ă 16 heures dans les autres dĂ©rogation Ă l'alinĂ©a 2 de l'article L. 2315-7 du code du travail, le temps dont disposent pour l'exercice de leurs fonctions les reprĂ©sentants syndicaux au CSE est limitĂ© Ă une durĂ©e qui, sauf circonstances exceptionnelles, ne peut excĂ©der 10 heures par mois dans les entreprises comprenant de 150 Ă 200 salariĂ©s et 20 heures par mois dans les entreprises de plus de 200 salariĂ©s. Le temps passĂ© par les reprĂ©sentants syndicaux aux sĂ©ances du comitĂ© leur est payĂ© comme temps de travail et n'est pas dĂ©duit des 10 ou 20 heures prĂ©vues heures de dĂ©lĂ©gation sont considĂ©rĂ©es et payĂ©es comme du temps de travail temps de trajet pour se rendre aux rĂ©unions du CSE Ă l'initiative de l'employeur est rĂ©munĂ©rĂ© comme temps de travail effectif lorsqu'il est effectuĂ© sur le temps de travail, ou en dehors du temps de travail et qu'il dĂ©passe, en durĂ©e, le temps normal du dĂ©placement entre le domicile du salariĂ© et le lieu de travail. Par ailleurs les frais de dĂ©placement des membres du CSE pour se rendre aux rĂ©unions du CSE Ă l'initiative de l'employeur sont Ă la charge de ce aux dispositions lĂ©gales, l'employeur verse au comitĂ© social et Ă©conomique une subvention de fonctionnement d'un montant annuel Ă©quivalent Ă â 0,20 % de la masse salariale brute dans les entreprises de 50 Ă 2 000 salariĂ©s ; â 0,22 % de la masse salariale brute dans les entreprises de plus de 2 000 contribution versĂ©e chaque annĂ©e par l'employeur pour financer les activitĂ©s sociales et culturelles du CSE, dans les entreprises de 50 salariĂ©s et plus, est au moins Ă©gale Ă 1 % de la masse salariale brute annuelle telle que dĂ©finie Ă l'article L. 2312-83 du code du conditions de fonctionnement du CSE sont dĂ©finies aux articles L. 2315-1 et suivants du code du travail. Composition du CSE Le comitĂ© social et Ă©conomique comprend l'employeur et une dĂ©lĂ©gation du personnel comportant un nombre de membres dĂ©terminĂ© par dĂ©cret en Conseil d'Ătat tenant compte de l'effectif de l' dĂ©lĂ©gation du personnel comporte un nombre Ă©gal de titulaires et de supplĂ©ants. Le supplĂ©ant assiste aux rĂ©unions en l'absence du nombre de membres et le nombre d'heures de dĂ©lĂ©gation peuvent ĂȘtre modifiĂ©s par accord dans les conditions prĂ©vues par l'article L. 2314-7 du code du rĂ©serve des dispositions applicables dans les entreprises de moins de 300 salariĂ©s, prĂ©vues Ă l'article L. 2143-22 du code du travail, chaque organisation syndicale reprĂ©sentative dans l'entreprise ou l'Ă©tablissement peut dĂ©signer un reprĂ©sentant syndical au comitĂ©. Il assiste aux sĂ©ances avec voix consultative. Il est choisi parmi les membres du personnel de l'entreprise et doit remplir les conditions d'Ă©ligibilitĂ© au comitĂ© social et Ă©conomique fixĂ©es Ă l'article L. 2314-19 du code du travail. ComitĂ© de groupe Un comitĂ© de groupe est constituĂ© au sein du groupe formĂ© par une entreprise appelĂ©e entreprise dominante, dont le siĂšge social est situĂ© sur le territoire français, et les entreprises qu'elle contrĂŽle dans les conditions dĂ©finies Ă l'article L. 233-1, aux I et II de l'article L. 233-3 et Ă l'article L. 233-16 du code de composition, les attributions et le fonctionnement du comitĂ© de groupe sont dĂ©finis par les articles L. 2331-1 Ă L. 2334-4 du code du secrĂ©taire du comitĂ© de groupe bĂ©nĂ©ficiera d'un crĂ©dit d'heures spĂ©cifique de 20 heures par semestre. Protection des reprĂ©sentants du personnel Les membres du comitĂ© social et Ă©conomique bĂ©nĂ©ficient d'une protection particuliĂšre contre les mesures de licenciement conformĂ©ment aux dispositions des articles L. 2411-1 Ă L. 2437-1 et L. 5125-4 du code du rĂšgles relatives au licenciement des membres Ă©lus du comitĂ© social et Ă©conomique et des reprĂ©sentants syndicaux au CSE sont fixĂ©es par les articles L. 2411-1 Ă L. 2411-22 et R. 2411-1 Ă R. 2422-1 du code du travail. Sous-titre II Dialogue social dans la branche Ambitions et orientations du dialogue social de branche La branche professionnelle des entreprises de l'industrie et des commerces en gros des viandes comprend de nombreuses spĂ©cificitĂ©s. Elle se caractĂ©rise notamment par une grande diversitĂ© de taille et de nature de l'activitĂ© des entreprises qui la significative du secteur et de l'organisation des entreprises qui le constituent a entraĂźnĂ© l'Ă©mergence de politiques sociales spĂ©cifiques d'entreprise, voire de groupe, en accompagnement de leur possibilitĂ© pour les entreprises d'ĂȘtre confrontĂ©es Ă des situations Ă©conomiques diffĂ©rentes est devenue un paramĂštre Ă prendre en considĂ©ration dans les nĂ©gociations de ce contexte, les parties rĂ©affirment l'importance du dialogue social de branche visant la conclusion d'accords collectifs et considĂšrent qu'il convient donc de dĂ©finir ses enjeux par rapport Ă la nĂ©gociation d' ambitions du dialogue social â faire vivre les relations sociales au niveau de la branche ; â assurer un socle de rĂšgles sociales applicables Ă toutes les entreprises ; â adapter ce socle social au contexte Ă©volutif ; â Ă©tablir un dialogue social loyal, ouvert et orientations du dialogue social â adapter les dispositions de branche aux Ă©volutions lĂ©gislatives ; â favoriser la signature d'accords collectifs de branche tout en prenant en considĂ©ration la diversitĂ© d'entreprises ; â retenir, en fonction du sujet, le type d'accord le plus appropriĂ© application de maniĂšre uniforme ou accord fixant des principes communs mais laissant des marges de manĆuvre au niveau local pour, par exemple, des modalitĂ©s de mise en Ćuvre. Article 18 1 non en vigueur RemplacĂ©La prĂ©sente convention a pour vocation de prĂ©server un socle social minimal de garanties aux salariĂ©s des entreprises des industries et commerces en gros des viandes en dĂ©terminant les thĂ©matiques sur lesquelles l'accord d'entreprise peut dĂ©roger aux conventions et accords de branche et selon quelles de la compĂ©tence exclusive de la branche sur lesquelles l'accord d'entreprise ne peut supplĂ©er que de maniĂšre plus favorable Ă la branche â la durĂ©e et l'amĂ©nagement du temps de travail portant sur ââ les Ă©quivalences ; ââ la durĂ©e maximale de l'accord collectif portant amĂ©nagement du temps de travail 3 ans au plus ; ââ le nombre minimal d'heures entraĂźnant la qualification de travailleur de nuit ; ââ la durĂ©e minimale de travail des salariĂ©s Ă temps partiel ; ââ taux de majoration des heures complĂ©mentaires ; ââ le complĂ©ment d'heures ; â les mesures relatives aux CDD et contrat de mission portant sur ââ la durĂ©e ; ââ le renouvellement ; ââ le dĂ©lai de carence ; â les mesures relatives au contrat de chantier ou d'opĂ©ration ; â les conditions et le renouvellement de la pĂ©riode d'essai ; â les conditions de certaines mises Ă disposition d'un salariĂ© temporaire auprĂšs d'une entreprise utilisatrice ; â la rĂ©munĂ©ration et l'indemnitĂ© d'affaires du salariĂ© de la compĂ©tence attribuĂ©e Ă la branche pour lesquelles l'accord d'entreprise peut dĂ©roger de maniĂšre plus favorable ou s'il assure des garanties au moins Ă©quivalentes â les salaires minima ; â les classifications ; â la mutualisation des fonds de financement du paritarisme ; â la mutualisation des fonds de financement de la formation professionnelle ; â les garanties collectives complĂ©mentaires ; â l'Ă©galitĂ© professionnelle entre les femmes et les hommes ; â les modalitĂ©s de poursuite des contrats de travail en dehors des cas prĂ©vus par l'article L. 1224-1 du code du travail ; â la prĂ©vention des effets de l'exposition aux facteurs de risques professionnels ; â l'insertion professionnelle et le maintien dans l'emploi des travailleurs handicapĂ©s ; â l'effectif Ă partir duquel les dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux peuvent ĂȘtre dĂ©signĂ©s, leur nombre et la valorisation de leurs parcours syndicaux ; â les primes pour travaux dangereux ou les thĂšmes relevant de la compĂ©tence attributive de la branche, l'accord d'entreprise pourra primer dĂšs lors qu'il assure des garanties au moins Ă©quivalentes, lesquelles seront apprĂ©ciĂ©es au regard de dispositions de la convention collective ayant le mĂȘme toutes les thĂ©matiques non listĂ©es ci-dessus, les stipulations de l'accord d'entreprise priment sur celles ayant le mĂȘme objet prĂ©vues par la convention collective ou l'accord de branche. En l'absence d'accord d'entreprise, les dispositions de la prĂ©sente convention s'imposeront.1 L'article 18 est Ă©tendu sous rĂ©serve du respect des dispositions des articles L. 2253-1 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1Articulation des conventions et accords de branche avec les accords d'entreprise La prĂ©sente convention a pour vocation de prĂ©server un socle social minimal de garanties aux salariĂ©s des entreprises des industries et commerces en gros des viandes, en dĂ©terminant les thĂ©matiques sur lesquelles l'accord d'entreprise peut dĂ©roger aux conventions et accords de branche et selon quelles rapports entre l'accord de branche et les accords collectifs de groupe, d'entreprise ou d'Ă©tablissement sont rĂ©gis conformĂ©ment aux articles L. 2253-1, L. 2253-2 et L. 2253-3 du code du travail notamment. Article 19 non en vigueur RemplacĂ©Le dialogue social liĂ© Ă la nĂ©gociation collective au sein de la branche est organisĂ© autour des instances suivantes â la commission paritaire permanente de nĂ©gociation et d'interprĂ©tation CPPNI ; â la commission paritaire nationale de l'emploi et de la formation professionnelle CPNEFP ; â le groupe de travail ailleurs, certains sujets peuvent nĂ©cessiter de crĂ©er une instance ponctuelle groupe de travail spĂ©cifique, commissionâŠ. Dans ce cas, le rĂŽle, la composition et les attributions de cette instance sont prĂ©cisĂ©s en CPPNI de branche, avant l'engagement des rĂšglement intĂ©rieur prĂ©cisera les modalitĂ©s de fonctionnement des diverses instances de et attributions des instances du dialogue social de branche Le dialogue social liĂ© Ă la nĂ©gociation collective au sein de la branche est organisĂ© autour des instances suivantes â la commission paritaire permanente de nĂ©gociation et d'interprĂ©tation CPPNI ; â la commission paritaire nationale de l'emploi et de la formation professionnelle CPNEFP ; â le groupe de travail paritaire ; â le COPIL prĂ©voyance ailleurs, certains sujets peuvent nĂ©cessiter de crĂ©er une instance ponctuelle groupe de travail spĂ©cifique, commission âŠ. Dans ce cas, le rĂŽle, la composition et les attributions de cette instance sont prĂ©cisĂ©s en CPPNI de branche, avant l'engagement des rĂšglement intĂ©rieur prĂ©cisera les modalitĂ©s de fonctionnement des diverses instances de branche. Article non en vigueur RemplacĂ©La CPPNI est l'unique lieu de nĂ©gociation collective dans la branche professionnelle. Elle se rĂ©unit au moins 4 fois par La CPPNI a pour missions de 1 â nĂ©gocier sur les thĂšmes obligatoires prĂ©vus par la loi, et notamment sur les salaires minima conventionnels ; â proposer, rĂ©diger et nĂ©gocier des accords et avenants Ă la convention collective nationale des entreprises de l'industrie et des commerces en gros des viandes sur des thĂšmes de nĂ©gociation Ă©manant d'une organisation d'employeurs ou d'une organisation syndicale de salariĂ©s sans prĂ©judice des thĂšmes obligatoires prĂ©vus par la loi ; â assurer les formalitĂ©s de publicitĂ© des accords et avenants Ă la convention collective CPPNI pourra examiner â tous les diffĂ©rends constituant un problĂšme d'interprĂ©tation de la convention collective nationale ; â tous les diffĂ©rends constituant un problĂšme d'application de la convention collective 5 reprĂ©sentants par organisation syndicale de salariĂ©s et par organisation professionnelle, reprĂ©sentatives au niveau de la branche1 L'alinĂ©a 3 de l'article 19-1 est Ă©tendu sous rĂ©serve de l'application des dispositions prĂ©vues Ă l'article L. 2232-9 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1Commission paritaire permanente de nĂ©gociation et d'interprĂ©tation La CPPNI est l'unique lieu de nĂ©gociation collective dans la branche professionnelle. Elle se rĂ©unit au moins quatre fois par La CPPNI a pour missions principales de â nĂ©gocier sur les thĂšmes obligatoires prĂ©vus par la loi, et notamment sur les salaires minima conventionnels ; â proposer, rĂ©diger et nĂ©gocier des accords et avenants Ă la convention collective nationale des entreprises de l'industrie et des commerces en gros des viandes sur des thĂšmes de nĂ©gociation Ă©manant d'une organisation d'employeurs ou d'une organisation syndicale de salariĂ©s sans prĂ©judice des thĂšmes obligatoires prĂ©vus par la loi ; â assurer les formalitĂ©s de publicitĂ© des accords et avenants Ă la convention collective ailleurs, conformĂ©ment aux dispositions de l'article L. 2232-9 du code du travail la commission paritaire permanente de nĂ©gociation exerce les missions d'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral suivantes â elle reprĂ©sente la branche, notamment dans l'appui aux Ă©tudes et offices et vis-Ă -vis des pouvoirs publics ; â elle exerce un rĂŽle de veille sur les conditions de travail et l'emploi ; â elle Ă©tablit un rapport annuel d'activitĂ© qu'elle verse dans la base de donnĂ©es nationale mentionnĂ©e Ă l'article L. 2231-5-1 du code du travail. Ce rapport comprend un bilan des accords collectifs d'entreprise conclus dans le cadre du titre II, des chapitres Ier et III du titre III et des titres IV et V du livre Ier de la 3e partie du code du travail et formule, le cas Ă©chĂ©ant, des recommandations destinĂ©es Ă rĂ©pondre aux difficultĂ©s CPPNI pourra examiner â tous les diffĂ©rends constituant un problĂšme d'interprĂ©tation de la convention collective nationale ; â tous les diffĂ©rends constituant un problĂšme d'application de la convention collective â cinq reprĂ©sentants par organisation syndicale de salariĂ©s reprĂ©sentative au niveau de la branche ; â cinq reprĂ©sentants et deux permanents maximum par organisation professionnelle reprĂ©sentative au niveau de la branche.1 Article Ă©tendu sous rĂ©serve du respect des dispositions du 3° de l'article 2232-9 du code du travail, dans sa rĂ©daction issue de la loi n° 2018-771 du 5 septembre 2018 pour la libertĂ© de choisir son avenir professionnel. ArrĂȘtĂ© du 23 mai 2022 - art. 1 Article non en vigueur RemplacĂ©La CPNEFP se rĂ©unit au moins 2 fois par La CPNEFP a pour mission globale de dĂ©finir les orientations prioritaires en matiĂšre de formation et d'Ă©volution 2 reprĂ©sentants par organisation syndicale et par organisation professionnelle, reprĂ©sentatives au niveau de la paritaire nationale de l'emploi et la formation professionnelle La CPNEFP se rĂ©unit au moins deux fois par La CPNEFP a pour mission globale de dĂ©finir les orientations prioritaires en matiĂšre de formation et d'Ă©volution â deux reprĂ©sentants par organisation syndicale de salariĂ©s reprĂ©sentative au niveau de la branche ; â deux reprĂ©sentants et deux permanents maximum par organisation professionnelle reprĂ©sentative au niveau de la branche. Article non en vigueur RemplacĂ©Missions Le groupe de travail paritaire est une instance paritaire technique, mise en place en amont d'une nĂ©gociation, lorsque cette derniĂšre le justifie, et dont la vocation est de prĂ©parer et faciliter la nĂ©gociation â en travaillant Ă une comprĂ©hension commune de ses diffĂ©rents aspects et objets le groupe de travail paritaire est le lieu de production et d'examen de la documentation nĂ©cessaires aux parties pour prĂ©parer la nĂ©gociation ; â en permettant aux parties d'exposer et d'affiner leurs points de vue, souhaits et 2 reprĂ©sentants par organisation syndicale et par organisation professionnelle, reprĂ©sentatives au niveau de la de travail paritaire Missions Le groupe de travail paritaire est une instance paritaire technique, mise en place en amont d'une nĂ©gociation, lorsque cette derniĂšre le justifie, et dont la vocation est de prĂ©parer et faciliter la nĂ©gociation â en travaillant Ă une comprĂ©hension commune de ses diffĂ©rents aspects et objets le groupe de travail paritaire est le lieu de production et d'examen de la documentation nĂ©cessaires aux parties pour prĂ©parer la nĂ©gociation ; â en permettant aux parties d'exposer et d'affiner leurs points de vue, souhaits et â deux reprĂ©sentants par organisation syndicale de salariĂ©s reprĂ©sentative au niveau de la branche ; â deux reprĂ©sentants et deux permanents maximum par organisation professionnelle reprĂ©sentative au niveau de la branche. Copil prĂ©voyance ICGV Mission Le comitĂ© de pilotage prĂ©voyance ICGV dit Copil prĂ©voyance ICGV a vocation notamment Ă suivre le rĂ©gime prĂ©voyance de la branche ICGV et Ă gĂ©rer le fonds de ConformĂ©ment au rĂšglement intĂ©rieur du Copil, il est composĂ© de deux reprĂ©sentants par organisation syndicale et par organisation professionnelle, reprĂ©sentatives au niveau de la branche. Moyens de fonctionnement des rĂ©unions paritaires Il convient de faciliter la prĂ©sence des nĂ©gociateurs aux rĂ©unions paritaires de la CCN. Autorisation d'absence Les salariĂ©s d'entreprises reprĂ©sentant leur organisation syndicale appelĂ©s Ă participer aux rĂ©unions des commissions paritaires nationales ou groupes de travail bĂ©nĂ©ficient d'une autorisation d' salariĂ©s concernĂ©s sont tenus d'informer prĂ©alablement leur employeur de leur participation aux rĂ©unions paritaires. Maintien de la rĂ©munĂ©ration. â Temps de repos La rĂ©munĂ©ration des reprĂ©sentants des fĂ©dĂ©rations syndicales reprĂ©sentatives mandatĂ©s pour participer aux rĂ©unions est intĂ©gralement maintenue par l' salariĂ©s d'entreprises appelĂ©s Ă participer aux rĂ©unions paritaires doivent obligatoirement bĂ©nĂ©ficier du repos quotidien lĂ©gal des 11 heures consĂ©cutives avant de reprendre leur poste de temps de trajet pour se rendre aux rĂ©unions de la CPPNI, des groupes de travail paritaires ou de la CPNEFP est rĂ©munĂ©rĂ© comme temps de travail effectif lorsqu'il est effectuĂ© en dehors du temps de travail et qu'il dĂ©passe, en durĂ©e, le temps normal du dĂ©placement entre le domicile du salariĂ© et le lieu de point de dĂ©part du calcul des heures de repos commence Ă l'heure oĂč le salariĂ© arrive dans sa localitĂ©. Frais de dĂ©placement Les frais de dĂ©placement sont pris en charge dans le cadre de l'accord de branche sur le financement du paritarisme. Le temps nĂ©cessaire au dĂ©placement est considĂ©rĂ© comme du temps de effet, les employeurs relevant du champ d'application de la prĂ©sente convention sont tenus de contribuer annuellement au financement du paritarisme Ă hauteur de 0,1 % du montant des rĂ©munĂ©rations entrant dans l'assiette de cotisations de sĂ©curitĂ© sociale. Temps de prĂ©paration Il est accordĂ© par reprĂ©sentant au maximum une journĂ©e par rĂ©union dans le cadre de la prĂ©paration des rĂ©unions plĂ©niĂšres CPPNI et CPNEFP sur prĂ©sentation d'un justificatif Ă l'employeur. Ces temps de prĂ©paration sont considĂ©rĂ©s et payĂ©s comme du temps de travail effectif et pris en charge par l'employeur. Titre III HygiĂšne, sĂ©curitĂ©, prĂ©vention Les employeurs sont tenus d'appliquer les dispositions lĂ©gales et rĂ©glementaires relatives Ă l'hygiĂšne, la santĂ© et la sĂ©curitĂ© au travail et notamment les dispositions des articles L. 4121-1 Ă L. 4511-1 et des articles R. 4121-1 Ă R. 4544-11 du code du travail. La prĂ©vention de la santĂ© et sĂ©curitĂ© au travail Les parties signataires affirment leur ferme volontĂ© de tout mettre en Ćuvre pour prĂ©server la santĂ© et la sĂ©curitĂ© des salariĂ©s de la branche professionnelle, par une politique de prĂ©vention durable et de la santĂ© et la sĂ©curitĂ© dans la politique de l'entreprise doit se faire le plus en amont possible, compte tenu des enjeux avant tout humains, mais Ă©galement Ă©conomiques et juridiques en parties signataires souhaitent pour cela d'une part mettre en avant certains dispositifs indispensables Ă toute dĂ©marche de prĂ©vention, et d'autre part se doter d'outils spĂ©cifiques efficaces pour amĂ©liorer la sĂ©curitĂ© et la prĂ©vention de la santĂ© au travail. L'Ă©valuation des risques L'employeur a l'obligation d'Ă©valuer les risques pour la santĂ© et la sĂ©curitĂ© des travailleurs. En cas de recours Ă une entreprise prestataire de services, les dispositions relatives Ă l'analyse en commun des risques, par le plan de prĂ©vention, prĂ©vues aux articles R. 4512-6 et suivants du code du travail, devront ĂȘtre entreprises prestataires de service intervenant dans l'entreprise devront ĂȘtre associĂ©es Ă cette dĂ©marche, pour ce qui est des interfĂ©rences entre les activitĂ©s, installations et matĂ©riels avec l'entreprise donneuse d' Le document unique d'Ă©valuation des risquesLes rĂ©sultats de cette Ă©valuation doivent ĂȘtre transcrits dans un document unique d'Ă©valuation des risques, mis Ă jour dans les conditions fixĂ©es par voie rĂ©glementaire, et tenu Ă la disposition notamment des salariĂ©s et du document, obligatoire dans toutes les entreprises quel que soit leur effectif, doit ĂȘtre exhaustif et opĂ©rationnel, pour constituer un vĂ©ritable outil de suivi et de L'exposition Ă certains facteurs de risques professionnels dans la brancheLes principaux facteurs identifiĂ©s dans la branche sont les suivants art. R. 4541-1 du code du travail â au titre des contraintes physiques marquĂ©es ââ les manutentions manuelles de charges dĂ©finies Ă l'article R. 4541-2 du code du travail en particulier les risques liĂ©s aux transferts des carcasses, rolls, chariots, bacs et les risques liĂ©s aux dĂ©buts et fins de chaĂźne ; ââ les postures pĂ©nibles dĂ©finies comme positions forcĂ©es des articulations en particulier les risques liĂ©s aux positions debout prolongĂ©es, aux positions accroupies prolongĂ©es, aux postures en torsion, aux contraintes relatives au maintien des bras en l'air ; ââ les vibrations mĂ©caniques mentionnĂ©es Ă l'article R. 4441-1 du code du travail, â au titre de l'environnement physique agressif ââ les tempĂ©ratures extrĂȘmes chaudes ou froides et les variations de tempĂ©ratures ; ââ le bruit mentionnĂ© Ă l'article R. 4431-1 du code du travail ; ââ les agents chimiques dangereux mentionnĂ©s aux articles R. 4412-3 et R. 4412-60 du code du travail, â au titre de certains rythmes de travail ââ le travail de nuit dans les conditions fixĂ©es aux articles L. 3122-2 et suivants du code du travail ; ââ selon des Ă©tudes rĂ©centes, le travail de nuit peut avoir de graves consĂ©quences sur la santĂ© des salariĂ©s, notamment en termes d'augmentation des risques de cancer ; ââ le travail rĂ©pĂ©titif caractĂ©risĂ© par la rĂ©pĂ©tition d'un ou de plusieurs gestes, Ă une cadence contrainte, imposĂ©e ou non par le dĂ©placement automatique d'une piĂšce ou par la rĂ©munĂ©ration Ă la piĂšce, avec un temps de cycle dĂ©fini ; ââ le travail en Ă©quipes successives alternantes 2 Ă 7, 3 Ă 7,⊠avec rotation d'une semaine sur l'autre.Enfin, les partenaires sociaux, forts du constat d'une forte sinistralitĂ© liĂ©e aux troubles musculosquelettiques TMS, souhaitent en faire une prioritĂ© en matiĂšre de diagnostic des situations d'exposition Ă certains facteurs de risques professionnels Un diagnostic prĂ©alable des situations d'exposition Ă certains facteurs de risques professionnels doit ĂȘtre mis en Ćuvre avant tout plan de prĂ©vention, et reposer sur une analyse des situations de travail, au regard des facteurs de risques. La mise en Ćuvre du diagnostic est une rĂ©elle opportunitĂ© d'alimenter ou de rĂ©-impulser la dynamique pluridisciplinaire qui doit prĂ©sider Ă la politique de prĂ©vention de l'entreprise. L'objectif est de dĂ©pister les situations de travail pĂ©nalisantes puisque la clĂ© de la rĂ©ussite d'une Ă©tude de situation de travail rĂ©side dans la prise en compte des liens entre les facteurs de risques et l'organisation du mesures de prĂ©vention de l'exposition Ă certains facteurs de risques professionnels Les entreprises devront mettre en place certaines des mesures suivantes â des mesures tendant Ă la rĂ©duction des poly-expositions par exemple amĂ©lioration des transferts de produits et d'animaux, amĂ©lioration des process de dĂ©but et fin de chaĂźne, amĂ©lioration des conditions de travaux postĂ©s en station debout prolongĂ©e, amĂ©lioration de l'environnement et l'organisation du travail ; â des mesures tendant Ă l'amĂ©lioration des conditions de travail des salariĂ©s par exemple prĂ©voir un temps de rĂ©veil musculaire avant la prise de poste sur le temps de travail, mener une campagne d'information et de sensibilisation auprĂšs des ateliers de production, dĂ©marches d'Ă©change avec les entreprises prestataires de services⊠; â des mesures liĂ©es au dĂ©veloppement des compĂ©tences et qualifications promotion des CQP, dĂ©veloppement des compĂ©tences et accĂšs Ă la formation, accompagnement renforcĂ© des jeunes entrants, formation de rĂ©fĂ©rents sĂ©curitĂ© », formation des encadrants de proximitĂ© Ă la gestion d'Ă©quipe et la santĂ© au travailâŠ.c L'Ă©valuation des risques psychosociaux RPSIl est communĂ©ment admis que les RPS, s'ils ne sont pas strictement dĂ©finis Ă ce jour, englobent les notions de stress, de violences internes harcĂšlement moral ou sexuel, et de violences externes exercĂ©es par des personnes extĂ©rieures Ă l'entreprise Ă l'encontre de salariĂ©s.Les RPS peuvent ĂȘtre liĂ©s Ă diffĂ©rents facteurs intensitĂ© du travail et temps de travail, exigences Ă©motionnelles, manque d'autonomie, mauvaise qualitĂ© des rapports sociaux, conflits de valeurs, insĂ©curitĂ© de la situation de travailâŠUn certain nombre de situations entrant dans la catĂ©gorie des RPS ont Ă©tĂ© identifiĂ©es comme constituant des facteurs de risques professionnels dans la branche â une Ă©coute difficilement disponible ; â une implication Ă faire progresser ; â une insuffisance de reconnaissance ; â une ambiance et un collectif de travail dĂ©gradĂ©s ; â un modĂšle managĂ©rial individualisĂ© et descendant gestion des relations de personne Ă personne.Comme tout autre risque, les RPS doivent ĂȘtre Ă©valuĂ©s par l'employeur et retranscrits dans le document unique d'Ă©valuation des risques. Une fois les risques identifiĂ©s, ils doivent ĂȘtre suivis au moyen d'indicateurs via des questionnaires, entretiensâŠ, et permettre l'Ă©tablissement de plans d'action amĂ©nagement du temps de travail, de l'organisation du travail, action sur l'Ă©quilibre entre la vie professionnelle et personnelle, sur l'Ă©volution du managementâŠ. Les outils de prĂ©vention a Le suivi de l'Ă©tat de santĂ© des salariĂ©sL'employeur devra respecter les dispositions relatives aux visites mĂ©dicales obligatoires, et notamment celles prĂ©vues aux articles R. 4624-10 et suivants du code du travail visite mĂ©dicale avant l'embauche ou au plus tard avant l'expiration de la pĂ©riode d'essai.En outre, une surveillance mĂ©dicale devra ĂȘtre mise en place dans les cas prĂ©vus Ă l'article R. 4624-17 du code du travail, notamment en cas d'exposition Ă certains agents suivi de l'Ă©tat de santĂ© de chaque salariĂ© est en effet indispensable pour s'assurer de son aptitude au poste de Visite mĂ©dicale de conducteurs de vĂ©hicules poids lourdsPour le personnel de conduite justifiant au moins d'une annĂ©e d'anciennetĂ© dans l'entreprise, le coĂ»t des visites mĂ©dicales obligatoires en vue du renouvellement de la validitĂ© des permis de conduire des catĂ©gories C et C 1 est pris en charge par l' temps nĂ©cessitĂ© par ces visites est pris soit sur les heures de travail des salariĂ©s sans qu'il puisse pour cela ĂȘtre effectuĂ© une retenue de salaire, soit rĂ©munĂ©rĂ© comme temps de travail L'analyse des accidents du travail et des maladies professionnellesToute dĂ©marche de prĂ©vention doit intĂ©grer l'analyse des accidents du travail et les maladies professionnelles AT/MP en remontant aux causes les plus en amont, et en y associant les membres du cela, l'entreprise doit dĂ©finir des indicateurs prĂ©cis permettant un suivi rĂ©gulier, avec une pĂ©riodicitĂ© rĂ©guliĂšre de la sinistralitĂ© parmi lesquels figurent, au minimum â le taux de frĂ©quence des AT/MP ; â le taux de gravitĂ© des AT/MP ; â le nombre d'accidents de trajetL'entreprise pourra par ailleurs retenir d'autres de l'AT doit ĂȘtre faite en lien avec un membre du CSE, et dans les 48 heures suivant la survenance de l'AT. En cas de recours Ă la prestation de service, l'arbre des causes devra ĂȘtre Ă©tabli en coordination avec le donneur d' actions humaines, organisationnelles ou techniques devront ĂȘtre mises en Ćuvre pour Ă©viter tout nouvel Ă©vĂ©nement. Ces actions devront ĂȘtre systĂ©matiquement remontĂ©es aux diffĂ©rents Les procĂ©dures d'accueil et de rĂ©-accueilL'accueil et le rĂ©-accueil des salariĂ©s sont des Ă©tapes essentielles qui influent directement sur les conditions de travail. Elles doivent ĂȘtre formalisĂ©es et de qualitĂ©, et associer les diffĂ©rents acteurs de l'entreprise RH, encadrant, collĂšgues de travail, IRPâŠ.La procĂ©dure d'accueil, tout d'abord, qui concerne les nouveaux embauchĂ©s, doit ĂȘtre suffisamment dĂ©veloppĂ©e de maniĂšre Ă intĂ©grer au mieux le salariĂ© lors de son arrivĂ©e dans l'entreprise. Ainsi, au minimum, les Ă©tapes suivantes devront ĂȘtre respectĂ©es â remise et prĂ©sentation d'un livret d'accueil ; â visite des locaux de l'entreprise ; â prĂ©sentation du poste ; â formation sĂ©curitĂ© au poste de travail ; â dĂ©signation d'un rĂ©fĂ©rent chargĂ© d'accompagner le nouvel embauchĂ© durant sa phase d' procĂ©dure de rĂ©-accueil, nonobstant les dispositions relatives aux entretiens professionnels obligatoires, vise, elle, les salariĂ©s de retour dans l'entreprise aprĂšs une absence de longue durĂ©e supĂ©rieure Ă 1 mois, hors congĂ©s. L'objectif est de permettre la reprise du travail du salariĂ© dans les meilleures conditions physiques et psychologiques, Ă travers un accompagnement spĂ©cifique, afin, si nĂ©cessaire, de produire un plan d'actions immĂ©diat suite Ă l'analyse des causes, y compris l'amĂ©nagement du poste de Les Ă©quipements de protection individuelle EPILes Ă©quipements de protection individuelle sont dĂ©finis Ă l'article R. 4311-8 du code du travail comme des dispositifs ou moyens destinĂ©s Ă ĂȘtre portĂ©s ou tenus par une personne en vue de la protĂ©ger contre un ou plusieurs risques susceptibles de menacer sa santĂ© ou sa sĂ©curitĂ© ».Leur utilisation dĂ©coule de l'Ă©valuation des risques menĂ©e au prĂ©alable dans l'entreprise, et doit ĂȘtre subsidiaire par rapport aux Ă©quipements de protection conditions de mise Ă disposition et d'utilisation des EPI sont dĂ©terminĂ©es par l'employeur aprĂšs consultation du CSE et devront respecter le cas Ă©chĂ©ant les prescriptions rĂ©glementaires existant pour certains travaux. Les employeurs s'engagent Ă veiller Ă la qualitĂ© et Ă l'efficacitĂ© du matĂ©riel de protection, et Ă rechercher, en accord avec le CSE, les moyens les plus appropriĂ©s pour assurer la sĂ©curitĂ© des salariĂ©s doivent respecter les consignes prises pour la prĂ©vention des accidents et notamment celles concernant le port de matĂ©riels de protection effets de protection seront fournis pour certains postes particuliers exposant les vĂȘtements des ouvriers Ă une dĂ©tĂ©rioration prĂ©maturĂ©e et anormale. L'entretien des dispositifs ou des effets de protection est assurĂ© par l'employeur qui en conserve la propriĂ©tĂ©. Les ouvriers travaillant dans les chambres froides sont munis, par les soins de l'Ă©tablissement, de vĂȘtements conditions de travail doivent permettre aux salariĂ©s d'utiliser correctement les dispositifs de sĂ©curitĂ© ou de protection mise Ă leur doit en outre â s'assurer de la conformitĂ© rĂ©glementaire des EPI ; â maintenir les EPI en Ă©tat de conformitĂ© en procĂ©dant aux vĂ©rifications nĂ©cessaires ; â informer et former les salariĂ©s Ă leur et la sensibilisation des salariĂ©s concernĂ©s en amont sont Ă©galement essentielles pour favoriser l'appropriation et l'adhĂ©sion des salariĂ©s concernĂ©s par le port des Les Ă©quipements de travailL'utilisation des Ă©quipements de travail doit prendre en compte la sĂ©curitĂ© des salariĂ©s, et respecter les dispositions prĂ©vues aux articles R. 4323-1 et suivants du code du prise en compte suppose notamment â l'acquisition d'Ă©quipements conformes aux normes ; â l'information et la formation des salariĂ©s Ă l'utilisation des Ă©quipements en toute sĂ©curitĂ© ; â des vĂ©rifications pĂ©riodiques des Ă©quipements ; â des conditions de maintenance des Ă©quipements limitant les Ă©quipements font en outre l'objet de dispositions spĂ©cifiques dans le code du travail Ă©quipements de levage des charges, Ă©quipements mobiles, Ă©quipements pour l'exĂ©cution de travaux en hauteur, Ă©quipements Ă©lectriquesâŠ, auxquelles il convient de se rĂ©fĂ©rer. La commission santĂ© sĂ©curitĂ© et conditions de travail et la commission d'hygiĂšne sĂ©curitĂ© et prĂ©vention Fonctionnement. â Moyens. â FormationMise en place. â Composition. â RĂŽle. â Missions a La commission santĂ©, sĂ©curitĂ© et conditions de travailUne commission santĂ© sĂ©curitĂ© et conditions de travail CSSCT est instaurĂ©e dans les entreprises occupant d'une façon habituelle un minimum de 300 commission se voit confier, par dĂ©lĂ©gation du CSE, tout ou partie des attributions du CSE relatives Ă la santĂ©, Ă la sĂ©curitĂ© et aux conditions de travail, Ă l'exception du recours Ă un expert et des attributions consultatives du fonctionnera dans les conditions prĂ©vues par la rĂ©glementation en membres de la CSSCT sont obligatoirement membres du CSSCT est prĂ©sidĂ©e par l'employeur ou son reprĂ©sentant. Elle comprend au minimum 3 membres reprĂ©sentants du personnel, dont au moins 1 reprĂ©sentant du 2nd collĂšge ou le cas Ă©chĂ©ant du 3e prestataires de services et les services vĂ©tĂ©rinaires seront invitĂ©s Ă participer aux rĂ©unions des La commission d'hygiĂšne, sĂ©curitĂ© et prĂ©ventionAu regard de l'attachement des partenaires sociaux aux enjeux en matiĂšre de santĂ© et de sĂ©curitĂ©, une commission d'hygiĂšne, sĂ©curitĂ© et prĂ©vention est constituĂ©e dans les entreprises n'atteignant pas 300 salariĂ©s mais occupant d'une façon habituelle un minimum de 25 commission, aura vocation Ă prĂ©parer et communiquer les Ă©lĂ©ments nĂ©cessaires permettant d'aborder au mieux les questions de santĂ© et de sĂ©curitĂ© lors des ce fait, les membres de la commission sont obligatoirement membres du CSE dont maximum 1/3 de supplĂ©ants. Elle comprend au minimum 3 membres reprĂ©sentants du personnel, dont au moins 1 reprĂ©sentant du second collĂšge ou le cas Ă©chĂ©ant du 3e prestataires de services et les services vĂ©tĂ©rinaires seront invitĂ©s Ă participer aux rĂ©unions des commissions d'hygiĂšne, sĂ©curitĂ© et prĂ©vention. Moyens de fonctionnement Les membres de la CSSCT et de la commission d'hygiĂšne, sĂ©curitĂ© et prĂ©vention disposent du temps nĂ©cessaire Ă l'exercice de leurs fonctions tant pour les rĂ©unions que pour les Ă©tudes et enquĂȘtes. Ce temps leur est payĂ© comme temps de travail disposent d'un crĂ©dit d'heures mensuel de dĂ©lĂ©gation qui dĂ©pend de l'effectif de l'Ă©tablissement â Ă©tablissements de 25 Ă 49 salariĂ©s 1 heure ; â Ă©tablissements de 50 Ă 149 3 heures ; â Ă©tablissements de 150 Ă 299 5 heures ; â Ă©tablissements de 300 Ă 999 7 heures ; â Ă©tablissements de 1 000 salariĂ©s et plus 10 crĂ©dit d'heures peut ĂȘtre utilisĂ© cumulativement dans la limite de 12 rĂšgle ne peut conduire un membre Ă disposer, dans le mois, de plus d'une fois et demie le crĂ©dit d'heures de dĂ©lĂ©gation dont il l'utilisation des heures ainsi cumulĂ©es, le reprĂ©sentant du CSSCT ou commission d'hygiĂšne, sĂ©curitĂ© et prĂ©vention doit informer l'employeur au plus tard 8 jours avant la date prĂ©vue. Formation des reprĂ©sentants Les membres de la CSSCT, de la commission d'hygiĂšne, sĂ©curitĂ© et prĂ©vention et par extension, conformĂ©ment aux dispositions lĂ©gales, du CSE, bĂ©nĂ©ficient, dans les conditions prĂ©cisĂ©es Ă la prĂ©sente convention collective, de la formation nĂ©cessaire Ă l'exercice de leurs missions. Le reprĂ©sentant syndical Ă la CSSCT, s'il existe, devra Ă©galement bĂ©nĂ©ficier d'une BĂ©nĂ©ficiairesBĂ©nĂ©ficient de cette formation les salariĂ©s qui, n'ayant pas dĂ©jĂ suivi une formation du type de celle prĂ©vue ici, dĂ©tiennent un mandat du personnel au CSE, Ă la CSSCT ou Ă la commission d'hygiĂšne, sĂ©curitĂ© et droit Ă la formation est renouvelable lorsque les reprĂ©sentants au CSSCT ou Ă la commission d'hygiĂšne, sĂ©curitĂ© et prĂ©vention ont exercĂ© leur mandat pendant 4 ans consĂ©cutifs ou Nature de la formationLa formation visĂ©e ci-dessus dont bĂ©nĂ©ficient les membres du CSE, de la CSSCT ou de la commission d'hygiĂšne, sĂ©curitĂ© et prĂ©vention a pour objet de dĂ©velopper leur aptitude Ă dĂ©celer et Ă mesurer les risques professionnels et Ă analyser les conditions de travail. Cette formation, qui revĂȘt un caractĂšre thĂ©orique et pratique, tend Ă initier ceux qui en bĂ©nĂ©ficient aux mĂ©thodes et aux procĂ©dĂ©s Ă mettre en Ćuvre pour prĂ©venir les risques professionnels et amĂ©liorer les conditions de travail. Elle est dispensĂ©e Ă chaque intĂ©ressĂ© selon un programme préétabli, qui tient compte des caractĂ©ristiques de la branche professionnelle Ă laquelle se rattache son Ă©tablissement. Elle rĂ©pond Ă©galement au caractĂšre spĂ©cifique de ces Ă©tablissements ainsi qu'au rĂŽle propre du bĂ©nĂ©ficiaire au sein de partenaires sociaux de la branche, conscients des diversitĂ©s de situations pouvant exister au sein mĂȘme de la branche, incitent les membres de la CSSCT et de la commission d'hygiĂšne, sĂ©curitĂ© et prĂ©vention Ă suivre une formation complĂ©mentaire, en sus de la formation lĂ©gale obligatoire, lorsque nĂ©cessaire leur permettant d'apprĂ©hender les particularitĂ©s de l'entreprise en matiĂšre de santĂ©, sĂ©curitĂ© et Conditions d'exercice du stage de formation. â DurĂ©e du stage de formationLe stage de formation est d'une durĂ©e de 5 jours est pris en 1 seule fois Ă moins que le bĂ©nĂ©ficiaire et l'employeur ne dĂ©cident d'un commun accord qu'il sera pris en 2 moment de la prise de mandat, l'employeur organisera une formation adaptĂ©e au contexte de l'entreprise auprĂšs d'un organisme de son choix dans la limite de 2 jours afin de permettre aux membres de la CSSCT et de la commission d'hygiĂšne, sĂ©curitĂ© et prĂ©vention d'apprĂ©hender au mieux les conditions locales d'exercice de l' Demande de stage de formationLe membre de la CSSCT et de la commission d'hygiĂšne, sĂ©curitĂ© et prĂ©vention qui entend bĂ©nĂ©ficier d'un stage de formation en fait la demande Ă son employeur. Cette demande prĂ©cise la date Ă laquelle il souhaite prendre son stage, la durĂ©e de celui-ci, son prix ainsi que le nom de l'organisme qui serait chargĂ© de l' demande de stage doit ĂȘtre prĂ©sentĂ©e au moins 30 jours avant le dĂ©but de l'employeur estime que l'absence du salariĂ© pourrait avoir des consĂ©quences prĂ©judiciables Ă la production et Ă la bonne marche de l'entreprise, le refus de la demande de congĂ© doit ĂȘtre notifiĂ© Ă l'intĂ©ressĂ© dans un dĂ©lai de 8 jours Ă compter de la rĂ©ception de la demande. Dans ce cas, il sera reportĂ© Ă une date fixĂ©e dans la limite de 6 mois par le salariĂ© en concertation avec l' rĂ©ponse de l'employeur doit ĂȘtre notifiĂ©e Ă l'intĂ©ressĂ© dans un dĂ©lai de 8 jours Ă compter de la rĂ©ception de la Organismes chargĂ©s d'assurer la formationLes organismes habilitĂ©s Ă dispenser la formation des membres de la CSSCT et de la commission d'hygiĂšne, sĂ©curitĂ© et prĂ©vention sont ceux visĂ©s Ă l'article R. 2315-12 du code du organismes dĂ©livrent Ă la fin du stage une attestation d'assiduitĂ© que l'intĂ©ressĂ© remet Ă son employeur lorsqu'il reprend son Prise en charge de la formation, des frais de dĂ©placement et maintien de la rĂ©munĂ©ration des intĂ©ressĂ©sL'employeur prend en charge â le maintien de la rĂ©munĂ©ration des intĂ©ressĂ©s pendant la durĂ©e du stage ; â les frais de dĂ©placement Ă concurrence du tarif de seconde classe des chemins de fer applicable au trajet le plus direct depuis le siĂšge de l'Ă©tablissement jusqu'au lieu oĂč est dispensĂ©e la formation ; â les frais de sĂ©jour sont pris en charge dans les conditions fixĂ©es par voie rĂ©glementaire ; â le paiement des organismes de formation se fait dans les limites fixĂ©es par voie rĂ©glementaire. L'hygiĂšne L'employeur prend toutes les mesures nĂ©cessaires pour assurer la sĂ©curitĂ© et protĂ©ger la santĂ© des salariĂ©s. Cette obligation est la base des principes gĂ©nĂ©raux de prĂ©vention parmi lesquels figure l' prĂ©judice des dispositions communautaires et nationales relatives au fonctionnement des Ă©tablissements mettant sur le marchĂ© des produits d'origine animale ou des denrĂ©es contenant des produits d'origine animale, du rĂšglement intĂ©rieur de l'entreprise ou du plan de maĂźtrise sanitaire de l'entreprise, l'hygiĂšne au travail repose notamment sur â des comportements individuels ; â des locaux adaptĂ©s ; â l'entretien et le nettoyage rĂ©guliers des locaux et Ă©quipements de travail. Comportements individuels L'hygiĂšne au travail dans les entreprises du secteur de la transformation des viandes nĂ©cessite un nettoyage rĂ©gulier des personnel affectĂ© Ă l'abattage des animaux, au travail et Ă la manipulation des viandes fraĂźches est tenu de se laver et de se dĂ©sinfecter les mains avant, pendant et aprĂšs les opĂ©rations de travail. Le lavage des mains se fait avec de l'eau et du savon mais la technique de lavage employĂ©e doit ĂȘtre adaptĂ©e aux besoins et/ou au milieu de vĂȘtements de travail et les Ă©quipements de protection individuelle EPI sont fournis gratuitement par l'employeur qui en assure l'entretien, la rĂ©paration ou le remplacement. L'employeur choisit des EPI appropriĂ©s aux risques Ă prĂ©venir, ainsi qu'aux conditions et caractĂ©ristiques particuliĂšres du EPI sont rĂ©servĂ©s Ă un usage personnel, sauf si la nature de l'Ă©quipement ou les circonstances exigent leur utilisation successive par plusieurs personnes casques par exemple. Dans ce cas, des mesures appropriĂ©es doivent ĂȘtre prises pour qu'une telle utilisation ne pose aucun problĂšme de santĂ© ou d'hygiĂšne aux diffĂ©rents utilisateurs. Locaux adaptĂ©s L'employeur met Ă la disposition des salariĂ©s les moyens d'assurer leur propretĂ© individuelle, notamment des vestiaires, des lavabos, des cabinets d'aisances, et des application de l'article R. 4225-5 du code du travail, un siĂšge appropriĂ© est mis Ă la disposition de chaque salariĂ© Ă son poste de travail ou Ă proximitĂ© de celui-ci lorsque l'exĂ©cution du travail est compatible avec la station assise, continue ou ces installations doivent ĂȘtre conçues de façon Ă permettre un nettoyage efficace. Elles sont maintenues en Ă©tat de propretĂ© constant et rĂ©guliĂšrement lavabos doivent ĂȘtre pourvus d'eau courante chaude et froide, de dispositifs pour le nettoyage et la dĂ©sinfection des mains ainsi que d'essuie-main Ă usage vestiaires collectifs sont isolĂ©s du lieu de travail mais placĂ©s Ă proximitĂ© du passage des salariĂ©s. Les armoires permettent de suspendre 2 vĂȘtements de ville. Elles comprennent un compartiment rĂ©servĂ© aux vĂȘtements de travail susceptibles d'ĂȘtre souillĂ©s de matiĂšres dangereuses, salissantes ou vestiaires doivent ĂȘtre adaptĂ©s afin de permettre notamment le sĂ©chage des vĂȘtements de travail dans un endroit amĂ©nagĂ© Ă cet cas de personnel mixte, les vestiaires et installations sanitaires doivent ĂȘtre les locaux fermĂ©s, l'air doit ĂȘtre renouvelĂ© de façon Ă maintenir un Ă©tat de puretĂ© de l'atmosphĂšre dans le but de prĂ©server la santĂ© des travailleurs et d'Ă©viter des Ă©lĂ©vations exagĂ©rĂ©es de tempĂ©rature, une humiditĂ© trop importante ou des odeurs aux dispositions du code du travail, il est interdit de manger dans les locaux de le nombre de salariĂ©s le justifie, l'employeur doit mettre Ă disposition un local spĂ©cifique permettant aux salariĂ©s de se reposer ou de se restaurer. Le local doit ĂȘtre clair, propre, aĂ©rĂ© et chauffĂ©. Il est Ă©quipĂ© d'un robinet d'eau potable, d'un rĂ©frigĂ©rateur et d'une installation permettant de rĂ©chauffer des plats. Le nettoyage de ce local et de ses Ă©quipements est Ă la charge de l'employeur. Les utilisateurs doivent cependant laisser aprĂšs usage un emplacement et des Ă©quipements salariĂ©s affectĂ©s Ă des postes oĂč sont effectuĂ©s des travaux salissants zones de bouverie, d'activitĂ© de premiĂšre transformation, 5e quartier, station d'Ă©puration, notamment dans des Ă©tablissements, notamment des abattoirs, doivent disposer de douches chaudes sur le lieu de travail. Les douches sont installĂ©es dans des cabines individuelles. Le temps passĂ© Ă la douche, sur le lieu de travail, dans la limite de 15 minutes par jour, est indemnisĂ© au taux horaire de base correspondant au niveau et Ă©chelon du salariĂ©. Il n'est pas considĂ©rĂ© comme du temps de travail effectif. Entretien et nettoyage des Ă©quipements et locaux de travail L'employeur met Ă disposition des salariĂ©s des locaux propres et en bon Ă©tat. Les locaux de travail et leurs annexes sont rĂ©guliĂšrement entretenus et nettoyĂ©s par l' les locaux, les Ă©quipements de travail outils, tenue de travail et autres Ă©quipements de protection doivent ĂȘtre nettoyĂ©s rĂ©guliĂšrement et entretenus rĂ©parĂ©s ou renouvelĂ©s. L'employeur met Ă disposition des salariĂ©s les facilitĂ©s nĂ©cessaires pour le maintien en bon Ă©tat du matĂ©riel et des instruments utilisĂ©s pour le travail. Article 24 non en vigueur RemplacĂ©La santĂ© et la sĂ©curitĂ© sur les lieux du travail des jeunes ouvriers font l'objet de dispositions lĂ©gales et rĂ©glementaires art. L. 4153-1 et suivants et D. 4153-1 et suivants du code du travail.En particulier les employeurs doivent se conformer aux dispositions des articles R. 4541-9, D. 4152-12 du code du travail limitant les charges qui peuvent ĂȘtre portĂ©es, traĂźnĂ©es ou poussĂ©es par les jeunes de moins de 18 jeunes travailleurs de moins de 18 ans, ne peuvent ĂȘtre employĂ©s notamment â au travail de cisailles, presses de toute nature, outils tranchants, autres que ceux mus par la force de l'opĂ©rateur lui-mĂȘme ; â au travail d'alimentation en marche des scies, machines Ă cylindres, broyeurs, malaxeurs, mus mĂ©caniquement. 1Il est interdit d'occuper les jeunes travailleurs de moins de 18 ans aux travaux d'abattage des animaux dans les abattoirs et de les admettre de maniĂšre habituelle dans les locaux affectĂ©s Ă ces travaux. 1Par exception, des apprentis ĂągĂ©s de moins de 18 ans sous contrat d'apprentissage et sous certaines conditions prĂ©cisĂ©es par le code du travail, peuvent ĂȘtre occupĂ©s aux travaux d'abattage des animaux dans les abattoirs. Les apprentis dans leur derniĂšre annĂ©e de contrat d'apprentissage ont accĂšs aux locaux ou poste de travail spĂ©cifiquement affectĂ© Ă l'anesthĂ©sie et Ă la saignĂ©e des animaux. 11 Les stipulations de l'article 24, Ă partir de la phrase Les jeunes travailleurs de moins de 18 ans ne peuvent ĂȘtre employĂ©s notamment » jusqu'Ă la fin de cet article, fondĂ©es sur des articles obsolĂštes du code du travail, dont les dispositions ont Ă©tĂ© largement modifiĂ©s par le dĂ©cret 2013-915 du 11 octobre 2013, sont exclues de l'extension pour non-conformitĂ© avec les dispositions actuellement en vigueur des articles D. 4153-28 et D. 4153-37 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1Dispositions particuliĂšres aux jeunes travailleurs en matiĂšre d'hygiĂšne et de sĂ©curitĂ© La santĂ© et la sĂ©curitĂ© sur les lieux du travail des jeunes ouvriers font l'objet de dispositions lĂ©gales et rĂ©glementaires art. L. 4153-1 et suivants et D. 4153-1 et suivants du code du travail.En particulier les employeurs doivent se conformer aux dispositions des articles R. 4541-9, D. 4152-12 du code du travail limitant les charges qui peuvent ĂȘtre portĂ©es, traĂźnĂ©es ou poussĂ©es par les jeunes de moins de 18 ans. Titre IV Relations individuelles de travail â Le contrat de travail Sous-titre Ier Embauche. â ExĂ©cution du contrat de travail LibertĂ© d'opinion et non-discriminationDroits et libertĂ©s dans l'entreprise Nul ne peut apporter aux droits des personnes et aux libertĂ©s individuelles et collectives de restrictions qui ne seraient pas justifiĂ©es par la nature de la tĂąche Ă accomplir ni proportionnĂ©es au but recherchĂ© conformĂ©ment Ă l'article L. 1121-1 du code du travail. Non-discrimination au recrutement Aucune personne ne peut ĂȘtre Ă©cartĂ©e d'une procĂ©dure de recrutement ou de l'accĂšs Ă un stage ou Ă une pĂ©riode de formation en entreprise, aucun salariĂ© ne peut ĂȘtre sanctionnĂ©, licenciĂ© ou faire l'objet d'une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, notamment en matiĂšre de rĂ©munĂ©ration, de mesures d'intĂ©ressement ou de distribution d'actions, de formation, de reclassement, d'affectation, de qualification, de classification, de promotion professionnelle, de mutation ou de renouvellement de contrat en raison de son origine, de son sexe, de ses mĆurs, de son orientation ou identitĂ© sexuelle, de son identitĂ© de genre, de son Ăąge, de sa situation de famille ou de sa grossesse, de ses caractĂ©ristiques gĂ©nĂ©tiques, de la particuliĂšre vulnĂ©rabilitĂ© rĂ©sultant de sa situation Ă©conomique, apparente ou connue de son auteur, de son appartenance ou de sa non-appartenance, vraie ou supposĂ©e, Ă une ethnie, une nation ou une prĂ©tendue origine, de ses opinions politiques, de ses activitĂ©s syndicales ou mutualistes, de ses convictions religieuses, de son apparence physique, de son nom de famille de son lieu de rĂ©sidence ou de sa domiciliation bancaire, ou en raison de son Ă©tat de santĂ©, de sa perte d'autonomie ou de son handicap, de sa capacitĂ© Ă s'exprimer dans une langue autre que le français visĂ© Ă l'article L. 1132-1 du code du employeurs font connaĂźtre leurs besoins en main-d'Ćuvre aux services compĂ©tents de l'Ătat. Ils peuvent, en outre, recourir au recrutement personnel est tenu rĂ©guliĂšrement informĂ© des catĂ©gories professionnelles dans lesquelles des postes et/ou emplois sont vacants par tout moyen appropriĂ©. Le contrat Ă durĂ©e indĂ©terminĂ©e Le contrat Ă durĂ©e indĂ©terminĂ©e est la norme en matiĂšre de contrat de travail dans la branche Industries et commerces en gros des recours Ă d'autres types de contrats doit ĂȘtre justifiĂ© selon la rĂ©glementation en vigueur. Le contrat Ă durĂ©e dĂ©terminĂ©e La durĂ©e totale du CDD pour surcroĂźt d'activitĂ© ne peut pas excĂ©der 18 mois, renouvellement nombre de renouvellements possibles est portĂ© Ă 6, sous respect de la durĂ©e renouvellement devra faire l'objet d'un avenant avant le terme initialement prĂ©vu du n'existe pas de dĂ©lai de carence entre 2 dispositions ne doivent pas avoir pour objet, ni pour effet de pourvoir durablement Ă un emploi liĂ© Ă l'activitĂ© normale et permanente de l'entreprise. PĂ©riode d'essai Toute embauche Ă durĂ©e indĂ©terminĂ©e est prĂ©cĂ©dĂ©e d'une pĂ©riode d'essai dont les conditions et la durĂ©e sont, pour chaque catĂ©gorie de salariĂ©s indiquĂ©es durĂ©e de la pĂ©riode d'essaiâ 2 mois pour les ouvriers et employĂ©s ; â 3 mois pour les agents de maĂźtrise et techniciens ; â 4 mois pour les de prĂ©venanceAinsi, lorsqu'il est mis fin, par l'employeur, au contrat en cours ou au terme de la pĂ©riode d'essai dĂ©finie aux articles L. 1221-19 Ă L. 1221-24 du code du travail, le salariĂ© est prĂ©venu dans un dĂ©lai qui ne peut ĂȘtre infĂ©rieur Ă â 24 heures en deçà de 8 jours de prĂ©sence ; â 48 heures entre 8 jours et 1 mois de prĂ©sence ; â 2 semaines aprĂšs 1 mois de prĂ©sence ; â 1 mois aprĂšs 3 mois de ailleurs, en application de l'article L. 1221-26 du code du travail, lorsqu'il est mis fin Ă la pĂ©riode d'essai par le salariĂ©, celui-ci respecte un dĂ©lai de prĂ©venance de 48 heures. Ce dĂ©lai est ramenĂ© Ă 24 heures si la durĂ©e de prĂ©sence du salariĂ© dans l'entreprise est infĂ©rieure Ă 8 jours. Remplacements La notion de remplacement au sens du prĂ©sent article est le fait d'assurer, provisoirement, le poste du titulaire situations peuvent se prĂ©senter â le remplacement dans un poste de classification supĂ©rieure dans ce cas, le salariĂ© assurant le remplacement perçoit une indemnitĂ© compensatrice de remplacement Ă©gale Ă la diffĂ©rence entre son salaire de base et le salaire minimum du poste qu'il occupe au titre du remplacement ; â le remplacement dans un poste de classification infĂ©rieure tout salariĂ© pourra ĂȘtre amenĂ© Ă effectuer de maniĂšre provisoire des travaux correspondant Ă une classification infĂ©rieure dans ce cas, il n'y a aucun changement de classification, ni de diminution du salaire de les 2 situations, l'ensemble des primes affĂ©rentes attachĂ©es Ă l'emploi provisoirement occupĂ© sont accordĂ©es. En revanche, l'ensemble des primes de l'emploi habituel ne sont pas remplacement dans un poste diffĂ©rent implique que le salariĂ© dispose des compĂ©tences nĂ©cessaires Ă la tenue dudit poste, et en consĂ©quence d'un certain degrĂ© de polyvalence. Le salariĂ© sera formĂ© sur les postes sur lesquels il est susceptible d'effectuer des remplacements, notamment sur la partie sĂ©curitĂ©. Mutation Si, Ă la suite d'accords Ă©conomiques ou autres survenant entre 2 ou plusieurs entreprises, quelle que soit la nature de leur activitĂ©, un collaborateur d'une des entreprises accepte de passer dans une autre, son contrat de travail sera transfĂ©rĂ© conventionnellement, lequel prĂ©voira â la reprise de l'anciennetĂ© du salariĂ©, et des droits y affĂ©rents ; â le maintien des dispositions contractuelles du transfert du contrat de travail du salariĂ© fera l'objet d'une convention tripartite de transfert, afin d'acter le consentement des salariĂ© devra bĂ©nĂ©ficier d'un dĂ©lai de rĂ©flexion de 1 dispositions ne s'appliquent pas lorsque le transfert s'effectue dans le cadre de l'application de plein droit de l'article L. 1224-1 du code du travail. Absences fortuites. â JournĂ©e dĂ©fense et citoyennetĂ©Absences fortuites Sauf en cas de maladie ou d'accident, toute absence du salariĂ©, quelle qu'en soit la durĂ©e, doit faire l'objet d'une autorisation prĂ©alable du supĂ©rieur hiĂ©rarchique ou de la cas d'absence imprĂ©vue ou pour une raison rĂ©ellement indĂ©pendante de sa volontĂ©, le salariĂ© doit aviser l'employeur dans les 48 heures par tout moyen Ă sa convenance, sauf cas de force non autorisĂ©e prĂ©alablement ou non justifiĂ©e dans les 48 heures constitue une absence absences provoquĂ©es par maladie ou accident constituent une simple suspension du contrat de travail dans les limites prĂ©cisĂ©es Ă l'article 31 Ă condition qu'elles soient Ă la fois â notifiĂ©es aussitĂŽt que possible Ă l'employeur, sauf cas de force majeure ; â justifiĂ©es dans les 48 heures suivant l'arrĂȘt par un certificat mĂ©dical indiquant la durĂ©e prĂ©visible de l'indisponibilitĂ©. L'absence de prĂ©sentation du certificat mĂ©dical dans le dĂ©lai indiquĂ© ci-dessus constitue une faute qui peut entraĂźner la rupture du contrat de prolongations successives d'arrĂȘt de travail doivent ĂȘtre signalĂ©es Ă l'employeur au plus tard la veille du jour prĂ©vu initialement pour la reprise, sauf Ă ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme absences irrĂ©guliĂšres ; le certificat mĂ©dical justificatif doit ĂȘtre produit dans les 48 heures, sous peine des mĂȘmes sanctions que pour le certificat initial d'arrĂȘt de travail. Absences spĂ©cifiques liĂ©es Ă des activitĂ©s d'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral ou civil a JournĂ©e dĂ©fense et citoyennetĂ©Tout jeune salariĂ© ou apprenti de 16 Ă moins de 26 ans est autorisĂ© Ă s'absenter de maniĂšre exceptionnelle pour participer Ă la journĂ©e dĂ©fense et citoyennetĂ©, dans les conditions prĂ©vues aux articles L. 114-1 et suivants du code du service journĂ©e dĂ©fense et citoyennetĂ© est un cas d'absence rĂ©munĂ©rĂ© par l'employeur ; elle est assimilĂ©e Ă un jour de travail effectif pour la dĂ©termination de la durĂ©e du congĂ© annuel. Elle n'entraĂźne pas de rĂ©duction de la rĂ©munĂ©ration, et ne peut pas ĂȘtre un motif de rupture du contrat de Autres absencesIl convient de se rĂ©fĂ©rer aux dispositions lĂ©gales en ce qui concerne les autres types d'absences spĂ©cifiquement prĂ©vues rĂ©servistes militaires, sapeur-pompier volontaire, Ă©lectionsâŠ. Absences pour maladie ou accident Article non en vigueur RemplacĂ©Sauf cas de force majeure, le salariĂ© doit informer aussi tĂŽt que possible l'employeur des absences rĂ©sultant de maladies ou d'accidents y compris les accidents du travail. La justification des absences doit ĂȘtre fournie par l'intĂ©ressĂ© dans les 48 heures. a En cas d'accident du trajet, de maladie ou accident non professionnels 1La durĂ©e de garantie d'emploi est fixĂ©e Ă â 4 mois pour les salariĂ©s ayant entre 6 mois et 3 ans d'anciennetĂ© ; â 6 mois pour les salariĂ©s ayant plus de 3 ans d'anciennetĂ© ; â 12 mois pour les salariĂ©s ayant plus de 3 ans d'anciennetĂ© atteints d'une affection grave au sens de l'article L. 322-3, alinĂ©a 3 du code de la sĂ©curitĂ© sociale. Dans cette hypothĂšse, le salariĂ© a Ă©tĂ© reconnu atteint d'une affection comportant un traitement prolongĂ© et une thĂ©rapeutique particuliĂšrement coĂ»teuse entraĂźnant une exonĂ©ration totale du ticket modĂ©rateur. Dans tous les cas, l'anciennetĂ© s'apprĂ©cie au 1er jour de l'arrĂȘt de travail. Dans le cas oĂč un salariĂ© est absent pour cause d'accident de trajet, maladie ou accident non professionnels, 2 ou plusieurs fois au cours d'une mĂȘme annĂ©e civile, la garantie prĂ©vue Ă l'alinĂ©a ci-dessus reste limitĂ©e Ă la durĂ©e de la suspension correspondant Ă l'anciennetĂ© du salariĂ©. Dans le cas oĂč l'absence ininterrompue d'un salariĂ© se poursuit l'annĂ©e civile suivante la garantie reste Ă©galement limitĂ©e Ă la durĂ©e de la suspension correspondant Ă l'anciennetĂ© du salariĂ©, constatĂ©e au premier jour de l'arrĂȘt de travail. Si l'absence du salariĂ© se prolonge au-delĂ de ces durĂ©es, son contrat de travail peut ĂȘtre rompu dans certains cas prĂ©vus par la loi. Dans ce cas, l'employeur doit observer la procĂ©dure applicable en cas de licenciement individuel prĂ©vue Ă l'article 45 de la prĂ©sente convention collective. Le salariĂ©, dont le contrat se trouve ainsi rĂ©siliĂ©, bĂ©nĂ©ficie pendant une durĂ©e de 6 mois Ă compter de la fin de son indisponibilitĂ© d'un droit de prĂ©fĂ©rence pour occuper dans l'Ă©tablissement un autre emploi adaptĂ© Ă ses nouvelles aptitudes physiques, pour autant qu'un tel emploi existe et soit vacant. Pour bĂ©nĂ©ficier de ce droit, l'intĂ©ressĂ© doit notifier Ă la direction, dans les 15 jours suivant l'expiration de son indisponibilitĂ©, son intention de s'en prĂ©valoir. b En cas de maladie professionnelle ou d'accident du travail Sans aucune condition d'anciennetĂ©, la durĂ©e de la garantie d'emploi du salariĂ© est Ă©gale Ă la durĂ©e totale de la maladie professionnelle ou de l'accident du travail augmentĂ©e, le cas Ă©chĂ©ant, de la durĂ©e du dĂ©lai d'attente et de celle du stage de rĂ©adaptation, de rééducation ou de formation professionnelle que doit suivre l'intĂ©ressĂ©. Ă l'issue de cette pĂ©riode de suspension, si le salariĂ© est dĂ©clarĂ© apte par le mĂ©decin du travail, il retrouve son emploi ou un emploi similaire assorti d'une rĂ©munĂ©ration Ă©quivalente. En revanche, si le salariĂ© est dĂ©clarĂ© inapte par le mĂ©decin du travail Ă reprendre l'emploi qu'il occupait prĂ©cĂ©demment, l'employeur est tenu de lui proposer, aprĂšs avis du CSE et en fonction des indications formulĂ©es par le mĂ©decin du travail, un autre emploi adaptĂ© Ă ses aptitudes physiques. Le nouvel emploi proposĂ© doit ĂȘtre autant que possible comparable Ă l'emploi prĂ©cĂ©demment occupĂ©. Le cas Ă©chĂ©ant, l'employeur met en Ćuvre des mesures telles que mutations, transformations de postes ou amĂ©nagements du temps de travail. S'il ne peut proposer un autre emploi, l'employeur est tenu de faire connaĂźtre par Ă©crit les motifs qui s'opposent au reclassement. L'employeur ne peut prononcer le licenciement que s'il justifie soit de l'impossibilitĂ© oĂč il se trouve de proposer un emploi dans les conditions prĂ©vues ci-dessus, soit du refus par le salariĂ© de l'emploi proposĂ©. S'il est prononcĂ©, le licenciement doit ĂȘtre effectuĂ© suivant les rĂšgles fixĂ©es Ă l'article 45 de la prĂ©sente convention collective, et donne droit, pour le salariĂ©, Ă une indemnitĂ© compensatrice de prĂ©avis d'un montant Ă©gal Ă celui fixĂ© Ă l'article 46 de la prĂ©sente convention collective, ainsi qu'Ă une indemnitĂ© spĂ©ciale de licenciement Ă©gale au double de l'indemnitĂ© lĂ©gale sans aucune condition d'anciennetĂ©. Ces indemnitĂ©s se calculent sur la base du salaire moyen y compris les primes, gratifications et avantages de toute nature qui aurait Ă©tĂ© perçu par l'intĂ©ressĂ© au cours des 3 derniers mois ou des 12 derniers mois, selon la formule la plus avantageuse pour le salariĂ©, s'il avait continuĂ© Ă travailler au poste qu'il occupait avant son accident ou sa maladie professionnelle. Toutefois, les indemnitĂ©s ci-dessus ne sont pas dues par l'employeur qui Ă©tablit que le refus par le salariĂ© du reclassement proposĂ© est abusif.1 L'article 31-1 a est Ă©tendu sous rĂ©serve de l'application des dispositions prĂ©vues Ă l'article L. 1226-2-1 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1Garantie d'emploi Sauf cas de force majeure, le salariĂ© doit informer aussi tĂŽt que possible l'employeur des absences rĂ©sultant de maladies ou d'accidents y compris les accidents du travail.La justification des absences doit ĂȘtre fournie par l'intĂ©ressĂ© dans les 48 En cas d'accident du trajet, de maladie ou accident non professionnelsLa durĂ©e de garantie d'emploi est fixĂ©e Ă â 4 mois pour les salariĂ©s ayant entre 6 mois et 3 ans d'anciennetĂ© ; â 6 mois pour les salariĂ©s ayant plus de 3 ans d'anciennetĂ© ; â 12 mois pour les salariĂ©s ayant plus de 3 ans d'anciennetĂ© atteints d'une affection grave au sens de l'article L. 322-3 alinĂ©a 3 du code de la sĂ©curitĂ© sociale. Dans cette hypothĂšse, le salariĂ© a Ă©tĂ© reconnu atteint d'une affection comportant un traitement prolongĂ© et une thĂ©rapeutique particuliĂšrement coĂ»teuse entraĂźnant une exonĂ©ration totale du ticket tous les cas, l'anciennetĂ© s'apprĂ©cie au premier jour de l'arrĂȘt de le cas oĂč un salariĂ© est absent pour cause d'accident de trajet, maladie ou accident non professionnels, deux ou plusieurs fois au cours d'une mĂȘme annĂ©e civile, la garantie prĂ©vue Ă l'alinĂ©a ci-dessus reste limitĂ©e Ă la durĂ©e de la suspension correspondant Ă l'anciennetĂ© du le cas oĂč l'absence ininterrompue d'un salariĂ© se poursuit l'annĂ©e civile suivante la garantie reste Ă©galement limitĂ©e Ă la durĂ©e de la suspension correspondant Ă l'anciennetĂ© du salariĂ©, constatĂ©e au premier jour de l'arrĂȘt de l'absence du salariĂ© se prolonge au-delĂ de ces durĂ©es, son contrat de travail peut ĂȘtre rompu dans certains cas prĂ©vus par la loi. Dans ce cas, l'employeur doit observer la procĂ©dure applicable en cas de licenciement individuel prĂ©vue Ă l'article 45 de la prĂ©sente convention salariĂ©, dont le contrat se trouve ainsi rĂ©siliĂ©, bĂ©nĂ©ficie pendant une durĂ©e de 6 mois Ă compter de la fin de son indisponibilitĂ© d'un droit de prĂ©fĂ©rence pour occuper dans l'Ă©tablissement un autre emploi adaptĂ© Ă ses nouvelles aptitudes physiques, pour autant qu'un tel emploi existe et soit vacant. Pour bĂ©nĂ©ficier de ce droit, l'intĂ©ressĂ© doit notifier Ă la direction, dans les 15 jours suivant l'expiration de son indisponibilitĂ©, son intention de s'en dispositions prĂ©citĂ©es ne trouvent pas Ă s'appliquer en cas de licenciement pour cause d'inaptitude au poste constatĂ©e par le mĂ©decin du travail, conformĂ©ment aux dispositions aux articles L. 1226-2 et suivants du code du En cas de maladie professionnelle ou d'accident du travailSans aucune condition d'anciennetĂ©, la durĂ©e de la garantie d'emploi du salariĂ© est Ă©gale Ă la durĂ©e totale de la maladie professionnelle ou de l'accident du travail augmentĂ©e, le cas Ă©chĂ©ant, de la durĂ©e du dĂ©lai d'attente et de celle du stage de rĂ©adaptation, de rééducation ou de formation professionnelle que doit suivre l' l'issue de cette pĂ©riode de suspension, si le salariĂ© est dĂ©clarĂ© apte par le mĂ©decin du travail, il retrouve son emploi ou un emploi similaire assorti d'une rĂ©munĂ©ration revanche, si le salariĂ© est dĂ©clarĂ© inapte par le mĂ©decin du travail Ă reprendre l'emploi qu'il occupait prĂ©cĂ©demment, l'employeur est tenu de lui proposer, aprĂšs avis du CSE et en fonction des indications formulĂ©es par le mĂ©decin du travail, un autre emploi adaptĂ© Ă ses aptitudes nouvel emploi proposĂ© doit ĂȘtre autant que possible comparable Ă l'emploi prĂ©cĂ©demment occupĂ©. Le cas Ă©chĂ©ant, l'employeur met en Ćuvre des mesures telles que mutations, transformations de postes ou amĂ©nagements du temps de ne peut proposer un autre emploi, l'employeur est tenu de faire connaĂźtre par Ă©crit les motifs qui s'opposent au ne peut prononcer le licenciement que s'il justifie d'une mention expresse dans l'avis du mĂ©decin du travail le dispensant de procĂ©der Ă une recherche de reclassement, ou de l'impossibilitĂ© oĂč il se trouve de proposer un poste de reclassement ou enfin en cas de refus par le salariĂ© de l'emploi de reclassement est prononcĂ©, le licenciement doit ĂȘtre effectuĂ© suivant les rĂšgles fixĂ©es Ă l'article 45 de la prĂ©sente convention collective, et donne droit, pour le salariĂ©, Ă une indemnitĂ© compensatrice de prĂ©avis d'un montant Ă©gal Ă celui fixĂ© Ă l'article 46 de la prĂ©sente convention collective, ainsi qu'Ă une indemnitĂ© spĂ©ciale de licenciement Ă©gale au double de l'indemnitĂ© lĂ©gale sans aucune condition d' indemnitĂ©s se calculent sur la base du salaire moyen y compris les primes, gratifications et avantages de toute nature qui aurait Ă©tĂ© perçu par l'intĂ©ressĂ© au cours des 3 derniers mois ou des 12 derniers mois, selon la formule la plus avantageuse pour le salariĂ©, s'il avait continuĂ© Ă travailler au poste qu'il occupait avant son accident ou sa maladie les indemnitĂ©s ci-dessus ne sont pas dues par l'employeur qui Ă©tablit que le refus par le salariĂ© du reclassement proposĂ© est abusif. Indemnisation des ouvriers et employĂ©s a DurĂ©eEn cas de maladies ou d'accidents dĂ»ment constatĂ©s par certificat mĂ©dical adressĂ© Ă l'employeur dans les 48 heures, les salariĂ©s sont indemnisĂ©s selon les conditions ci-dessous â maladie, accident non professionnels 4 mois maximum, sous rĂ©serve d'une prĂ©sence continue minimale de 6 mois ; â maladie professionnelle, accident du travail, accident de trajet 5 mois maximum, sous rĂ©serve d'une prĂ©sence continue minimale de 1 prĂ©sence continue minimale du salariĂ© s'apprĂ©cie au premier jour de l'arrĂȘt du de chaque arrĂȘt de travail, les dĂ©lais d'indemnisation commencent Ă courir Ă compter â du 1er jour d'absence si celle-ci est consĂ©cutive Ă un accident du travail, Ă un accident du trajet ou Ă une maladie professionnelle, â du 6e jour d'absence si elle est consĂ©cutive Ă une maladie ou Ă un accident non professionnel sauf cas de rechute d'une mĂȘme maladie donnant lieu Ă suppression du dĂ©lai de carence de la sĂ©curitĂ© sociale.Lorsque la maladie ou l'accident non-professionnels excĂšde 45 jours, le dĂ©lai de carence de 5 jours est ramenĂ© Ă celui de la sĂ©curitĂ© sociale. Il en est de mĂȘme en cas d' cas oĂč plusieurs absences pour maladie ou accident interviennent au cours d'une mĂȘme annĂ©e civile, l'intĂ©ressĂ© est indemnisĂ© pour chacune de ces absences dans les conditions indiquĂ©es aux paragraphes ci-dessus. En tout Ă©tat de cause la durĂ©e totale d'indemnisation est limitĂ©e aux durĂ©es maximales prĂ©vues au 1er le cas oĂč l'absence ininterrompue d'un salariĂ© se poursuit l'annĂ©e suivante, la durĂ©e maximale d'indemnisation reste Ă©galement limitĂ©e aux durĂ©es maximales prĂ©vues au 1er paragraphe mĂȘme si l'absence du salariĂ© a dĂ©butĂ© l'annĂ©e IndemnisationL'indemnitĂ© se calcule de maniĂšre Ă maintenir au salariĂ© malade ou accidentĂ© 100 % du salaire effectif net qu'il aurait gagnĂ© s'il avait travaillĂ©, sous dĂ©duction de la CSG/CRDS sur les IJSS perçues et des indemnitĂ©s ayant le caractĂšre de remboursement de frais panier, transport, etc. et primes liĂ©es Ă la prĂ©sence effective du salariĂ© habillage, etc..La rĂ©munĂ©ration Ă prendre en considĂ©ration est celle correspondant Ă l'horaire pratiquĂ©, pendant l'absence de l'intĂ©ressĂ©, dans l'Ă©tablissement ou partie d'Ă©tablissement. Toutefois, si par suite d'absence de l'intĂ©ressĂ©, l'horaire du personnel restant au travail devait ĂȘtre augmentĂ©, cette augmentation ne serait pas prise en considĂ©ration pour la fixation de la l'indemnitĂ© ainsi calculĂ©e est dĂ©duite la valeur des prestations reprĂ©sentatives de salaire que les intĂ©ressĂ©s toucheront du fait â de la sĂ©curitĂ© sociale lorsque les indemnitĂ©s de la sĂ©curitĂ© sociale sont rĂ©duites du fait, par exemple, de l'hospitalisation ou d'une sanction de la caisse pour non-respect de son rĂšglement intĂ©rieur, elles sont rĂ©putĂ©es ĂȘtre servies intĂ©gralement ; â des assurances accidents, Ă l'exclusion des assurances individuelles constituĂ©es par leur seul versement ; â de tout rĂ©gime de prĂ©voyance, mais pour la seule quotitĂ© correspondant au versement de l'employeur ; â des indemnitĂ©s versĂ©es par les responsables de l'accident ou leur prestations ci-dessus devront ĂȘtre justifiĂ©es par les intĂ©ressĂ©s dans les meilleurs dĂ©lais sur prĂ©sentation des relevĂ©s ou bordereaux de paiement des organismes cas d'accident causĂ© par un tiers, les paiements seront faits Ă titre d'avance sur les indemnitĂ©s dues par le tiers responsable ou son assurance, Ă la condition que l'intĂ©ressĂ© ait engagĂ© les poursuites nĂ©cessaires. Indemnisation des techniciens et agents de maĂźtrise Les appointements des agents de maĂźtrise, techniciens ou assimilĂ©s dont le contrat se trouve suspendu Ă la suite de maladie ou accident dĂ»ment constatĂ©s et reconnus par certificat mĂ©dical sont, selon les cas, maintenus ou complĂ©tĂ©s afin que les ressources des intĂ©ressĂ©s atteignent les chiffres suivants â aprĂšs 6 mois de prĂ©sence dans l'entreprise et jusqu'Ă 10 ans 100 % pendant 4 mois ; â aprĂšs 10 ans de prĂ©sence dans l'entreprise 100 % pendant 4 mois, 70 % pendant les 3 mois cas d'accident du travail ou de maladie professionnelle dĂ»ment constatĂ© et reconnu par la sĂ©curitĂ© sociale, la condition de prĂ©sence est ramenĂ©e Ă la durĂ©e de la pĂ©riode d'essai. L'indemnisation est assurĂ©e comme suit Ă compter du premier jour d'arrĂȘt de travail â 100 % pendant 5 prestations touchĂ©es par les intĂ©ressĂ©s â indemnitĂ©s journaliĂšres versĂ©es par les organismes de sĂ©curitĂ© sociale ; â indemnitĂ©s journaliĂšres Ă©ventuellement versĂ©es par un autre rĂ©gime de prĂ©voyance, mais pour la seule quotitĂ© versĂ©e par l'employeur ; â indemnitĂ©s versĂ©es par les responsables d'un accident, Ă l'exclusion de celles provenant d'une assurance individuelle contractĂ©e par les intĂ©ressĂ©s et constituĂ©e par leurs seuls versements, feront l'objet d'une dĂ©claration Ă l'employeur pour que la dĂ©duction en soit un salariĂ© agent de maĂźtrise, technicien ou assimilĂ© se trouve plusieurs fois en arrĂȘt maladie, la durĂ©e d'indemnisation ne peut excĂ©der au total celle des pĂ©riodes fixĂ©es ci-dessus compte tenu de l'anciennetĂ© de l'intĂ©ressĂ© au dĂ©but de sa maladie. Dans le cas oĂč ces absences imposeraient le remplacement effectif de l'intĂ©ressĂ©, la notification du remplacement ne peut avoir effet avant l'expiration des pĂ©riodes d'indemnisation prĂ©vues ci-dessus. Cette notification devra ĂȘtre faite par lettre recommandĂ©e. L'intĂ©ressĂ© percevra les indemnitĂ©s de licenciement prĂ©vues Ă l'article 47 de la prĂ©sente indemnitĂ©s de maladie tiennent lieu d'indemnitĂ© de prĂ©avis. Toutefois, les intĂ©ressĂ©s auront une prioritĂ© absolue de rĂ©engagement dans un emploi similaire durant les 12 mois suivant leur licenciement. Indemnisation des cadres Les appointements des cadres, dont le contrat se trouve suspendu Ă la suite de maladie ou accident, dĂ»ment constatĂ© et reconnu par certificat mĂ©dical, sont complĂ©tĂ©s ou maintenus dans les conditions suivantes â aprĂšs 6 mois de prĂ©sence dans l'entreprise ââ 100 % pendant 4 mois ; ââ 70 % pendant les 2 mois suivants, â aprĂšs 3 ans de prĂ©sence dans l'entreprise ââ 100 % pendant 4 mois ; ââ 70 % pendant les 3 mois suivants, â au-delĂ de 8 ans de prĂ©sence dans l'entreprise ââ 100 % pendant 4 mois ; ââ 70 % pendant les 4 mois du travail et maladie professionnelle En cas d'accident du travail ou de maladie professionnelle dĂ»ment constatĂ© et reconnu par la sĂ©curitĂ© sociale, la condition de prĂ©sence est ramenĂ©e Ă la durĂ©e de la pĂ©riode d'essai. L'indemnisation est assurĂ©e comme suit Ă compter du premier jour d'arrĂȘt de travail â 100 % pendant 5 mois ; â 75 % pendant les 3 mois prestations touchĂ©es par les intĂ©ressĂ©s â indemnitĂ©s journaliĂšres versĂ©es par les organismes de sĂ©curitĂ© sociale ; â indemnitĂ©s journaliĂšres Ă©ventuellement versĂ©es par un autre rĂ©gime de prĂ©voyance mais pour la seule quotitĂ© versĂ©e par l'employeur ; â indemnitĂ©s versĂ©es par les responsables d'un accident, Ă l'exclusion de celles provenant d'une assurance individuelle contractĂ©e par les intĂ©ressĂ©s et constituĂ©e par leurs seuls versements, feront l'objet d'une dĂ©claration Ă l'employeur pour que la dĂ©duction en soit plusieurs congĂ©s de maladie sont accordĂ©s au cours d'une mĂȘme annĂ©e civile, la durĂ©e totale d'indemnisation ne peut dĂ©passer, au cours de cette mĂȘme annĂ©e, la durĂ©e Ă laquelle l'anciennetĂ© de l'intĂ©ressĂ© lui donnait droit au dĂ©but de sa une mĂȘme absence, la durĂ©e totale d'indemnisation ne peut, d'autre part, dĂ©passer la durĂ©e Ă laquelle l'anciennetĂ© de l'intĂ©ressĂ© lui donne cas de dĂ©cĂšs ou d'incapacitĂ© permanente totale rĂ©sultant d'un accident du travail ou d'une maladie professionnelle contractĂ©e dans l'entreprise, l'employeur garantira au cadre ou Ă ses ayants droit une somme Ă©gale Ă la rĂ©munĂ©ration perçue pendant ses 12 derniers mois d'activitĂ©, cette garantie Ă©tant accordĂ©e par lui-mĂȘme ou par une assurance au nom du garantie est indĂ©pendante de celle accordĂ©e pour les mĂȘmes objets par la sĂ©curitĂ© sociale ou le rĂ©gime de retraite des cadres en vertu de ses dispositions minima obligatoires. Toutefois, si l'employeur assume bĂ©nĂ©volement la couverture de ce risque, sous quelque forme que ce soit, il pourra en tenir compte dans le calcul de cette garantie. Remplacement en cas de maladie ou d'accident des cadres Les absences rĂ©sultant de maladie ou d'accident dĂ»ment constatĂ©es ne constituent pas une rupture du contrat de le cas oĂč ces absences imposeraient le remplacement dĂ©finitif de l'intĂ©ressĂ© la notification du remplacement ne peut avoir effet qu'Ă l'expiration des pĂ©riodes d'indemnisation prĂ©vues Ă l'article 31 de la prĂ©sente CCN. Cette notification doit ĂȘtre faite par lettre employeurs s'engagent Ă ne procĂ©der Ă de tels congĂ©diements qu'en cas de nĂ©cessitĂ© s'il n'a pas Ă©tĂ© possible de recourir Ă un remplacement provisoire. L'intĂ©ressĂ© aura alors une prioritĂ© de rĂ©engagement dans son ancien emploi ou un emploi Ă©quivalent et, dans la mesure du possible, similaire durant les 2 annĂ©es suivant son prioritĂ© ainsi prĂ©vue cessera si l'intĂ©ressĂ© refuse l'offre de rĂ©engagement faite dans les conditions prĂ©vues cadre ainsi licenciĂ© recevra a Les indemnitĂ©s de maladie pendant la pĂ©riode prĂ©vue, ou jusqu'au jour de sa guĂ©rison, si celle-ci est antĂ©rieure Ă la fin de ladite pĂ©riode ; b Le montant de l'indemnitĂ© de les absences pour accident du travail ou maladie professionnelle contractĂ©e dans l'entreprise ne pourront entraĂźner rupture du contrat de travail pendant le temps oĂč les indemnitĂ©s journaliĂšres sont versĂ©es par la sĂ©curitĂ© sociale. Protection de la maternitĂ© naturelle et adoptive a Interdiction de licencier pendant la grossesse ou le congĂ© d'adoptionL'employeur ne peut rĂ©silier le contrat de travail d'une salariĂ©e lorsqu'elle est en Ă©tat de grossesse mĂ©dicalement constatĂ©e et pendant l'intĂ©gralitĂ© des pĂ©riodes de suspension du contrat de travail auxquelles elle a droit, qu'elle use ou non de ce droit, ainsi que pendant les 10 semaines qui suivent l'expiration de ces pĂ©riodes ou pendant les 10 semaines qui suivent les congĂ©s pris immĂ©diatement aprĂšs le congĂ© de maternitĂ©, conformĂ©ment aux dispositions lĂ©gales actuellement cours de cette pĂ©riode de 10 semaines, l'employeur peut toutefois notifier son licenciement au salariĂ©, s'il justifie d'une faute grave de l'intĂ©ressĂ©e, non liĂ©e Ă l'Ă©tat de grossesse, ou de l'impossibilitĂ© oĂč il se trouve, pour un motif Ă©tranger Ă la grossesse, Ă l'accouchement ou Ă l'adoption, de maintenir ledit protection de 10 semaines est Ă©galement Ă©tendue au pĂšre salariĂ© sauf faute grave ou impossibilitĂ© de maintenir le contrat pour un motif Ă©tranger Ă l'arrivĂ©e de l'enfant.Dans ce cas, le licenciement ne peut prendre effet ou ĂȘtre signifiĂ©e pendant les pĂ©riodes de suspension du contrat de travail telles que dĂ©finies au paragraphe s'il est prononcĂ© pour un des motifs justifiant, par application de l'alinĂ©a ci-dessus, le licenciement d'une salariĂ©e est annulĂ© si, dans un dĂ©lai de 15 jours Ă compter de sa notification, l'intĂ©ressĂ©e envoie Ă son employeur, par lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception, soit un certificat mĂ©dical justifiant qu'elle est en Ă©tat de grossesse, soit une attestation justifiant l'arrivĂ©e au foyer, dans un dĂ©lai de 15 jours, d'un enfant placĂ© en vue de son dispositions prĂ©cĂ©dentes ne font pas obstacle Ă l'Ă©chĂ©ance du contrat Ă durĂ©e Interdiction d'emploiLes salariĂ©es ne peuvent ĂȘtre occupĂ©es pendant une pĂ©riode de 8 semaines au total avant et aprĂšs leur accouchement dont, au moins, 6 semaines aprĂšs PossibilitĂ© pour la femme enceinte de rompre son contrat sans prĂ©avisLa salariĂ©e en Ă©tat de grossesse apparente peut quitter le travail sans prĂ©avis et sans avoir, de ce fait, Ă payer une indemnitĂ© de rupture, conformĂ©ment aux dispositions lĂ©gales en AmĂ©nagements d'horairesSous rĂ©serve d'une attestation du mĂ©decin traitant ou de l'attestation de prise en charge de la CPAM/CARSAT au titre de la grossesse et Ă partir du 3e mois de grossesse, toute salariĂ©e est autorisĂ©e, dans la limite d'une heure par jour, Ă partir plus tĂŽt et/ou arriver plus tard, sans perte de Autorisations d'absence. â Examens obligatoiresLa salariĂ©e bĂ©nĂ©ficie d'une autorisation d'absence pour se rendre aux examens mĂ©dicaux obligatoires prĂ©vus dans le cadre de la surveillance mĂ©dicale de la grossesse et des suites de l'accouchement. Ces absences n'entraĂźnent aucune diminution de la rĂ©munĂ©ration et sont assimilĂ©es Ă une pĂ©riode de travail effectif pour la dĂ©termination de la durĂ©e des congĂ©s payĂ©s et pour les droits liĂ©s Ă l'anciennetĂ©. CongĂ© de maternitĂ© et d'adoption a DurĂ©e du congĂ©La salariĂ©e a le droit, sur justification par certificat mĂ©dical, de suspendre son contrat de travail pendant une pĂ©riode de 16 semaines commençant 6 semaines avant la date prĂ©sumĂ©e de l'accouchement et se terminant 10 semaines aprĂšs la date de pĂ©riode est portĂ©e Ă 26 semaines commençant 8 semaines avant la date prĂ©sumĂ©e de l'accouchement et se terminant 18 semaines aprĂšs la date de celui-ci lors de la naissance d'un 3e enfant ou au-delĂ de 3 enfants â si la salariĂ©e elle-mĂȘme ou le mĂ©nage assume dĂ©jĂ la charge de 2 enfants au moins dans les conditions prĂ©vues aux articles L. 525 Ă L. 529 du code de la sĂ©curitĂ© sociale ; â ou si la salariĂ©e a dĂ©jĂ mis au monde au moins 2 enfants nĂ©s permettre une certaine souplesse dans la rĂ©partition des congĂ©s prĂ© et postnatal, l'article L. 1225-19 du code du travail donne aux salariĂ©es concernĂ©es la possibilitĂ© de faire varier de 8 Ă 10 semaines la durĂ©e de leur congĂ© prĂ©natal, le congĂ© postnatal Ă©tant alors rĂ©duit d'autant de 18 Ă 16 semaines.En cas de naissances multiples, la pĂ©riode de suspension prĂ©vue ci-dessus, soit 16 semaines, soit 26 semaines, est prolongĂ©e dans les conditions un Ă©tat pathologique, attestĂ© par certificat mĂ©dical comme rĂ©sultant de la grossesse ou des couches, le rend nĂ©cessaire, la pĂ©riode de suspension du contrat de travail prĂ©vue aux alinĂ©as prĂ©cĂ©dents est augmentĂ©e de la durĂ©e de cet Ă©tat pathologique, dans la limite de 2 semaines avant la date prĂ©sumĂ©e de l'accouchement et de 4 semaines aprĂšs la date de du congĂ© de maternitĂ© en cas de naissance prĂ©maturĂ©eLorsque l'accouchement intervient plus de 6 semaines avant la date prĂ©vue et exige l'hospitalisation de l'enfant aprĂšs sa naissance, la pĂ©riode de suspension du contrat de travail, telle qu'elle rĂ©sulte des dispositions lĂ©gales, est prolongĂ©e du nombre de jours courant de la date effective de l'accouchement au dĂ©but de la pĂ©riode de congĂ© l'enfant est restĂ© hospitalisĂ© jusqu'Ă l'expiration de la 6e semaine suivant l'accouchement, la salariĂ©e peut reporter Ă la date de la fin de l'hospitalisation tout ou partie du congĂ© auquel elle peut encore salariĂ© Ă qui un enfant est confiĂ© en vue de son adoption a le droit de suspendre son contrat de travail pendant une pĂ©riode de 10 semaines au plus Ă dater de l'arrivĂ©e de l'enfant au foyer. Ce congĂ© est portĂ© Ă 18 semaines lorsque l'adoption porte Ă 3 ou plus le nombre d'enfants dont le salariĂ© ou le foyer assume la charge, et Ă 22 semaines en cas d'adoptions Indemnisation du congĂ© de maternitĂ©Les salariĂ©es comptant une annĂ©e de service effectif dans l'entreprise auront droit, pendant toute la durĂ©e de leur congĂ© de maternitĂ© lĂ©gal ou de leur congĂ© d'adoption lĂ©gal, Ă des indemnitĂ©s complĂ©mentaires dont le montant sera calculĂ© de façon que, compte tenu des prestations journaliĂšres dues tant par la sĂ©curitĂ© sociale que par un rĂ©gime de prĂ©voyance auquel participerait l'employeur, elles ne subissent pas de perte de Garanties d'Ă©volution de la rĂ©munĂ©rationEn application des dispositions de l'article L. 1225-26 du code du travail, la rĂ©munĂ©ration de la salariĂ©e est majorĂ©e Ă son retour dans l'entreprise, des augmentations gĂ©nĂ©rales ainsi que de la moyenne des augmentations individuelles perçues pendant la durĂ©e de ces congĂ©s par les salariĂ©s relevant de la mĂȘme catĂ©gorie professionnelle ou, Ă dĂ©faut, de la moyenne des augmentations individuelles dans l' d'autres termes, les Ă©volutions de salaire applicables aux salariĂ©s de l'entreprise ne peuvent ĂȘtre supprimĂ©es, rĂ©duites ou diffĂ©rĂ©es, en raison de la prise par l'intĂ©ressĂ©e d'un congĂ© de maternitĂ© ou d'adoption. Changement dĂ©finitif d'emploi En cas de demande de changement dĂ©finitif d'emploi, justifiĂ©e selon certificat mĂ©dical par les suites graves et immĂ©diates de la grossesse ou de l'accouchement, l'entreprise s'efforcera, dans toute la mesure du possible, de placer l'intĂ©ressĂ©e dans un autre emploi en rapport avec ses aptitudes du ce changement d'emploi comporte un dĂ©classement, l'intĂ©ressĂ©e bĂ©nĂ©ficiera du maintien de son salaire antĂ©rieur. Accompagnement de la salariĂ©e Ă son retour dans l'entreprise La salariĂ©e qui reprend son activitĂ© initiale Ă l'issue d'un congĂ© de maternitĂ© ou d'adoption, retrouve son prĂ©cĂ©dent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rĂ©munĂ©ration au moins Ă©quivalente, et a droit Ă un entretien professionnel avec son employeur. L'entretien dĂ©terminera les souhaits et besoins en formation, notamment en cas de changement de techniques ou de mĂ©thodes de travail. CongĂ© de paternitĂ© Le salariĂ© peut bĂ©nĂ©ficier d'un congĂ© de paternitĂ©, quelle que soit la nature de son contrat de travail et quelle que soit son anciennetĂ©, conformĂ©ment aux articles L. 1225-35, L. 1225-36 et D. 1225-8 du code du travail et articles L. 331-8 et D. 331-4 du code de la sĂ©curitĂ© sociale. Ainsi, aprĂšs la naissance de l'enfant et dans un dĂ©lai de 4 mois, sauf en cas d'hospitalisation de l'enfant ou de dĂ©cĂšs de la mĂšre, le pĂšre salariĂ© ainsi que, le cas Ă©chĂ©ant, le conjoint salariĂ© de la mĂšre ou la personne salariĂ©e liĂ©e Ă elle par un pacte civil de solidaritĂ© ou vivant maritalement avec elle, bĂ©nĂ©ficie d'un congĂ© de paternitĂ© et d'accueil de l'enfant de 11 jours consĂ©cutifs ou de 18 jours consĂ©cutifs en cas de naissances multiples. Le congĂ© de paternitĂ© est assimilĂ© Ă une pĂ©riode de travail effectif pour la dĂ©termination de tous les droits que le salariĂ© tient de son anciennetĂ© le congĂ© de paternitĂ© ne devant pas imputer sur le calcul de la prime d'anciennetĂ©, pour le calcul des congĂ©s payĂ©s, pour l'intĂ©ressement et la participation ainsi que pour les heures liĂ©es au compte personnel de formation. Le salariĂ© qui souhaite bĂ©nĂ©ficier du congĂ© de paternitĂ© et d'accueil de l'enfant avertit son employeur au moins 1 mois avant la date Ă laquelle il envisage de le prendre, en prĂ©cisant la date Ă laquelle il entend y mettre fin. En cas de dĂ©cĂšs de la mĂšre au cours du congĂ© de maternitĂ©, le pĂšre peut suspendre son contrat de travail pendant une pĂ©riode de 10 semaines au plus Ă compter du jour de la naissance de l'enfant. L'intĂ©ressĂ© avertit son employeur du motif de son absence et de la date Ă laquelle il entend mettre fin Ă la suspension de son contrat de travail. Le pĂšre bĂ©nĂ©ficie alors de la protection contre le licenciement prĂ©vue aux articles L. 1225-4 et L. 1225-5. La suspension du contrat de travail peut ĂȘtre portĂ©e Ă 18 ou 22 semaines dans les cas prĂ©vus Ă l'article L. 331-6 du code de la sĂ©curitĂ© sociale. Lorsque le pĂšre de l'enfant n'exerce pas son droit, le bĂ©nĂ©fice de celui-ci est accordĂ© au conjoint salariĂ© de la mĂšre ou Ă la personne liĂ©e Ă elle par un pacte civil de solidaritĂ© ou vivant maritalement avec elle. Ă l'issue du congĂ© de paternitĂ©, le salariĂ© doit retrouver son prĂ©cĂ©dent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rĂ©munĂ©ration Ă©quivalente. Garanties d'Ă©volution de la rĂ©munĂ©ration Par extension des dispositions de l'article L. 1225-26 du code du travail, la rĂ©munĂ©ration du salariĂ© est majorĂ©e Ă son retour dans l'entreprise, des augmentations gĂ©nĂ©rales ainsi que de la moyenne des augmentations individuelles perçues pendant la durĂ©e de ces congĂ©s par les salariĂ©s relevant de la mĂȘme catĂ©gorie professionnelle ou, Ă dĂ©faut, de la moyenne des augmentations individuelles dans l'entreprise. En d'autres termes, les Ă©volutions de salaire applicables aux salariĂ©s de l'entreprise ne peuvent ĂȘtre supprimĂ©es, rĂ©duites ou diffĂ©rĂ©es, en raison de la prise par l'intĂ©ressĂ© d'un congĂ© de paternitĂ©. CongĂ© parental d'Ă©ducation Pendant la pĂ©riode qui suit l'expiration du congĂ© de maternitĂ© ou d'adoption, tout salariĂ©, homme ou femme, parent naturel ou adoptif, peut bĂ©nĂ©ficier d'un congĂ© parental d'Ă©ducation s'il justifie de 1 an d'anciennetĂ©, dans l'entreprise Ă la date de la naissance de l'enfant adoptĂ© ou confiĂ© en vue de son adoption, ou de l'arrivĂ©e au foyer d'un enfant qui n'a pas encore atteint l'Ăąge de la fin de l'obligation scolaire, dans les conditions dĂ©finies congĂ© parental est de droit, quel que soit l'effectif de l' congĂ© parental a une durĂ©e initiale de 1 an au peut ĂȘtre prolongĂ© 2 fois, sans toutefois excĂ©der la date du 3e anniversaire de l' cas d'adoption, le congĂ© ne peut dĂ©passer â une durĂ©e de 3 ans, si l'enfant Ă©tait ĂągĂ© de moins de 3 ans Ă son arrivĂ©e au foyer ; â une durĂ©e de 1 an, si l'enfant Ă©tait ĂągĂ© de plus de 3 ans et n'a pas encore atteint l'Ăąge de 16 ans cas de maladie, d'accident ou de handicap graves de l'enfant, la durĂ©e du congĂ© parental ou de la pĂ©riode d'activitĂ© Ă temps partiel peut ĂȘtre prolongĂ©e de 1 chaque renouvellement, le la salariĂ©e peut transformer son congĂ© parental en activitĂ© Ă temps partiel, sans que cette activitĂ© puisse ĂȘtre infĂ©rieure Ă 16 heures hebdomadaires, ou son activitĂ© en temps partiel en congĂ© salariĂ© informe son employeur du point de dĂ©part et de la durĂ©e de la pĂ©riode pendant laquelle il entend bĂ©nĂ©ficier soit d'un congĂ© parental d'Ă©ducation, soit d'une rĂ©duction de sa durĂ©e du cette pĂ©riode suit immĂ©diatement le congĂ© de maternitĂ© ou le congĂ© d'adoption, le salariĂ© informe l'employeur au moins 1 mois avant le terme de ce le cas contraire, l'information est donnĂ©e Ă l'employeur 2 mois au moins avant le dĂ©but du congĂ© parental d'Ă©ducation ou de l'activitĂ© Ă temps le salariĂ© entend prolonger ou modifier son congĂ© parental d'Ă©ducation ou sa pĂ©riode d'activitĂ© Ă temps partiel, il en avertit l'employeur au moins 1 mois avant le terme initialement prĂ©vu et l'informe de son intention soit de transformer le congĂ© parental en activitĂ© Ă temps partiel, soit de transformer l'activitĂ© Ă temps partiel en congĂ© pendant la pĂ©riode d'activitĂ© Ă temps partiel ou Ă l'occasion des prolongations de celle-ci, le salariĂ© ne peut pas modifier la durĂ©e du travail initialement choisie sauf accord de l'employeur ou lorsqu'une convention ou un accord collectif de travail le prĂ©voit congĂ© parental total est pris en compte pour moitiĂ© pour le calcul de l' du salariĂ© Ă son retour dans l'entrepriseLe salariĂ© qui reprend son activitĂ© initiale Ă l'issue d'un congĂ© parental d'Ă©ducation, retrouve son prĂ©cĂ©dent emploi ou un emploi similaire assorti d'une rĂ©munĂ©ration au moins Ă©quivalente, et a droit Ă un entretien professionnel avec son employeur. L'entretien dĂ©terminera les souhaits et besoins en formation, notamment en cas de changement de techniques ou de mĂ©thodes de l'issue du congĂ© parental d'Ă©ducation, le salariĂ© reprenant son activitĂ© initiale bĂ©nĂ©ficie â d'un entretien avec son employeur relatif Ă sa reprise d'activitĂ© et Ă son orientation professionnelle ; â d'un accompagnement d'une journĂ©e dans le cadre de la procĂ©dure d'accueil de l'entreprise ; â d'un droit Ă une action de formation professionnelle ; â de la possibilitĂ© d'effectuer un bilan de compĂ©tences tel que mentionnĂ© Ă l'article L. 6313-1, dans les conditions d'anciennetĂ© prĂ©vues Ă l'article L. 1225-47 du code du travail. Ce salariĂ© bĂ©nĂ©ficiera d'une prioritĂ© d'accĂšs, le cas Ă©chĂ©ant, Ă la pĂ©riode de professionnalisation Ă l'issue du ailleurs, pour anticiper et accompagner au mieux le retour dans l'entreprise, le salariĂ© bĂ©nĂ©ficie, au moment de son dĂ©part en congĂ© parental d'Ă©ducation, d'un entretien avec son employeur afin d'exposer au salariĂ© les modalitĂ©s de ce d'Ă©volution de la rĂ©munĂ©rationPar extension des dispositions de l'article L. 1225-26 du code du travail, la rĂ©munĂ©ration du ou de la salariĂ©e est majorĂ©e Ă son retour dans l'entreprise, des augmentations gĂ©nĂ©rales ainsi que de la moyenne des augmentations individuelles perçues pendant la durĂ©e de ces congĂ©s par les salariĂ©s relevant de la mĂȘme catĂ©gorie professionnelle ou, Ă dĂ©faut, de la moyenne des augmentations individuelles dans l' d'autres termes, les Ă©volutions de salaire applicables aux salariĂ©s de l'entreprise ne peuvent ĂȘtre supprimĂ©es, rĂ©duites ou diffĂ©rĂ©es, en raison de la prise par l'intĂ©ressĂ©e d'un congĂ© parental d'Ă©ducation. CongĂ© sans solde pour Ă©lever un enfant Sans prĂ©judice des dispositions de l'article L. 1225-47 du code du travail, la mĂšre ou le pĂšre de famille peut obtenir, Ă l'expiration du congĂ© de maternitĂ© ou de paternitĂ©, un congĂ© sans solde de 6 mois maximum, en vue d'Ă©lever son enfant, Ă condition d'en aviser son employeur par lettre recommandĂ©e avec demande d'avis de rĂ©ception en respectant un dĂ©lai de prĂ©venance de 1 l'issue de cette pĂ©riode de 6 mois et sous condition d'avertir son employeur au moins 1 mois Ă l'avance par lettre recommandĂ©e avec demande d'avis de rĂ©ception, le salariĂ© concernĂ© est assurĂ© de retrouver son emploi ou un emploi Ă©quivalent, sauf dans le cas oĂč l'employeur ne serait pas en mesure de le rĂ©intĂ©grer soit parce qu'il aurait Ă©tĂ© dans l'impossibilitĂ© d'assurer son remplacement provisoire et aurait dĂ» procĂ©der Ă son remplacement dĂ©finitif et qu'il n'existerait pas d'emploi Ă©quivalent, soit dans le cas oĂč il aurait Ă©tĂ© fait application Ă l'intĂ©ressĂ© des rĂšgles relatives au licenciement collectif pour raison cas de non-rĂ©intĂ©gration, les indemnitĂ©s de prĂ©avis et de licenciement sont dues et l'intĂ©ressĂ© bĂ©nĂ©ficie pendant 1 an d'une prioritĂ© de rĂ©embauchage dans l'un des emplois auxquels la qualification lui permet de prĂ©tendre avec maintien de tous les avantages qu'il avait acquis au moment de son dĂ©part en congĂ© de maternitĂ© ou de paternitĂ©. Article 36 non en vigueur RemplacĂ©Tout salariĂ© devant, sur justificatif mĂ©dical, s'absenter pour garder un enfant malade, pourra percevoir â soit la moitiĂ© de son salaire normal pendant 10 jours au maximum consĂ©cutifs ou non sur une annĂ©e civile ; â soit l'intĂ©gralitĂ© de son salaire normal pendant 5 jours au maximum consĂ©cutifs ou non sur une annĂ©e modalitĂ©s ne se cumulent pas, le salariĂ© devra faire le choix de la modalitĂ© qui lui sera appliquĂ©e Ă l'occasion de sa premiĂšre demande dans l' justificatif mĂ©dical doit ĂȘtre prĂ©sentĂ© Ă l'employeur dans un dĂ©lai de 48 heures sauf hospitalisation de l'enfant ou cas de force d'un enfant malade Tout salariĂ© devant, sur justificatif mĂ©dical, s'absenter pour garder un enfant de moins de 14 ans malade, pourra percevoir â soit la moitiĂ© de son salaire normal pendant 10 jours au maximum consĂ©cutifs ou non sur 1 annĂ©e civile ; â soit l'intĂ©gralitĂ© de son salaire normal pendant 5 jours au maximum consĂ©cutifs ou non sur 1 annĂ©e modalitĂ©s ne se cumulent pas, le salariĂ© devra faire le choix de la modalitĂ© qui lui sera appliquĂ©e Ă l'occasion de sa premiĂšre demande dans l' justificatif mĂ©dical doit ĂȘtre prĂ©sentĂ© Ă l'employeur dans un dĂ©lai de 48 heures sauf hospitalisation de l'enfant ou cas de force majeure. Dispositions particuliĂšres relatives aux parents d'enfants reconnus handicapĂ©s Le salariĂ© parent d'un enfant reconnu handicapĂ© Ă sa charge, au sens du code de la sĂ©curitĂ© sociale, bĂ©nĂ©ficiera â l'annĂ©e de survenance du handicap, quelle qu'en soit la cause naissance, maladie, accidentâŠ, de 5 jours d'absences autorisĂ©es payĂ©es ; â l'annĂ©e de survenance du handicap puis chaque annĂ©e suivante, pour accompagner l'enfant visĂ© ci-dessus Ă des examens ou traitements mĂ©dicaux, sur la base de piĂšces justificatives, d'un crĂ©dit de 4 jours d'absences autorisĂ©es payĂ©es par an ; â d'amĂ©nagements d'horaires permettant de rĂ©partir diffĂ©remment ses heures travaillĂ©es, au besoin sur une pĂ©riode de plusieurs semaines, dans le respect de la lĂ©gislation sur la durĂ©e du travail ; â de la garantie du maintien de l'acquisition de l'intĂ©gralitĂ© de ses congĂ©s payĂ©s lorsque le parent perçoit l'allocation journaliĂšre de prĂ©sence parentale AJPP. Don de jours de repos Tout salariĂ© peut renoncer, sur sa demande et en accord avec l'employeur, Ă tout ou partie de ses jours de repos non pris dans les limites fixĂ©es par le code du travail au bĂ©nĂ©fice d'un autre salariĂ© de l'entreprise qui assume la charge â d'un enfant ĂągĂ© de moins de 20 ans atteint d'une maladie, d'un handicap ou victime d'un accident d'une particuliĂšre gravitĂ© rendant indispensables une prĂ©sence soutenue et des soins contraignants dans les conditions fixĂ©es Ă l'article L. 1225-61-1 du code du travail ; â de personnes en perte d'autonomie ou prĂ©sentant un handicap. Les modalitĂ©s pratiques seront vues au niveau de chaque entreprise. Article 39 non en vigueur RemplacĂ©Tout salariĂ© bĂ©nĂ©ficie, sur justification et Ă l'occasion de certains Ă©vĂ©nements personnels, d'une autorisation exceptionnelle d'absence, dont la durĂ©e est fonction de son autorisations d'absence exceptionnelles sont accordĂ©es dans les conditions suivantes DĂšs l'embauchage â mariage du salariĂ© 4 jours ; â conclusion d'un pacte civil de solidaritĂ© Pacs 4 jours ; â naissance d'un enfant ou arrivĂ©e d'un enfant placĂ© en vue de son adoption 3 jours ; â mariage d'un enfant 1 jour ; â dĂ©cĂšs d'un enfant 5 jours ; â dĂ©cĂšs du conjoint, du concubin ou de la personne avec qui le salariĂ© Ă©tait liĂ© par un Pacs 3 jours ; â dĂ©cĂšs du pĂšre ou de la mĂšre 3 jours ; â dĂ©cĂšs d'un frĂšre, d'une sĆur, du beau-pĂšre ou de la belle-mĂšre entendus au sens des parents du conjoint 3 jours ; â annonce de la survenue d'un handicap chez un enfant 5 jours, conformĂ©ment Ă l'article 37 de la prĂ©sente 1 an d'anciennetĂ© â mariage du salariĂ© 1 semaine civile ; â conclusion d'un pacte civil de solidaritĂ© Pacs 1 semaine civile ; â mariage d'un enfant 3 jours ; â dĂ©cĂšs d'un beau-frĂšre, d'une belle-sĆur entendus au sens du conjoint du frĂšre ou de la sĆur du salariĂ© ou d'un grand-parent il s'agit des grands-parents du salariĂ© 1 le salariĂ© est dĂ©jĂ absent de l'entreprise pour quelque motif que ce soit lors de la demande, ces absences ne peuvent ĂȘtre jours d'absence exceptionnelle prĂ©vus dans le prĂ©sent article n'entraĂźnent pas de rĂ©duction de la rĂ©munĂ©ration Ă condition d'ĂȘtre pris au moment des Ă©vĂ©nements en cause. Ils sont assimilĂ©s Ă des jours de travail effectif pour la dĂ©termination de la durĂ©e du congĂ© pour Ă©vĂ©nements familiaux Tout salariĂ© bĂ©nĂ©ficie, sur justification et Ă l'occasion de certains Ă©vĂ©nements personnels, d'une autorisation exceptionnelle d'absence, dont la durĂ©e est fonction de son anciennetĂ©. Ces congĂ©s exceptionnels sont accordĂ©s dans les conditions suivantes DĂšs l'embauchage â mariage du salariĂ© ou conclusion d'un pacte civil de solidaritĂ© Pacs 4 jours ; â naissance d'un enfant ou arrivĂ©e d'un enfant placĂ© en vue de son adoption 3 jours ; â mariage d'un enfant 1 jour ; â dĂ©cĂšs d'un enfant mineur 15 jours ; â dĂ©cĂšs d'un enfant majeur 7 jours ; â dĂ©cĂšs du conjoint, du concubin ou de la personne avec qui le salariĂ© Ă©tait liĂ© par un Pacs 4 jours ; â dĂ©cĂšs du pĂšre ou de la mĂšre 3 jours ; â dĂ©cĂšs d'un frĂšre, d'une sĆur, du beau-pĂšre ou de la belle-mĂšre entendus au sens des parents du conjoint 3 jours ; â annonce de la survenue d'un handicap chez un enfant 5 jours. AprĂšs 1 an d'anciennetĂ© â mariage du salariĂ© ou conclusion d'un pacte civil de solidaritĂ© Pacs 1 semaine civile ; â mariage d'un enfant 3 jours ; â dĂ©cĂšs d'un beau-frĂšre, d'une belle-sĆur entendus au sens du conjoint du frĂšre ou de la sĆur du salariĂ© ou d'un grand-parent il s'agit des grands-parents du salariĂ© 1 jour. Si le salariĂ© est dĂ©jĂ absent de l'entreprise pour quelque motif que ce soit lors de la demande, ces absences ne peuvent ĂȘtre reportĂ©es. 1Ces jours d'absence exceptionnelle n'entraĂźnent pas de rĂ©duction de la rĂ©munĂ©ration Ă condition d'ĂȘtre pris au moment des Ă©vĂ©nements en cause. Ils sont assimilĂ©s Ă des jours de travail effectif pour la dĂ©termination de la durĂ©e du congĂ© annuel.1 AlinĂ©a Ă©tendu sous rĂ©serve du respect de l'article L. 1225-35-1 du code du travail, qui organise le report du congĂ© de naissance. ArrĂȘtĂ© du 23 mai 2022 - art. 1 Article 40 non en vigueur RemplacĂ©Tout salariĂ© bĂ©nĂ©ficie sur justification aprĂšs 1 an d'anciennetĂ©, d'une autorisation exceptionnelle d'absence pour convenance personnelle aprĂšs autorisation de l'employeur de 1 jour ou 2 demi-journĂ©es par annĂ©e civile ne pouvant pas ĂȘtre accolĂ©s au congĂ© annuel pour convenance personnelle Tout salariĂ© bĂ©nĂ©ficie sur justification aprĂšs 1 an d'anciennetĂ©, d'une autorisation exceptionnelle d'absence pour convenance personnelle aprĂšs autorisation de l'employeur de 1 jour ou 2 demi-journĂ©es par annĂ©e civile ne pouvant pas ĂȘtre accolĂ©s au congĂ© annuel jour ou ces demi-journĂ©es d'absence exceptionnelle n'entraĂźnent pas de rĂ©duction de la rĂ©munĂ©ration. Ils sont assimilĂ©s Ă des jours de travail effectif pour la dĂ©termination de la durĂ©e du congĂ© annuel. Article 41 1 non en vigueur RemplacĂ©Les parties signataires rappellent qu'une tenue de travail spĂ©cifique peut s'imposer, en raison de dispositions lĂ©gislatives ou rĂ©glementaires, pour les salariĂ©s des entreprises entrant dans le champ d'application de la convention collective parties signataires rappellent Ă©galement que les temps d'habillage et de dĂ©shabillage ne constituent pas du travail effectif, mĂȘme si ces opĂ©rations se dĂ©roulent dans l'entreprise ou sur le lieu de travail. En consĂ©quence, conformĂ©ment aux dispositions de l'article L. 3121-3 du code du travail, le temps nĂ©cessaire aux opĂ©rations d'habillage et de dĂ©shabillage fait l'objet d'une contrepartie soit sous forme de repos, soit financiĂšre sauf si des accords d'entreprise ou d'Ă©tablissement, des usages ou des stipulations du contrat de travail assimilent ces temps d'habillage et dĂ©shabillage Ă du temps de travail la contrepartie au temps d'habillage et de dĂ©shabillage prend la forme d'une indemnitĂ©, celle-ci est fixĂ©e Ă 20 ⏠par mois complet travaillĂ© pour les salariĂ©s concernĂ©s par les opĂ©rations d'habillage et de dĂ©shabillage en situation d'opĂ©ration de production, avant dĂ©compte de leur temps de travail effectif. En cas d'absence, cette indemnitĂ© est versĂ©e au prorata du temps de prĂ©sence du contrepartie figure sur une ligne Ă part du bulletin de ne se cumule pas avec toute autre contrepartie ayant le mĂȘme objet prĂ©vue au niveau de l'entreprise ou de l'Ă©tablissement ou par des usages ou stipulations du contrat de travail et ce, quelle qu'en soit leur dĂ©nomination ou leur nature.1 L'article 41 est Ă©tendu sous rĂ©serve du respect de l'article L. 3121-3 du code du travail, qui prĂ©voit des contreparties aux temps d'habillage et de dĂ©shabillage si la rĂ©glementation, un accord collectif, le rĂšglement intĂ©rieur de l'entreprise ou le contrat de travail imposent le port d'une tenue de travail et l'habillage et le dĂ©shabillage sur le lieu de travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1Contrepartie au temps d'habillage et de dĂ©shabillage ConformĂ©ment aux dispositions de l'article L. 3221-3 du code du travail, le temps nĂ©cessaire aux opĂ©rations d'habillage et de dĂ©shabillage, lorsque le port d'une tenue de travail est imposĂ© par des dispositions lĂ©gales, des stipulations conventionnelles, le rĂšglement intĂ©rieur ou le contrat de travail et que l'habillage et le dĂ©shabillage doivent ĂȘtre rĂ©alisĂ©s dans l'entreprise ou sur le lieu de travail, fait l'objet de contreparties. Ces contreparties sont accordĂ©es soit sous forme de repos, soit sous forme sauf dispositions plus favorables, les parties signataires rappellent Ă©galement que les temps d'habillage et de dĂ©shabillage ne constituent pas du travail effectif, mĂȘme si ces opĂ©rations se dĂ©roulent dans l'entreprise ou sur le lieu de la contrepartie au temps d'habillage et de dĂ©shabillage prend la forme d'une indemnitĂ©, celle-ci est fixĂ©e Ă 30 ⏠par mois complet travaillĂ© pour les salariĂ©s concernĂ©s par les opĂ©rations d'habillage et de dĂ©shabillage avant dĂ©compte de leur temps de travail effectif. En cas d'absence, cette indemnitĂ© est versĂ©e au prorata du nombre de jours de prĂ©sence du contrepartie figure sur une ligne Ă part du bulletin de ne se cumule pas avec toute autre contrepartie ayant le mĂȘme objet prĂ©vue au niveau de l'entreprise ou de l'Ă©tablissement ou par des usages ou stipulations du contrat de travail et ce, quelle qu'en soit leur dĂ©nomination ou leur nature. Prime transport 1. SalariĂ©s bĂ©nĂ©ficiaires Une prime transport est versĂ©e aux salariĂ©s pour les frais de carburant et les frais exposĂ©s pour l'alimentation de vĂ©hicules Ă©lectriques, hybrides rechargeables ou hydrogĂšnes dans les deux cas suivants conformĂ©ment Ă l'article L. 3261-3 du code du travail â la rĂ©sidence habituelle ou le lieu de travail du salariĂ© est soit situĂ© dans une commune non desservie par un service public de transport collectif rĂ©gulier ou un service privĂ© mis en place par l'employeur, soit n'est pas inclus dans le pĂ©rimĂštre d'un plan de mobilitĂ© obligatoire ; â les horaires de travail du salariĂ© ne lui permettent pas d'utiliser un mode collectif de transport travail de nuit, horaires dĂ©calĂ©s, etc.. Elle est Ă©galement versĂ©e pour les frais engagĂ©s par les salariĂ©s se dĂ©plaçant entre leur rĂ©sidence habituelle et leur lieu de travail avec â leur vĂ©lo ou vĂ©lo Ă pĂ©dalage assistĂ© personnel ; â leur engin de dĂ©placement personnel motorisĂ© trottinettes et patinettes Ă©lectriques, gyropodes, monoroues, hoverboards, etc. ; â en tant que conducteur ou passager en covoiturage ; â Ă l'aide de services de mobilitĂ© partagĂ©e qui comprennent la location ou la mise Ă disposition de cyclomoteur, motocyclette, vĂ©lo Ă©lectrique ou non, engin de dĂ©placement personnel motorisĂ© ou non, Ă condition qu'ils soient Ă©quipĂ©s d'un moteur ou d'une assistance non thermique et les services d'autopartage Ă condition que le vĂ©hicule mis Ă disposition soit un vĂ©hicule Ă faible Ă©mission. La notion de â rĂ©sidence habituelle â s'entend comme la rĂ©sidence fixĂ©e Ă l'adresse dĂ©clarĂ©e Ă l'employeur. Toutefois, parmi les salariĂ©s visĂ©s ci-dessus, sont exclus du dispositif â les salariĂ©s qui bĂ©nĂ©ficient d'un vĂ©hicule mis Ă disposition permanente par l'employeur avec prise en charge par l'employeur des dĂ©penses de carburant ou d'alimentation Ă©lectrique d'un vĂ©hicule ; â les salariĂ©s logĂ©s dans des conditions telles qu'ils ne supportent aucun frais de transport pour se rendre Ă leur travail ; â les salariĂ©s dont le transport est assurĂ© gratuitement par l'employeur ; â les salariĂ©s qui bĂ©nĂ©ficient d'un remboursement par l'employeur de leurs frais de transport sous la forme d'indemnitĂ©s kilomĂ©triques ; â les salariĂ©s qui bĂ©nĂ©ficient de remboursement de frais de transports en commun prise en charge Ă hauteur de 50 % du titre de transport. 2. Justificatifs Pour bĂ©nĂ©ficier de cette prime, le salariĂ© devra adresser Ă son employeur de maniĂšre annuelle une attestation sur l'honneur qu'il remplit une des conditions d'Ă©ligibilitĂ© visĂ©es Ă l'article 41 bis 1 et la photocopie de la carte grise du vĂ©hicule utilisĂ©, le cas Ă©chĂ©ant. 3. Montant et modalitĂ©s de versement de la prime Pour chaque salariĂ© bĂ©nĂ©ficiaire, le montant de la prime transport est fixĂ© 1 euro par jour travaillĂ© dans la limite des dispositions de l'article 81 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts 19° ter-b. La prime est versĂ©e mensuellement. Le montant de la prime transport figurera sur le bulletin de paie et ne peut ĂȘtre pris en compte pour le respect des minima conventionnels. Cette prime ne se cumule pas avec toute autre contrepartie ayant le mĂȘme objet prĂ©vue au niveau de l'entreprise ou de l'Ă©tablissement ou par des usages ou stipulations du contrat de travail et ce, quelle qu'en soit leur dĂ©nomination ou leur nature. Le salariĂ© Ă temps partiel, employĂ© pour un nombre d'heures Ă©gal ou supĂ©rieur Ă la moitiĂ© de la durĂ©e lĂ©gale hebdomadaire, bĂ©nĂ©ficie de la prise en charge dans les mĂȘmes conditions qu'un salariĂ© Ă temps complet. Ă dĂ©faut, la prise en charge se calcule au prorata du nombre d'heures travaillĂ©es par rapport Ă la moitiĂ© de la durĂ©e du travail Ă temps complet. Article 42 non en vigueur RemplacĂ©Une prime d'anciennetĂ© est versĂ©e aprĂšs 3 ans d' prime est calculĂ©e en appliquant, au barĂšme affĂ©rent au niveau et Ă©chelon de classification de l'intĂ©ressĂ©e, un taux de 3 % aprĂšs 3 ans d'anciennetĂ©, augmentĂ© de 1 % par annĂ©e d'anciennetĂ© supplĂ©mentaire dans la limite de 10 % pour 10 montant de la prime d'anciennetĂ© sera calculĂ© sur la grille du salaire de base mensuel taux applicables pour le calcul de la prime d'anciennetĂ© sont les suivants TauxAnciennetĂ©TauxAnciennetĂ©3 %3 ans7 %7 ans4 %4 ans8 %8 ans5 %5 ans9 %9 ans6 %6 ans10 %10 ans et au-delĂ Le montant de la prime d'anciennetĂ© est calculĂ© au pro rata temporis lorsque le salariĂ© est Ă temps montant de la prime d'anciennetĂ© s'ajoute au salaire rĂ©el avec mention Ă part sur le bulletin de d'anciennetĂ© Une prime d'anciennetĂ© est versĂ©e aprĂšs 3 ans d' prime est calculĂ©e en appliquant, au barĂšme affĂ©rent au niveau et Ă©chelon de classification de l'intĂ©ressĂ© e, un taux de 3 % aprĂšs 3 ans d'anciennetĂ©, augmentĂ© de 1 % par annĂ©e d'anciennetĂ© supplĂ©mentaire dans la limite de 10 % pour 10 montant de la prime d'anciennetĂ© sera calculĂ© sur la grille du salaire de base mensuel taux applicables pour le calcul de la prime d'anciennetĂ© sont les suivants AnciennetĂ©Taux3 ans3 %4 ans4 %5 ans5 %6 ans6 %7 ans7 %8 ans8 %9 ans9 %10 ans et au-delĂ 10 %Le montant de la prime d'anciennetĂ© est calculĂ© au pro rata temporis lorsque le salariĂ© est Ă temps montant de la prime d'anciennetĂ© s'ajoute au salaire de base avec mention Ă part sur le bulletin de rĂ©serve des dispositions de l'article L. 2253-3 du code du travail, la prime d'anciennetĂ© n'est pas due dĂšs lors que dans une entreprise ou un Ă©tablissement est versĂ©e une prime de mĂȘme nature et sous rĂ©serve que le montant total soit au moins Ă©quivalent.1 Article Ă©tendu sous rĂ©serve de l'application des articles L. 2253-1 Ă L. 2253-3 du code du travail tels qu'interprĂ©tĂ©s par la dĂ©cision du Conseil d'Etat du 13 dĂ©cembre 2021 n° 433232. ArrĂȘtĂ© du 23 mai 2022 - art. 1 Article 43 non en vigueur RemplacĂ©Une prime de fin d'annĂ©e est versĂ©e aux salariĂ©s titulaires d'une anciennetĂ© au moins Ă©gale Ă 1 montant de cette prime est au moins Ă©gal au salaire de base mensuel minimum affĂ©rent au niveau et Ă©chelon de classification de l'intĂ©ressĂ©. 1DĂšs lors que dans une entreprise ou un Ă©tablissement est versĂ©e une prime de mĂȘme nature que la prime de fin d'annĂ©e, par exemple un 13e mois, et sous rĂ©serve que le montant total soit au moins Ă©quivalent, l'obligation de versement au titre de la prime de fin d'annĂ©e est prime de fin d'annĂ©e est due en totalitĂ© dans les 3 cas suivants â chĂŽmage partiel ; â suspension du contrat de travail, pendant une partie de l'annĂ©e civile, rĂ©sultant d'un accident du travail, d'une maladie professionnelle ou de la maternitĂ© ; â suspension du contrat de travail, dans la limite d'une durĂ©e totale continue ou discontinue de 2 mois au cours de l'annĂ©e civile, rĂ©sultant de toute autre cause que l'accident du travail, la maladie professionnelle ou la prime de fin d'annĂ©e est calculĂ©e pro rata temporis dans les 3 cas suivants â contrat de travail Ă temps partiel ; â suspension du contrat de travail pendant une durĂ©e totale continue ou discontinue supĂ©rieure Ă 2 mois au cours de l'annĂ©e civile, Ă l'exception des cas d'accident du travail, de maladie professionnelle ou de maternitĂ© ; â dĂ©part de l' prime de fin d'annĂ©e n'est pas due, lorsque le contrat de travail est suspendu durant toute l'annĂ©e barĂšme de la prime de fin d'annĂ©e est le minimum Ă respecter par l'ensemble des entreprises de la branche professionnelle, sous rĂ©serve des dispositions qui prĂ©cĂšdent. 1La prime de fin d'annĂ©e est versĂ©e au plus tard en fin d'annĂ©e montant de la prime de fin d'annĂ©e, ou de toute prime de mĂȘme nature, versĂ© en 1 ou 2 fois doit ĂȘtre identifiĂ© en tant que tel sur le bulletin de paie et ne peut pas ĂȘtre pris en compte pour le respect de minima conventionnels.1 Les alinĂ©as 2 et 7 de l'article 43 sont Ă©tendus sous rĂ©serve de l'application de l'article L. 2253-3 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1Prime de fin d'annĂ©e Une prime de fin d'annĂ©e est versĂ©e aux salariĂ©s titulaires d'une anciennetĂ© au moins Ă©gale Ă 1 montant de cette prime est Ă©gal au salaire de base mensuel minimum affĂ©rent au niveau et Ă©chelon de classification de l' rĂ©serve des dispositions de l'article L. 2253-3 du code du travail, dĂšs lors que dans une entreprise ou un Ă©tablissement est versĂ©e une prime de mĂȘme nature que la prime de fin d'annĂ©e, par exemple un 13e mois, et sous rĂ©serve que le montant total soit au moins Ă©quivalent, l'obligation de versement au titre de la prime de fin d'annĂ©e est prime de fin d'annĂ©e est due en totalitĂ© dans les trois cas suivants â activitĂ© partielle ; â suspension du contrat de travail, pendant une partie de l'annĂ©e civile, rĂ©sultant d'un accident du travail, d'une maladie professionnelle, de la maternitĂ© ou paternitĂ© ; â suspension du contrat de travail, dans la limite d'une durĂ©e totale continue ou discontinue de 2 mois au cours de l'annĂ©e civile, rĂ©sultant de toute autre cause que l'accident du travail, la maladie professionnelle ou la prime de fin d'annĂ©e est calculĂ©e pro rata temporis dans les trois cas suivants â contrat de travail Ă temps partiel en cas de passage en cours d'annĂ©e du travail Ă temps partiel au travail Ă temps complet, ou inversement, la prime de fin d'annĂ©e est calculĂ©e proportionnellement au nombre de mois travaillĂ©s Ă temps partiel et Ă temps complet ; â suspension du contrat de travail pendant une durĂ©e totale continue ou discontinue supĂ©rieure Ă 2 mois au cours de l'annĂ©e civile, Ă l'exception des cas d'accident du travail, de maladie professionnelle ou de maternitĂ© ; â dĂ©part de l' prime de fin d'annĂ©e n'est pas due, lorsque le contrat de travail est suspendu durant toute l'annĂ©e prime de fin d'annĂ©e est versĂ©e au plus tard en fin d'annĂ©e montant de la prime de fin d'annĂ©e, ou de toute prime de mĂȘme nature, versĂ© en une ou deux fois doit ĂȘtre identifiĂ© en tant que tel sur le bulletin de paie et ne peut pas ĂȘtre pris en compte pour le respect de minima conventionnels.1 Article 43 Ă©tendu sous rĂ©serve de l'application des articles L. 2253-1 Ă L. 2253-3 du code du travail tels qu'interprĂ©tĂ©s par la dĂ©cision du Conseil d'Etat du 13 dĂ©cembre 2021 n° 433232. ArrĂȘtĂ© du 23 mai 2022 - art. 1 Repos pour le travail en grand froid et le portage Sont considĂ©rĂ©s comme pĂ©nibles, Ă condition d'ĂȘtre effectuĂ©s de façon rĂ©guliĂšre et permanente, les travaux accomplis par les salariĂ©s â affectĂ©s au portage Ă dos des quartiers de carcasse ; â travaillant en grand froid Ă partir de â 15 °C.Afin de compenser la pĂ©nibilitĂ© de ces travaux, il est attribuĂ© aux salariĂ©s concernĂ©s un repos compensateur de 1 jour par semestre modalitĂ©s d'application de ce repos compensateur seront dĂ©finies au niveau de l'entreprise, Ă©tant entendu que ce repos n'ayant pas pour objet d'allonger la durĂ©e totale des congĂ©s payĂ©s ne devra ĂȘtre accolĂ© ni au congĂ© principal, ni Ă la fraction de ce congĂ© prise en dehors de la pĂ©riode lĂ©gale. Sous-titre II Cessation du contrat de travail Les principaux cas de rupture du contrat de travail Les diffĂ©rents cas de rupture du contrat de travail Ă durĂ©e indĂ©terminĂ©e traitĂ©s dans le prĂ©sent sous-titre sont les suivants â dĂ©mission ; â licenciement pour motif Ă©conomique ; â licenciement pour motif personnel ; â rupture conventionnelle ; â dispositions spĂ©cifiques, dĂ©taillĂ©es Ă l'article 49, sont par ailleurs prĂ©vues pour la rupture anticipĂ©e du contrat Ă durĂ©e dĂ©terminĂ©e et pour la rupture de certains contrats en alternance. DĂ©mission Le salariĂ© peut dĂ©cider Ă tout moment de rompre unilatĂ©ralement son contrat de travail, en exprimant cette volontĂ© de maniĂšre claire et non mode de rupture ne nĂ©cessite aucune motivation de la part du salariĂ©. ConformĂ©ment Ă l'article 49, le salariĂ© devra notifier sa dĂ©mission Ă l'employeur par lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception ou par lettre remise en mains propres contre dĂ©charge, et respecter le prĂ©avis auquel il est tenu. Licenciement pour motif Ă©conomique Aux termes de l'article L. 1233-3 du code du travail, constitue un licenciement pour motif Ă©conomique le licenciement effectuĂ© par un employeur pour un ou plusieurs motifs non inhĂ©rents Ă la personne du salariĂ© rĂ©sultant d'une suppression ou transformation d'emploi ou d'une modification, refusĂ©e par le salariĂ©, d'un Ă©lĂ©ment essentiel du contrat de travail, consĂ©cutives notamment 1°- Ă des difficultĂ©s Ă©conomiques caractĂ©risĂ©es soit par l'Ă©volution significative d'au moins 1 indicateur Ă©conomique tel qu'une baisse des commandes ou du chiffre d'affaires, des pertes d'exploitation ou une dĂ©gradation de la trĂ©sorerie ou de l'excĂ©dent brut d'exploitation, soit par tout autre Ă©lĂ©ment de nature Ă justifier de ces baisse significative des commandes ou du chiffre d'affaires est constituĂ©e dĂšs lors que la durĂ©e de cette baisse est, en comparaison avec la mĂȘme pĂ©riode de l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente, au moins Ă©gale Ă a 1 trimestre pour une entreprise de moins de 11 salariĂ©s ; b 2 trimestres consĂ©cutifs pour une entreprise d'au moins 11 salariĂ©s et de moins de 50 salariĂ©s ; c 3 trimestres consĂ©cutifs pour une entreprise d'au moins 50 salariĂ©s et de moins de 300 salariĂ©s ; d 4 trimestres consĂ©cutifs pour une entreprise de 300 salariĂ©s et plus ;2°- Ă des mutations technologiques ;3°- Ă une rĂ©organisation de l'entreprise nĂ©cessaire Ă la sauvegarde de sa compĂ©titivitĂ© ;4°- Ă la cessation d'activitĂ© de l' matĂ©rialitĂ© de la suppression, de la transformation d'emploi ou de la modification d'un Ă©lĂ©ment essentiel du contrat de travail s'apprĂ©cie au niveau de l' difficultĂ©s Ă©conomiques, les mutations technologiques ou la nĂ©cessitĂ© de sauvegarder la compĂ©titivitĂ© de l'entreprise s'apprĂ©cient au niveau de cette entreprise si elle n'appartient pas Ă un groupe et, dans le cas contraire, au niveau du secteur d'activitĂ© commun Ă cette entreprise et aux entreprises du groupe auquel elle appartient, Ă©tablies sur le territoire national, sauf l'application du prĂ©sent article, la notion de groupe dĂ©signe le groupe formĂ© par une entreprise appelĂ©e entreprise dominante et les entreprises qu'elle contrĂŽle dans les conditions dĂ©finies Ă l'article L. 233-1, aux I et II de l'article L. 233-3 et Ă l'article L. 233-16 du code de secteur d'activitĂ© permettant d'apprĂ©cier la cause Ă©conomique du licenciement est caractĂ©risĂ©, notamment, par la nature des produits, biens ou services dĂ©livrĂ©s, la clientĂšle ciblĂ©e, ainsi que les rĂ©seaux et modes de distribution, se rapportant Ă un mĂȘme Licenciement collectif pour motif Ă©conomiqueRalentissement de l'activitĂ©DĂšs que la direction prĂ©voit une diminution de l'activitĂ© de l'entreprise qui risque d'entraĂźner la nĂ©cessitĂ© ultĂ©rieure de licenciement de personnel, elle doit en informer le comitĂ© Ă©conomique et social central ou le comitĂ© Ă©conomique et social, et le consulter sur les mesures Ă prendre pour Ă©viter cette Ă©ventualitĂ© par exemple la rĂ©duction de l'horaire de travail et notamment la rĂ©organisation du travail entre les services, le repos par roulement, le chĂŽmage partiel, la fermeture temporaire de tout ou partie de l'Ă©tablissement.Modification structurelle de l'entrepriseLorsque la direction dĂ©cide une modification des structures de l'entreprise dans le cadre d'une modernisation, d'une restructuration, d'une fusion, d'une concentration, d'une dĂ©centralisation, d'un transfert d'activitĂ© âŠ, etc., elle doit, dĂšs qu'elle est en mesure de prĂ©voir les consĂ©quences de cette modification dans le domaine de l'emploi, en informer le CSE, le consulter et Ă©tudier avec lui les conditions de mise en Ćuvre de ces malgrĂ© l'application de ces dispositions, et aprĂšs mise en Ćuvre des obligations d'adaptation, de formation et de reclassement, l'employeur se voit contraint d'envisager le licenciement de plusieurs salariĂ©s, il devra dĂ©finir les critĂšres d'ordre des licenciements, et respecter la procĂ©dure de licenciement individuel ou collectif pour motif Ă©conomique de licenciement collectif pour motif Ă©conomiqueSi l'employeur envisage de licencier de 2 Ă 9 salariĂ©s dans une mĂȘme pĂ©riode de 30 jours, il devra respecter les dispositions prĂ©vues aux articles L. 1233-8 et suivants du code du l'employeur envisage de licencier au moins 10 salariĂ©s une mĂȘme pĂ©riode de 30 jours, il devra respecter les dispositions prĂ©vues aux articles L. 1233-21 et suivants et R. 1233-3-1 et suivants du code du Licenciement individuel pour motif Ă©conomiqueEn cas de licenciement individuel pour motif Ă©conomique, l'employeur devra respecter les dispositions prĂ©vues aux articles L. 1233-11 et suivants du code du Reclassement. â PrioritĂ© de rĂ©embaucheL'employeur recherche avec les reprĂ©sentants du personnel et les services administratifs compĂ©tents les possibilitĂ©s de reclassement soit dans la profession, soit hors de la profession, susceptibles de convenir aux salariĂ©s dont le licenciement a dĂ» ĂȘtre dĂ©cidĂ© ainsi que les moyens de formation et de reconversion qui peuvent ĂȘtre utilisĂ©s pour salariĂ©s licenciĂ©s dans le cadre d'un licenciement collectif pour raison Ă©conomique d'ordre structurel et qui ont trouvĂ© un nouvel emploi en cours de prĂ©avis peuvent quitter l'entreprise sans avoir Ă payer l'indemnitĂ© de prĂ©avis correspondant Ă la partie non exĂ©cutĂ©e de leur prĂ©avis et en conservant le bĂ©nĂ©fice de leur indemnitĂ© de licenciement calculĂ©e suivant le barĂšme prĂ©vu par l'article 47 de la prĂ©sente convention salariĂ©s concernĂ©s par un licenciement collectif d'ordre Ă©conomique bĂ©nĂ©ficient d'une prioritĂ© de rĂ©embauchage durant un dĂ©lai de 1 an Ă compter de la date de leur licenciement, s'ils manifestent le dĂ©sir d'user de cette prioritĂ© au cours de ce mĂȘme dĂ©lai. La lettre de licenciement mentionne la prioritĂ© de rĂ©embauchage ainsi que ses conditions de mise en Ćuvre. Licenciement pour motif personnel En dehors de tout motif Ă©conomique, l'employeur, dans le cadre de son pouvoir de direction, peut procĂ©der au licenciement d'un salariĂ© pour un motif personnel, dĂšs lors que cette mesure est motivĂ©e par une cause rĂ©elle et devra respecter la procĂ©dure suivante, dans le respect des dispositions lĂ©gales art. L. 1232-1 et suivants du code du travail â convocation Ă l'entretien prĂ©alable ; â entretien prĂ©alable ; â notification du ailleurs, il conviendra de respecter, selon le cas, les dispositions lĂ©gales spĂ©cifiques applicables en cas de licenciement pour motif disciplinaire. Rupture conventionnelle La rupture conventionnelle est un mode de rupture du contrat de travail d'un commun accord entre l'employeur et le Ă un rĂ©gime juridique spĂ©cifique, sa mise en Ćuvre doit respecter les dispositions lĂ©gales prĂ©vues aux articles L. 1237-11 et suivants du code du travail. Retraite Le dĂ©part Ă la retraite vise la situation d'un salariĂ© qui quitte volontairement l'entreprise pour bĂ©nĂ©ficier du droit Ă une pension de vieillesse. Ce mode de rupture du contrat de travail n'est possible que si le salariĂ© est en droit de faire liquider sa retraite, et remplit donc les conditions d'Ăąge dĂ©part Ă la mise Ă la retraite vise la situation oĂč l'employeur prend l'initiative de la rupture du contrat de travail, soit parce que le salariĂ© a atteint l'Ăąge d'attribution d'une retraite Ă taux plein, auquel cas il devra obtenir son accord, soit parce que le salariĂ© a atteint l'Ăąge de 70 ans, auquel cas il pourra le mettre d'office Ă la dĂ©part anticipĂ© Ă la retraite Ă l'initiative du salariĂ©, avant l'Ăąge de 60 ans, est subordonnĂ© Ă l'application de l'article L. 351-1-1 du code de la sĂ©curitĂ© sociale carriĂšres longues et/ou assurĂ©s handicapĂ©s. PrĂ©avis En cas de rupture du contrat de travail Ă durĂ©e indĂ©terminĂ©e d'un salariĂ© ayant effectuĂ© l'intĂ©gralitĂ© de sa pĂ©riode d'essai, un prĂ©avis est dĂ» par la partie qui prend l'initiative de la rupture. Ce prĂ©avis est fixĂ© en fonction du mode de rupture du contrat de travail, dans les conditions dĂ©finies de ruptureDurĂ©e du prĂ©avisLicenciementOuvriers et employĂ©s â 1 mois en cas d'anciennetĂ© infĂ©rieure Ă 2 ansâ 2 mois en cas d'anciennetĂ© supĂ©rieure ou Ă©gale Ă 2 ansTechniciens et agents de maĂźtrise 2 moisCadres 3 moisDes dispositions lĂ©gales spĂ©cifiques sont prĂ©vues en cas de licenciement d'un salariĂ© bĂ©nĂ©ficiaire de l'obligation d'emploi des personnes et employĂ©s â 1 mois en cas d'anciennetĂ© infĂ©rieure Ă 2 ansâ 2 mois en cas d'anciennetĂ© supĂ©rieure ou Ă©gale Ă 2 ansTechniciens et agents de maĂźtrise 2 moisCadres 3 moisRupture conventionnellePas de prĂ©avis. La date de rupture du contrat est fixĂ©e d'un commun accord entre le salariĂ© et l' Ă la retraiteArticle L. 1237-10 du code du travailMise Ă la retraiteOuvriers et EmployĂ©s â 1 mois en cas d'anciennetĂ© infĂ©rieure Ă 2 ansâ 2 mois en cas d'anciennetĂ© supĂ©rieure ou Ă©gale Ă 2 ansTechniciens et Agents de maĂźtrise 3 moisCadres 6 moisLa notification de la rupture du contrat de travail intervenant Ă l'initiative de l'employeur licenciement ou mise Ă la retraite doit ĂȘtre faite par lettre recommandĂ©e avec demande d'avis de rĂ©ception ; la date de 1re prĂ©sentation de la lettre recommandĂ©e fixe le point de dĂ©part du la rupture du contrat de travail intervient Ă l'initiative de l'employĂ© dĂ©mission ou dĂ©part Ă la retraite, celui-ci peut la notifier Ă l'employeur soit par lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception, soit par lettre remise en mains propres contre spĂ©cifiques au licenciement et Ă la dĂ©missionEn cas d'inobservation du prĂ©avis, non provoquĂ©e par une faute grave du salariĂ©, la partie dĂ©faillante doit Ă l'autre une indemnitĂ© Ă©gale au montant de la rĂ©munĂ©ration totale correspondant Ă la durĂ©e du prĂ©avis restant Ă indemnitĂ© ne se confond ni avec l'indemnitĂ© de licenciement ni avec celles Ă©ventuellement dues pour non-respect de la procĂ©dure lĂ©gale de licenciement ou pour rupture sans cause rĂ©elle et du prĂ©avis n'a pas pour consĂ©quence, sauf faute grave du salariĂ©, d'avancer la date Ă laquelle le contrat prend fin. La dispense par l'employeur de l'exĂ©cution du travail pendant le prĂ©avis ne doit entraĂźner, jusqu'Ă l'expiration de ce dĂ©lai, aucune diminution des salaires et avantages que le salariĂ© aurait reçus s'il avait continuĂ© Ă le salariĂ© congĂ©diĂ© trouve un nouvel emploi avant la fin du prĂ©avis, il peut demander l'autorisation de quitter son poste avant la fin de la pĂ©riode restant Ă courir, sans devoir l'indemnitĂ© de prĂ©avis correspondant Ă la partie non exĂ©cutĂ©e de son prĂ©avis, tout en conservant le bĂ©nĂ©fice de l'indemnitĂ© de licenciement due Ă la date Ă laquelle il quitte effectivement l' mĂȘme, l'employeur d'un salariĂ© dĂ©missionnaire peut le dispenser d'accomplir son temps de prĂ©avis si ce dernier lui en fait la demande. Dans ce cas, le salariĂ© ne peut prĂ©tendre au versement de l'indemnitĂ© compensatrice la pĂ©riode de prĂ©avis conventionnel Ă condition que celui-ci soit effectuĂ© et tant qu'il n'aura pas trouvĂ© un nouvel emploi, le salariĂ© est autorisĂ© Ă s'absenter chaque jour travaillĂ© pendant 2 heures au maximum pour rechercher un emploi. Le moment de la journĂ©e oĂč se placent ces absences peut ĂȘtre fixĂ© alternativement un jour au grĂ© de l'intĂ©ressĂ©, un jour au grĂ© de l'employeur. Ces heures d'absence peuvent Ă©ventuellement ĂȘtre groupĂ©es sur la demande de l'intĂ©ressĂ©. Dans le cas oĂč l'initiative de la rupture du contrat incombe Ă l'employeur, la rĂ©munĂ©ration du salariĂ© ne subit aucune rĂ©duction de ce fait. Indemnisations en cas de ruptureIndemnitĂ© de licenciement Une indemnitĂ© distincte du prĂ©avis est accordĂ©e, en dehors du cas de faute grave ou lourde, au salariĂ© licenciĂ© ayant au moins 8 mois d'anciennetĂ© dans l'entreprise ou l' de licenciement ne peut ĂȘtre infĂ©rieure Ă â 1/4 de mois de salaire par annĂ©e d'anciennetĂ© pour les annĂ©es jusqu'Ă 10 ans ; â 1/3 de mois de salaire par annĂ©e d'anciennetĂ© pour les annĂ©es Ă partir de 10 cas de licenciement pour inaptitude d'origine professionnelle, l'indemnitĂ© de licenciement est salaire de rĂ©fĂ©rence est dĂ©terminĂ© en prenant en compte, selon la formule la plus avantageuse â soit 1/12 de la rĂ©munĂ©ration brute des 12 derniers mois prĂ©cĂ©dant le licenciement ; â soit 1/3 des 3 derniers mois les primes et gratifications exceptionnelles ou annuelles sont prises en compte au prorata du temps de prĂ©sence.Cette indemnitĂ© de licenciement ne se cumule pas avec toute autre indemnitĂ© de mĂȘme nature. IndemnitĂ© de mise Ă la retraite Le salariĂ© perçoit au moment oĂč il quitte l'entreprise une indemnitĂ© de mise Ă la retraite ne pouvant ĂȘtre infĂ©rieure Ă â 1/4 de mois de salaire par annĂ©e d'anciennetĂ© pour les annĂ©es jusqu'Ă 10 ans ; â 1/3 de mois de salaire par annĂ©e d'anciennetĂ© pour les annĂ©es Ă partir de 10 salaire de rĂ©fĂ©rence est dĂ©terminĂ© en prenant en compte, selon la formule la plus avantageuse â soit 1/12 de la rĂ©munĂ©ration brute des 12 derniers mois prĂ©cĂ©dant le licenciement ; â soit 1/3 des 3 derniers mois les primes et gratifications exceptionnelles ou annuelles sont prises en compte au prorata du temps de prĂ©sence. IndemnitĂ© de dĂ©part Ă la retraite Le salariĂ© perçoit au moment oĂč il quitte l'entreprise une indemnitĂ© de dĂ©part Ă la retraite ne pouvant ĂȘtre infĂ©rieure Ă â 1/4 de mois de salaire par annĂ©e d'anciennetĂ© pour les annĂ©es jusqu'Ă 10 ans ; â 1/3 de mois de salaire par annĂ©e d'anciennetĂ© pour les annĂ©es Ă partir de 10 ans dans la limite de 25 indemnitĂ© ne pouvant excĂ©der 7,5 mois de salaire de rĂ©fĂ©rence est dĂ©terminĂ© en prenant en compte, selon la formule la plus avantageuse â soit 1/12 de la rĂ©munĂ©ration brute des 12 derniers mois prĂ©cĂ©dant le licenciement ; â soit 1/3 des 3 derniers mois les primes et gratifications exceptionnelles ou annuelles sont prises en compte au prorata du temps de prĂ©sence.Ces dispositions s'appliquent Ă©galement en cas de dĂ©part anticipĂ© Ă la retraite dans les conditions lĂ©gales. IndemnitĂ© liĂ©e aux autres cas de rupture du contrat de travail En cas de dĂ©mission, le salariĂ© dĂ©missionnaire n'a pas droit Ă une indemnitĂ© au titre de la rupture du contrat de cas de rupture conventionnelle, une indemnitĂ© spĂ©cifique doit ĂȘtre versĂ©e conformĂ©ment aux dispositions lĂ©gales. FormalitĂ©s administratives Lors de la rupture d'un contrat de travail, quelle qu'en soit la cause, l'employeur doit remettre au salariĂ© diffĂ©rents documents â le certificat de travail. Ce document doit comporter les mentions exclusivement prĂ©vues par les dispositions lĂ©gales et rĂ©glementaires ; â le reçu pour solde de tout compte ; â l'attestation PĂŽle emploi ; â et tout document spĂ©cifique au cas de rupture du contrat. Dispositions spĂ©cifiques liĂ©es Ă certains contratsRupture anticipĂ©e du contrat Ă durĂ©e dĂ©terminĂ©e Le contrat de travail Ă durĂ©e dĂ©terminĂ©e ne peut en principe ĂȘtre rompu avant l'Ă©chĂ©ance de son terme, sauf dans l'un des cas limitativement prĂ©vus aux articles L. 1243-1 et suivants du code du travail â accord des parties ; â faute grave ; â force majeure ; â inaptitude constatĂ©e par le mĂ©decin du travail ; â rupture Ă l'initiative du salariĂ© s'il justifie de la conclusion d'un contrat Ă durĂ©e accord des parties, en cas de rupture anticipĂ©e du contrat Ă durĂ©e dĂ©terminĂ©e Ă l'initiative du salariĂ© qui justifie d'une embauche en contrat Ă durĂ©e indĂ©terminĂ©e, le prĂ©avis est de 1 jour par semaine dans la limite de 2 semaines â compte tenu de la durĂ©e totale du contrat, renouvellement inclus lorsque celui-ci comporte un terme prĂ©cis ; â compte tenu de la durĂ©e effectuĂ©e lorsque le contrat ne comporte pas de terme prĂ©cis. Rupture du contrat de professionnalisation La rupture du contrat de professionnalisation se fera dans les conditions de droit commun. Il convient de se rĂ©fĂ©rer en consĂ©quence aux dispositions applicables en cas de rupture d'un contrat Ă durĂ©e indĂ©terminĂ©e ou d'un contrat Ă durĂ©e prĂ©avis applicable sera, selon la nature du contrat, celui applicable en cas de rupture du contrat Ă durĂ©e indĂ©terminĂ©e ou en cas de contrat Ă durĂ©e dĂ©terminĂ©e. Rupture du contrat d'apprentissage Le contrat d'apprentissage est un contrat de travail de type particulier. Il peut ĂȘtre rompu dans les conditions dĂ©finies Ă l'article L. 6222-18 du code du travail. Titre V DurĂ©e du travail. â CongĂ©s payĂ©s et jours fĂ©riĂ©s La thĂ©matique de la durĂ©e du travail doit ĂȘtre prioritairement traitĂ©e au niveau des entreprises ou des Ă©tablissements puisqu'elle dĂ©pend de leur organisation. Les dispositions figurant dans la convention collective sur ce thĂšme ont pour vocation d'Ă©tablir un cadre gĂ©nĂ©ral et de permettre, le cas Ă©chĂ©ant, Ă des entreprises dĂ©pourvues de dĂ©lĂ©guĂ© syndical de recourir directement Ă des modes d'organisation de la durĂ©e du travail conditionnĂ©s par la loi Ă l'existence d'un recours au travail temporaire doit ĂȘtre limitĂ© aux hypothĂšses de remplacement et de surcroĂźt d'activitĂ© tels que prĂ©vus dans les conditions prĂ©vues dans le code du recours au travail gĂ©rĂ© par une entreprise de travail temporaire sous la forme du CDI Ă temps partagĂ© intĂ©grant des pĂ©riodes de formation qualifiantes devra ĂȘtre privilĂ©giĂ©. Sous-titre Ier DurĂ©e du travail Chapitre Ier Organisation du temps de travail des salariĂ©s relevant d'une durĂ©e de travail dĂ©comptĂ©e en heures DĂ©finition de la durĂ©e du travail La durĂ©e du travail s'entend exclusivement du travail effectif, c'est-Ă -dire du travail rĂ©ellement accompli au sens de l'article L. 3121-1 du code du durĂ©e lĂ©gale du travail effectif des salariĂ©s est fixĂ©e Ă 35 heures par semaine civile conformĂ©ment aux dispositions lĂ©gales. Article 51 1 non en vigueur RemplacĂ©Les dispositions lĂ©gales sur la durĂ©e du travail s'appliquent aux cadres en tenant compte des caractĂ©ristiques de leurs consĂ©quence, leur rĂ©munĂ©ration comprend forfaitairement les dĂ©passements individuels d'horaire dans la mesure oĂč ils ne sont pas personnel d'encadrement bĂ©nĂ©ficie de dispositions de l'article 54 relatives Ă la modulation de la durĂ©e hebdomadaire. Les modalitĂ©s pratiques de la mise en Ćuvre de celle-ci sont dĂ©terminĂ©es au niveau de l'entreprise ou de l'Ă©tablissement avec les reprĂ©sentants du personnel concernĂ©s.1 L'article 51 est Ă©tendu sous rĂ©serve du respect des articles L. 3121-54 Ă L. 3121-57, L. 3121-63 et L. 3121-64 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1DurĂ©e du travail des cadres Les dispositions du prĂ©sent chapitre s'appliquent Ă©galement aux salariĂ©s relevant de la catĂ©gorie cadre, sauf si ces derniers relĂšvent d'un dispositif de convention de forfait annuel lesquelles sont dĂ©finies au chapitre II. Heures supplĂ©mentaires. â RĂ©munĂ©ration et compensation Article 1 non en vigueur RemplacĂ©ConformĂ©ment Ă l'article L. 3121-11-1 du code du travail, les entreprises peuvent recourir Ă des heures supplĂ©mentaires, dans la limite d'un contingent de 160 heures par an et par salariĂ© Ă l'exception des salariĂ©s chauffeurs dont la limite du contingent est de 180 heures par an et par salariĂ©.1 L'article est Ă©tendu sous rĂ©serve que la rĂ©fĂ©rence Ă l'article L. 3121-11-1 soit entendue comme Ă©tant la rĂ©fĂ©rence au 3° du I de l'article L. 3121-33 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1Heures supplĂ©mentaires accomplies dans la limite du contingent annuel ConformĂ©ment Ă l'article L. 3121-33 du code du travail, les entreprises peuvent recourir Ă des heures supplĂ©mentaires, dans la limite d'un contingent de 160 heures par an et par salariĂ© Ă l'exception des salariĂ©s chauffeurs dont la limite du contingent est de 180 heures par an et par salariĂ©. Article 2 non en vigueur RemplacĂ©Au-delĂ du contingent annuel prĂ©citĂ© Ă l'article les heures supplĂ©mentaires rendues inĂ©vitables pour certaines catĂ©gories de personnel, par suite de circonstances particuliĂšres, ne pourront ĂȘtre effectuĂ©es qu'aprĂšs avis du CSE s'il en existe, conformĂ©ment Ă l'article L. 3121-11-1 du code du heures accomplies au-delĂ du contingent annuel d'heures supplĂ©mentaires ouvrent droit Ă une contrepartie obligatoire en repos dont les modalitĂ©s sont dĂ©finies aux articles L. 3121-11 et D. 3121-7 et suivants du code du travail.1 L'article est Ă©tendu sous rĂ©serve qu'au 1er paragraphe, la rĂ©fĂ©rence Ă l'article L. 3121-11-1 soit entendue comme Ă©tant la rĂ©fĂ©rence au 3° du I de l'article L. 3121-33 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 12 L'article est Ă©tendu sous rĂ©serve qu'au 2Ăšme paragraphe, la rĂ©fĂ©rence aux articles L. 3121-11 et D. 3121-7 et suivants du code du travail soit entendue comme Ă©tant la rĂ©fĂ©rence au 3° du I de l'article L. 3121-33 et aux articles D. 3121-17 et suivants du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1Heures supplĂ©mentaires accomplies au-delĂ du contingent annuel Au-delĂ du contingent annuel prĂ©citĂ© Ă l'article les heures supplĂ©mentaires rendues inĂ©vitables pour certaines catĂ©gories de personnel, par suite de circonstances particuliĂšres, ne pourront ĂȘtre effectuĂ©es qu'aprĂšs avis du CSE s'il en existe, conformĂ©ment Ă l'article L. 3121-33 du code du heures accomplies au-delĂ du contingent annuel d'heures supplĂ©mentaires ouvrent droit Ă une contrepartie obligatoire en repos dont les modalitĂ©s sont dĂ©finies aux articles L. 3121-33 et D. 3121-17 et suivants du code du travail. Article 1 non en vigueur RemplacĂ©Les heures supplĂ©mentaires effectuĂ©es au-delĂ de la durĂ©e hebdomadaire lĂ©gale du travail, de la durĂ©e considĂ©rĂ©e comme Ă©quivalente, donnent lieu Ă une majoration de salaire fixĂ©e en application de l'article L. 3121-22 du code du travail comme suit â 25 % pour les 8 premiĂšres heures ; â 50 % pour les heures paiement des heures supplĂ©mentaires et des majorations y affĂ©rentes effectuĂ©es au-delĂ de la durĂ©e hebdomadaire lĂ©gale du travail, peut ĂȘtre remplacĂ© en totalitĂ© ou en partie par un repos Ă©quivalent aux heures supplĂ©mentaires et aux majorations aprĂšs consultation du l'absence de reprĂ©sentant du personnel, ce rĂ©gime de paiement des heures supplĂ©mentaires en repos peut ĂȘtre instituĂ© aprĂšs information du personnel et accord des salariĂ©s repos devra ĂȘtre pris au minimum par journĂ©e entiĂšre. Il pourra Ă©ventuellement ĂȘtre affectĂ© Ă un compte heures supplĂ©mentaires dont le paiement aura Ă©tĂ© remplacĂ© par un repos Ă©quivalent ne s'imputent pas sur le contingent annuel d'heures supplĂ©mentaires conformĂ©ment Ă l'article L. 3121-25 du code du travail.1 L'article est Ă©tendu sous rĂ©serve que la rĂ©fĂ©rence Ă l'article L. 3121-25 soit entendue comme Ă©tant la rĂ©fĂ©rence Ă l'article L. 3121-29 du code du travail, et que soient exclus les termes en application de l'article L. 3121-22 du code du travail ». ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1RĂ©munĂ©ration des heures supplĂ©mentaires Les heures supplĂ©mentaires effectuĂ©es au-delĂ de la durĂ©e hebdomadaire lĂ©gale du travail, de la durĂ©e considĂ©rĂ©e comme Ă©quivalente, donnent lieu Ă une majoration de salaire fixĂ©e comme suit â 25 % pour les 8 premiĂšres heures ; â 50 % pour les heures paiement des heures supplĂ©mentaires et des majorations y affĂ©rentes effectuĂ©es au-delĂ de la durĂ©e hebdomadaire lĂ©gale du travail, peut ĂȘtre remplacĂ© en totalitĂ© ou en partie par un repos Ă©quivalent aux heures supplĂ©mentaires et aux majorations aprĂšs consultation du l'absence de reprĂ©sentant du personnel, ce rĂ©gime de paiement des heures supplĂ©mentaires en repos peut ĂȘtre instituĂ© aprĂšs information du personnel et accord des salariĂ©s repos devra ĂȘtre pris au minimum par journĂ©e entiĂšre. Il pourra Ă©ventuellement ĂȘtre affectĂ© Ă un compte heures supplĂ©mentaires dont le paiement aura Ă©tĂ© remplacĂ© par un repos Ă©quivalent ne s'imputent pas sur le contingent annuel d'heures supplĂ©mentaires conformĂ©ment Ă l'article L. 3121-29 du code du travail. DurĂ©e quotidienne de travail effectifDisposition gĂ©nĂ©rale La durĂ©e quotidienne de travail effectif ne peut ĂȘtre infĂ©rieure Ă 4 heures sauf pour les salariĂ©s Ă temps partiel. Elle ne peut ĂȘtre supĂ©rieure Ă 9 heures 30 par jour sauf dĂ©rogations dans les conditions prĂ©vues par l'article D. 3121-4 du code du travail. Toutefois, la durĂ©e quotidienne de travail effectif peut atteindre â 10 heures dans le respect des durĂ©es hebdomadaires maximales dans la limite de 20 jours par an non consĂ©cutifs pour tous les salariĂ©s, Ă l'exception des chauffeurs. Un moyen de contrĂŽle adaptĂ© devra ĂȘtre mis en place dans l'entreprise de maniĂšre Ă assurer le suivi de ce dispositif et contrĂŽler le respect des limites fixĂ©es. La durĂ©e quotidienne peut ĂȘtre diffĂ©rente selon les jours de la semaine. Les modalitĂ©s de cette rĂ©partition sont dĂ©terminĂ©es au niveau de l'entreprise ou de l'Ă©tablissement aprĂšs consultation du comitĂ© social et Ă©conomique. DurĂ©e quotidienne de travail effectif des salariĂ©s chauffeurs Au regard des conditions particuliĂšres d'exercices des salariĂ©s chauffeurs, notamment les alĂ©as de la circulation, la durĂ©e quotidienne de travail effectif peut atteindre â 11 heures dans le respect des durĂ©es hebdomadaires maximales dans la limite de 40 jours par moyen de contrĂŽle adaptĂ© devra ĂȘtre mis en place dans l'entreprise de maniĂšre Ă assurer le suivi de ce dispositif et contrĂŽler le respect des limites durĂ©e quotidienne peut ĂȘtre diffĂ©rente selon les jours de la modalitĂ©s de cette rĂ©partition sont dĂ©terminĂ©es au niveau de l'entreprise ou de l'Ă©tablissement aprĂšs consultation du comitĂ© Ă©conomique et social. Article 54 1 non en vigueur RemplacĂ©L'article L. 3122-2 du code du travail prĂ©voit la possibilitĂ© de dĂ©finir par accord collectif des modalitĂ©s d'amĂ©nagement du temps de travail et d'organiser la rĂ©partition de la durĂ©e du travail sur une pĂ©riode supĂ©rieure Ă la semaine et au plus Ă©gale Ă l'annĂ©e. Ă dĂ©faut d'accord collectif, la durĂ©e du travail peut ĂȘtre organisĂ©e sous forme de pĂ©riodes de travail d'une durĂ©e de 4 semaines au plus chacune dans les conditions fixĂ©es par les dispositions rĂ©glementaires en stipulations des accords collectifs d'entreprise ou d'Ă©tablissement intervenues sur le fondement des dispositions antĂ©rieurement applicables cycle, modulation, JRTT, temps partiel modulĂ© restent en vigueur.1 L'article 54 est Ă©tendu sous rĂ©serve que la rĂ©fĂ©rence Ă l'article L. 3122-2 soit entendue comme Ă©tant la rĂ©fĂ©rence Ă l'article L. 3121-44 du code du travail, et sous rĂ©serve Ă©galement du respect de l'article L. 3121-45 qui permet Ă un employeur d'amĂ©nager unilatĂ©ralement la durĂ©e du travail sur une pĂ©riode de neuf semaines si l'entreprise compte moins de 50 salariĂ©s. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1AmĂ©nagement du temps de travail sur une pĂ©riode supĂ©rieure Ă la semaine et au plus Ă©gale Ă l'annĂ©e L'article L. 3121-44 du code du travail prĂ©voit la possibilitĂ© de dĂ©finir par accord collectif des modalitĂ©s d'amĂ©nagement du temps de travail et d'organiser la rĂ©partition de la durĂ©e du travail sur une pĂ©riode supĂ©rieure Ă la semaine et au plus Ă©gale Ă l' dĂ©faut d'accord collectif, chaque entreprise pourra, en application des dispositions de l'article L. 3121-45 mettre en place une rĂ©partition sur plusieurs semaines de la durĂ©e du travail, dans la limite de 9 semaines pour les entreprises employant moins de 50 salariĂ©s et dans la limite de 4 semaines pour les entreprises de 50 salariĂ©s et ces cas, l'entreprise Ă©tablit le programme indicatif de la variation de la durĂ©e du travail. Ce programme est soumis pour avis, avant sa premiĂšre mise en Ćuvre, au comitĂ© social et Ă©conomique, s'il modifications du programme de la variation font Ă©galement l'objet d'une consultation du comitĂ© social et Ă©conomique, s'il communique au moins une fois par an au comitĂ© social et Ă©conomique un bilan de la mise en Ćuvre du programme indicatif de la variation de la durĂ©e du stipulations des accords collectifs d'entreprise ou d'Ă©tablissement intervenues sur le fondement des dispositions antĂ©rieurement applicables cycle, modulation, JRTT, temps partiel modulĂ© restent en vigueur. Travail en Ă©quipes de supplĂ©ance La mise en Ćuvre du travail en Ă©quipes de supplĂ©ances est subordonnĂ©e Ă l'application des dispositions lĂ©gales en vigueur. Travail en continu pour raisons Ă©conomiques Les entreprises industrielles ont la facultĂ© de recourir au travail en continu pour raisons Ă©conomiques conformĂ©ment Ă l'article L. 3132-14 du code du travail. La mise en Ćuvre de ce type d'organisation permet d'optimiser la durĂ©e d'utilisation des Ă©quipements de travail et de dĂ©velopper l'emploi. Principe L'organisation du travail en continu se caractĂ©rise par le fonctionnement de l'Ă©tablissement, de l'atelier ou du service, 24 heures sur 24 et 7 jours sur organisation du travail peut ĂȘtre mise en place sur tout ou partie de l'annĂ©e. ModalitĂ©s de mise en Ćuvre La mise en Ćuvre du travail en continu est subordonnĂ©e soit Ă la conclusion d'un accord d'entreprise ou d'Ă©tablissement soit Ă l'autorisation de l'inspection du travail aprĂšs consultation du CSE. DurĂ©e du travail en continu La durĂ©e hebdomadaire moyenne du travail sur l'annĂ©e des salariĂ©s occupĂ©s de façon permanente en continu ne peut ĂȘtre supĂ©rieure Ă 35 heures effectives. RĂ©munĂ©ration Les salariĂ©s travaillant en continu perçoivent une rĂ©munĂ©ration Ă©quivalente Ă celle correspondant Ă l'horaire lĂ©gal ou Ă l'horaire effectif pratiquĂ© dans l'entreprise ou l'Ă©tablissement. Article 57 non en vigueur RemplacĂ©ConformĂ©ment Ă l'article L. 3122-23 du code du travail, les entreprises sont autorisĂ©es, pour rĂ©pondre aux demandes des salariĂ©s, Ă dĂ©roger Ă la rĂšgle de l'horaire collectif de travail et Ă pratiquer des horaires pratique des horaires individualisĂ©s est autorisĂ©e par l'inspecteur du travail aprĂšs accord du CSE aprĂšs constatation de l'accord des salariĂ©s concernĂ©s. 1 Les employeurs peuvent pratiquer les horaires individualisĂ©s sous rĂ©serve que le CSE n'y soit pas opposĂ© et que l'inspecteur du travail ou le fonctionnaire de contrĂŽle assimilĂ© en soit prĂ©alablement informĂ© 1. En l'absence de reprĂ©sentant du personnel, la pratique des horaires individualisĂ©s est autorisĂ©e par l'inspecteur du travail aprĂšs accord du horaires individualisĂ©s peuvent entraĂźner, dans la limite de 3 heures, des reports d'heures d'une semaine sur une autre reports faits Ă l'initiative du salariĂ© n'ont pour effet ni d'augmenter le nombre des heures payĂ©es Ă un taux majorĂ©, ni d'augmenter le taux des cumul des reports ne peut avoir pour effet de porter Ă plus de 10 heures le total des heures reportĂ©es.1 A l'article 57, sont exclues de l'extension les phrases La pratique des horaires individualisĂ©s est autorisĂ©e par l'inspecteur du travail aprĂšs accord du CSE aprĂšs constatation de l'accord des salariĂ©s concernĂ©s. » et et que l'inspecteur du travail ou le fonctionnaire de contrĂŽle assimilĂ© en soit prĂ©alablement informĂ© », en ce qu'elles sont contraires aux dispositions de l'article L. 3121-48 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1Travail en horaires individualisĂ©s ConformĂ©ment Ă l'article L. 3122-23 du code du travail, les entreprises sont autorisĂ©es, pour rĂ©pondre aux demandes des salariĂ©s, Ă dĂ©roger Ă la rĂšgle de l'horaire collectif de travail et Ă pratiquer des horaires employeurs peuvent pratiquer les horaires individualisĂ©s sous rĂ©serve que le CSE n'y soit pas opposĂ©. En l'absence de reprĂ©sentant du personnel, la pratique des horaires individualisĂ©s est autorisĂ©e par l'inspecteur du travail aprĂšs accord du horaires individualisĂ©s peuvent entraĂźner, dans la limite de 3 heures, des reports d'heures de 1 semaine sur une autre reports faits Ă l'initiative du salariĂ© n'ont pour effet ni d'augmenter le nombre des heures payĂ©es Ă un taux majorĂ©, ni d'augmenter le taux des cumul des reports ne peut avoir pour effet de porter Ă plus de 10 heures le total des heures reportĂ©es. Travail par relais Les entreprises ont la facultĂ© de recourir au travail par relais qui permet de rĂ©partir les salariĂ©s en Ă©quipes ayant des horaires diffĂ©rents dans une amplitude de travail dĂ©passant la durĂ©e normale de horaires de travail et la composition nominative de chaque Ă©quipe doivent ĂȘtre au sein d'un mĂȘme atelier ou d'une mĂȘme Ă©quipe, l'organisation du travail n'exige pas une prise de poste simultanĂ©e, les heures de dĂ©but et de fin de travail peuvent ĂȘtre diffĂ©rentes selon les salariĂ©s. Article 59 1 non en vigueur RemplacĂ©Tout salariĂ© affectĂ© aux opĂ©rations d'abattage sur chaĂźnes mĂ©canisĂ©es ou tributaire d'un poste de saignĂ©e fonctionnant Ă part, ou effectuant dans les diffĂ©rents ateliers de l'entreprise ou de l'Ă©tablissement des opĂ©rations ou travaux qui se dĂ©roulent suivant un rythme et une cadence imposĂ©s collectivement, a droit Ă un temps de pause calculĂ© sur la base de 3 minutes par heure de travail effectivement accomplie. Cette pause est rĂ©munĂ©rĂ©e au taux normal sans contrepartie figure sur une ligne Ă part du bulletin de accord d'entreprise ou d'Ă©tablissement dĂ©termine les modalitĂ©s de la prise effective de cette l'absence d'accord, la pause est fixĂ©e, dans toute la mesure du possible, au milieu de la ou des sĂ©quences de temps de pause se dĂ©compte Ă partir du moment oĂč le travail s'interrompt jusqu'au moment oĂč le travail temps de pause dĂ©fini au prĂ©sent paragraphe ne peut en aucun cas s'interprĂ©ter comme s'ajoutant aux pauses dĂ©jĂ accordĂ©es pour le mĂȘme objet dans les entreprises et ce quelle que soit leur appellation.1 L'article 59 est exclu de l'extension en ce qu'il contrevient Ă l'article du code du travail, qui est d'ordre public social. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1Principe ConformĂ©ment aux dispositions lĂ©gales en vigueur, dĂšs que le temps de travail quotidien atteint 6 heures, le salariĂ© bĂ©nĂ©ficie d'un temps de pause d'une durĂ©e minimale de 20 minutes consĂ©cutives. Pause rĂ©munĂ©rĂ©e Tout salariĂ© affectĂ© aux opĂ©rations d'abattage sur chaĂźnes mĂ©canisĂ©es ou tributaire d'un poste de saignĂ©e fonctionnant Ă part, ou effectuant dans les diffĂ©rents ateliers de l'entreprise ou de l'Ă©tablissement des opĂ©rations ou travaux qui se dĂ©roulent suivant un rythme et une cadence imposĂ©s collectivement, a droit Ă une contrepartie liĂ©e Ă la pause calculĂ©e sur la base de 3 minutes par heure de travail effectivement accomplie, rĂ©munĂ©rĂ©e au taux normal sans contrepartie figure sur une ligne Ă part du bulletin de accord d'entreprise ou d'Ă©tablissement dĂ©termine les modalitĂ©s de la prise effective de cette l'absence d'accord, la pause est fixĂ©e, dans toute la mesure du possible, au milieu de la ou des sĂ©quences de temps de pause se dĂ©compte Ă partir du moment oĂč le travail s'interrompt jusqu'au moment oĂč le travail temps de pause dĂ©fini au prĂ©sent paragraphe ne peut en aucun cas s'interprĂ©ter comme s'ajoutant aux pauses dĂ©jĂ accordĂ©es pour le mĂȘme objet dans les entreprises et ce quelle que soit leur appellation. Chapitre II Organisation du temps de travail dans le cadre d'un forfait annuel Article 60 2 non en vigueur RemplacĂ©La possibilitĂ© de conclure des conventions de forfait en jours sur l'annĂ©e est encadrĂ©e par les articles L. 3121-43 et suivants du code du travail.1 L'article 60 est Ă©tendu sous rĂ©serve de la conclusion d'un accord d'entreprise prĂ©cisant les conditions de prise en compte, pour la rĂ©munĂ©ration des salariĂ©s, des absences, des arrivĂ©es et des dĂ©parts en cours de pĂ©riode, conformĂ©ment au 4° du I de l'article L. 3121-64 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 12 L'article 60 est Ă©tendu sous rĂ©serve d'ĂȘtre complĂ©tĂ© par un accord d'entreprise, en application du 3° de l'article L. 3121-64 II ou, Ă dĂ©faut, par la fixation, par l'employeur lui-mĂȘme, des modalitĂ©s d'exercice du droit du salariĂ© Ă la dĂ©connexion, conformĂ©ment aux dispositions de l'article L. 3121-65 II du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1Conventions de forfait en jours sur l'annĂ©e La possibilitĂ© de conclure des conventions de forfait en jours sur l'annĂ©e est encadrĂ©e par les articles L. 3121-43 et suivants du code du travail.1 Article Ă©tendu sous rĂ©serve qu'un accord d'entreprise mentionne les caractĂ©ristiques principales des conventions individuelles de forfait, conformĂ©ment au 5° du I de l'article L. 3121-64 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 23 mai 2022 - art. 1 Article 1 non en vigueur RemplacĂ©Cadres autonomesLes cadres autonomes sont les salariĂ©s qui disposent d'une autonomie dans l'organisation de leur emploi du temps et dont la nature des fonctions ne les conduit pas Ă suivre l'horaire collectif applicable au sein de l'atelier, du service ou de l'Ă©quipe auquel ils sont salariĂ©s autonomes concernĂ©sLes salariĂ©s non-cadres dont la durĂ©e du temps de travail ne peut ĂȘtre prĂ©dĂ©terminĂ©e et qui disposent d'une rĂ©elle autonomie dans l'organisation de leur emploi du temps pour l'exercice des responsabilitĂ©s qui leur sont Ă©gard aux fonctions exercĂ©es, peuvent notamment rĂ©pondre Ă la condition d'autonomie exigĂ©e les salariĂ©s qui sont assimilĂ©s Ă des cadres pour le rĂ©gime de retraite salariĂ© doit donner individuellement son accord par Ă©crit, par la signature du contrat de travail ou de son avenant dont une clause fixe les conditions d'application de la convention de forfait.1 L'article est Ă©tendu sous rĂ©serve qu'en application du 1° du I de l'article L. 3121-64 du code du travail, un accord d'entreprise prĂ©cise les catĂ©gories de salariĂ©s susceptibles de conclure une convention individuelle de forfait annuel en jours, en se conformant aux critĂšres posĂ©s par l'article L. 3121-58. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1SalariĂ©s concernĂ©s Cadres autonomesLes cadres autonomes sont les salariĂ©s qui disposent d'une autonomie dans l'organisation de leur emploi du temps et dont la nature des fonctions ne les conduit pas Ă suivre l'horaire collectif applicable au sein de l'atelier, du service ou de l'Ă©quipe auquel ils sont titre illustratif, peuvent ainsi bĂ©nĂ©ficier d'une convention de forfait jours â les cadres de direction ; â les directeurs ou responsables d'Ă©tablissements ; â les directeurs ou responsables de services ; â les directeurs ou responsables administratifs ; â les cadres type de convention nĂ©cessite la conclusion avec chaque salariĂ© concernĂ© d'une convention individuelle de forfait jours au contrat de travail ou par avenant au contrat de express du salariĂ© est matĂ©rialisĂ© par la signature du contrat. Article non en vigueur RemplacĂ©La durĂ©e annuelle du travail est fixĂ©e Ă 218 jours. Le salariĂ© qui a travaillĂ© tout ou partie de l'annĂ©e sera soumis Ă un forfait proratisĂ© en fonction du nombre de contrat de travail fixe le dĂ©but de la pĂ©riode annuelle de 12 mois qui peut ĂȘtre l'annĂ©e civile, ou la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence pour le calcul des congĂ©s nombre de jours travaillĂ©s fixĂ© par l'accord peut ĂȘtre dĂ©passĂ© dans les cas suivants â pour affectation des jours de repos dans un compte Ă©pargne-temps ; â en cas de renonciation Ă des jours de repos contre une rĂ©munĂ©ration ; â pour report de congĂ©s payĂ©s dans les conditions de l'article L. 3141-21 CT ; â en cas de non-acquisition et donc de non-prise des congĂ©s payĂ©s sur la pĂ©riode de forfait, le cadre venant d'ĂȘtre dĂ©rogation, le salariĂ© peut demander Ă travailler plus de 218 jours en renonçant Ă des jours de repos sans pouvoir dĂ©passer la durĂ©e maximale absolue de travail. Afin de prĂ©server la santĂ©, la sĂ©curitĂ© et le droit aux repos des salariĂ©s, la dĂ©rogation ne peut excĂ©der 235 jours sous rĂ©serve des 2 conditions suivantes â les repos quotidiens et hebdomadaires sont de 11 heures et 35 heures art. L. 3131-1 et L. 3132-2 du code du travail ; â la majoration de la rĂ©munĂ©ration des jours supplĂ©mentaires soit au moins de 10 % pour les jours compris entre 218 et 225 puis 25 % jusqu'Ă les cadres soumis au forfait annuel, la durĂ©e du travail doit ĂȘtre dĂ©comptĂ©e chaque annĂ©e par rĂ©capitulation du nombre de journĂ©es ou demi-journĂ©es travaillĂ©es par chaque salariĂ© concernĂ© et conservĂ©e pendant une durĂ©e de 3 du travail La durĂ©e annuelle du travail est fixĂ©e Ă 218 dĂ©compte des jours travaillĂ©s se fera dans le cadre de l'annĂ©e pourra cependant prĂ©voir une autre pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence que l'annĂ©e civile et notamment la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence servant Ă la dĂ©termination des droits Ă congĂ©s payĂ©s des salariĂ©s. Dans ce cas, la pĂ©riode retenue devra figurer au contrat de travail des salariĂ©s nombre de jours travaillĂ©s fixĂ© par l'accord peut ĂȘtre dĂ©passĂ© dans les cas suivants â pour affectation des jours de repos dans un compte Ă©pargne-temps dans la limite de 8 jours ; â pour report de congĂ©s payĂ©s dans les conditions de l'article L. 3141-21 du code du travail ; â en cas de non-acquisition et donc de non-prise des congĂ©s payĂ©s sur la pĂ©riode de forfait, le cadre venant d'ĂȘtre salariĂ© concernĂ© par une convention de forfait jours bĂ©nĂ©ficie â d'un repos quotidien d'une durĂ©e minimale de 11 heures consĂ©cutives ; â d'un repos hebdomadaire d'une durĂ©e minimale de 24 heures auxquelles s'ajoutent les heures consĂ©cutives de repos quotidien prĂ©vues de 11 heures, soit au total, une durĂ©e de 35 heures les cadres soumis au forfait annuel, la durĂ©e du travail doit ĂȘtre dĂ©comptĂ©e chaque annĂ©e par rĂ©capitulation du nombre de journĂ©es ou demi-journĂ©es travaillĂ©es par chaque salariĂ© concernĂ©. Garantie d'une durĂ©e raisonnable de travail et du respect de la conciliation entre vie personnelle et professionnelle Dans la mesure oĂč le temps de travail est dĂ©terminĂ© en jours et eu Ă©gard Ă la spĂ©cificitĂ© du rĂ©gime du forfait annuel en jours, il importe que la charge de travail confiĂ©e aux salariĂ©s, ainsi que l'amplitude de leurs journĂ©es d'activitĂ© restent un souci de garantir le respect du droit Ă la santĂ© et au repos des salariĂ©s ainsi que le principe gĂ©nĂ©ral de conciliation de la vie professionnelle et de la vie personnelle, l'employeur s'assure que le salariĂ© respecte au minimum les repos quotidiens et hebdomadaires lĂ©gaux. Article 2 non en vigueur RemplacĂ©Le forfait en jours s'accompagne d'un contrĂŽle du nombre de jours travaillĂ©s afin de dĂ©compter le nombre de journĂ©es de travail, ainsi que les journĂ©es de repos prises ;L'employeur est tenu d'Ă©tablir un document de contrĂŽle faisant apparaĂźtre le nombre et la date des journĂ©es travaillĂ©es ainsi que le positionnement et la qualification des jours de repos repos hebdomadaire, jours de congĂ©s payĂ©s, jours RTT ;Le document de contrĂŽle du temps de travail peut ĂȘtre tenu par le salariĂ© sous la responsabilitĂ© de l'employeur ;Le supĂ©rieur hiĂ©rarchique assure le suivi rĂ©gulier de l'organisation du travail du salariĂ© et de sa charge de travail ;Le salariĂ© bĂ©nĂ©ficie, chaque annĂ©e, d'un entretien avec son supĂ©rieur hiĂ©rarchique, conformĂ©ment Ă l'article L. 3121-46 du code du travail, au cours duquel sont Ă©voquĂ©es l'organisation de son travail et sa charge de travail ainsi que l'amplitude de ses journĂ©es de travail. Le salariĂ© peut Ă©galement demander un entretien Ă tout moment s'il constate ou ressent une surcharge de travail ou bien rencontre des difficultĂ©s pour concilier sa vie professionnelle et sa vie personnelle. Cet entretien doit se dĂ©rouler dans un dĂ©lai de 7 jours ouvrables suivants la demande Ă©crite du institutions reprĂ©sentatives du personnel sont rĂ©guliĂšrement informĂ©es et consultĂ©es sur l'application du rĂ©gime du forfait en jours.1 L'article est Ă©tendu sous rĂ©serve que la rĂ©fĂ©rence Ă l'article L. 3121-46 soit entendue comme Ă©tant la rĂ©fĂ©rence au 2° du II de l'article L. 3121-64, et sous rĂ©serve que l'ensemble des thĂšmes mentionnĂ©s Ă cet article soient Ă©voquĂ©s lors de l'entretien annuel du salariĂ© avec son supĂ©rieur hiĂ©rarchique. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 12 L'article est Ă©tendu sous rĂ©serve du respect des dispositions du e du 5° du II de l'article L. 2312-26 du code du travail, qui prĂ©voit une consultation annuelle du comitĂ© Ă©conomique et social sur le recours aux conventions de forfait et les modalitĂ©s de suivi de la charge de travail des salariĂ©s. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1Conditions de contrĂŽle de l'application du forfait en jours DĂ©compte et suivi du temps de travailCompte tenu de la spĂ©cificitĂ© des salariĂ©s concernĂ©s, les parties considĂšrent que le respect des dispositions contractuelles et lĂ©gales notamment de la limite du nombre de jours travaillĂ©s et du repos quotidien et hebdomadaire sera suivi au moyen d'un systĂšme dĂ©claratif, chaque salariĂ© remplissant le formulaire mis Ă sa disposition Ă cet effet. Le contrĂŽle du nombre de jours travaillĂ©s se fait moyennant un document mentionnant notamment le nombre et la date des journĂ©es et demi-journĂ©es de travail et de repos ainsi que la qualification desdits repos congĂ©s payĂ©s, jour non travaillĂ©, repos hebdomadaire, jour fĂ©riĂ© chĂŽmĂ© âŠ. Ce document peut ĂȘtre tenu par le salariĂ© sous la responsabilitĂ© de l' dispositif de suivi du forfait-jours, en tenant un dĂ©compte des journĂ©es et demi-journĂ©es de travail ainsi que de l'amplitude de la journĂ©e de travail, des temps de repos et de congĂ©s, aura pour objectif d'assurer effectivement un contrĂŽle de l'organisation du travail et de la charge de travail par l'entreprise. Ce document sera Ă©tabli Ă pĂ©riodicitĂ© document permet Ă©galement d'apprĂ©cier la rĂ©partition de la charge de travail du salariĂ© concernĂ©e sur le mois ainsi que sur l' surcroĂźt, une mesure rĂ©guliĂšre de l'amplitude des journĂ©es travaillĂ©es permet de justifier le respect des rĂšgles applicables au salariĂ© au forfait en matiĂšre de repos et de durĂ©es maximales de travail. DĂ©compte et suivi de la charge de travailLe salariĂ© bĂ©nĂ©ficie, chaque annĂ©e, d'un entretien avec son supĂ©rieur hiĂ©rarchique, conformĂ©ment Ă l'article L. 3121-46 du code du entretien est organisĂ© par l'entreprise, avec chaque salariĂ© ayant conclu une convention de forfait en jours sur l' porte sur la charge de travail du salariĂ©, la rĂ©partition de cette charge sur le mois ainsi que sur l'annĂ©e, l'organisation du travail au sein de l'entreprise, l'articulation entre l'activitĂ© professionnelle et la vie personnelle et familiale, ainsi que sur la rĂ©munĂ©ration du salariĂ© peut Ă©galement demander un entretien Ă tout moment s'il constate ou ressent une surcharge de travail ou bien rencontre des difficultĂ©s pour concilier sa vie professionnelle et sa vie personnelle. Cet entretien doit se dĂ©rouler dans un dĂ©lai de 7 jours ouvrables suivant la demande Ă©crite du salariĂ©. Un compte rendu de cet entretien devra ĂȘtre rĂ©alisĂ© par Ă©crit lui prĂ©cisant les solutions plus, dans le cadre de la convention de forfait, la charge de travail devra faire l'objet d'un suivi charge de travail de l'intĂ©ressĂ© ainsi que son amplitude de travail doivent rester raisonnables et assurer une bonne rĂ©partition, dans le temps, du travail des l'issue de cet entretien, dans l'hypothĂšse oĂč il serait montrĂ© que la charge de travail est, soit trop importante, soit mal rĂ©partie sur l'annĂ©e, sont consignĂ©es les mesures Ă mettre en Ćuvre de maniĂšre Ă remĂ©dier aux dysfonctionnements mise en Ćuvre de ces mesures ainsi que les rĂ©sultats qui en dĂ©coulent sont inscrits de droit Ă l'ordre du jour de l'entretien annuel ailleurs, sans attendre l'entretien annuel, dĂšs lors que l'entreprise constate sur la base du relevĂ© Ă©tabli par le salariĂ©, que le nombre de jours de repos pris n'est pas suffisant ou que le nombre de jours travaillĂ©s consĂ©cutivement est rĂ©guliĂšrement trop important ou que l'amplitude des journĂ©es travaillĂ©es par le salariĂ© est rĂ©guliĂšrement trop importante l'entreprise organise un entretien dont l'objet est de dĂ©terminer les causes de cette situation et les moyens Ă mettre en Ćuvre pour y remĂ©dier. La mise en Ćuvre de ces mesures ainsi que les rĂ©sultats qui en dĂ©coulent sont inscrits de droit Ă l'ordre du jour de l'entretien annuel suivant. Information. Consultation du CSE Ă attributions Ă©largies plus de 50 salariĂ©sDans les entreprises de plus de 50 salariĂ©s, le CSE sera tenu informĂ© et consultĂ© une fois par an des consĂ©quences pratiques de la mise en Ćuvre de ce dĂ©compte de la durĂ©e du travail en nombre de jours sur l'annĂ©e. Seront examinĂ©s notamment l'impact de ce rĂ©gime sur l'organisation du travail, l'amplitude des horaires et la charge de travail des salariĂ©s concernĂ©s. Article non en vigueur RemplacĂ©Le bulletin de paie doit mentionner, pour l'information des salariĂ©s concernĂ©s, la nature et le volume du forfait sur lequel la rĂ©munĂ©ration est calculĂ©e, avec indication du nombre de jours â Mentions Ă porter sur le bulletin de paie La rĂ©munĂ©ration doit tenir compte des responsabilitĂ©s confiĂ©es au salariĂ© dans le cadre de sa rĂ©munĂ©ration mensuelle du salariĂ© est lissĂ©e sur la pĂ©riode annuelle de rĂ©fĂ©rence quel que soit le nombre de jours travaillĂ©s au cours du mois, conformĂ©ment aux dispositions lĂ©gales et est rappelĂ© que les salariĂ©s ayant conclu une convention de forfait en jours perçoivent une rĂ©munĂ©ration supĂ©rieure Ă celle des salariĂ©s classĂ©s au mĂȘme niveau mais dont le temps de travail serait dĂ©comptĂ© en heures et qui travailleraient 151,67 heures par mois.Par ailleurs, en cas de modification du contrat de travail, lors du passage d'un temps de travail dĂ©comptĂ© en heures Ă un forfait annuel en jours, l'employeur veille Ă ce que la rĂ©munĂ©ration du salariĂ©, versĂ©e par 12e, soit supĂ©rieure Ă celle de l'annĂ©e de rĂ©fĂ©rence prĂ©cĂ©dente. La comparaison s'effectue Ă partir du salaire mensuel de base du rĂ©munĂ©ration mensuelle de l'intĂ©ressĂ© est forfaitaire et donc indĂ©pendante du nombre d'heures de travail effectif accomplies durant la pĂ©riode de paie considĂ©rĂ©e. En tout Ă©tat de cause, elle devra ĂȘtre supĂ©rieure au minimum conventionnel du niveau de classification de l' bulletin de paie doit faire apparaĂźtre que la rĂ©munĂ©ration est calculĂ©e selon un nombre annuel de jours de travail en prĂ©cisant ce nombre.1 Article Ă©tendu sous rĂ©serve qu'un accord d'entreprise prĂ©cise l'impact, sur la rĂ©munĂ©ration du salariĂ©, des absences, des arrivĂ©es et des dĂ©parts en cours de pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence, comme le prĂ©voit le 4° du I de l'article L. 3121-64 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 23 mai 2022 - art. 1 Dispositions particuliĂšres Embauche en cours d'annĂ©eLors de chaque embauche, sera dĂ©fini individuellement pour la premiĂšre annĂ©e d'activitĂ©, le nombre de jours restant Ă travailler sur la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence arrĂȘtĂ©e en tenant compte notamment de l'absence de droits complets Ă congĂ©s payĂ©s. En effet, pour les salariĂ©s ne bĂ©nĂ©ficiant pas d'un congĂ© annuel complet, le nombre de jours de travail est augmentĂ© Ă concurrence du nombre de jours de congĂ© lĂ©gaux et conventionnels auxquels le salariĂ© ne peut de dĂ©terminer le nombre de jours de travail pour le reste de l'annĂ©e, il conviendra de soustraire au nombre de jours calendaires restant Ă courir â le nombre de samedi et de dimanche ; â le nombre de jours fĂ©riĂ©s coĂŻncidant avec un jour ouvrĂ© Ă Ă©choir avant le terme de la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence ; â le prorata du nombre de jours de repos supplĂ©mentaires pour l'annĂ©e considĂ©rĂ©e. Absences entraĂźnant la suspension de l'exĂ©cution du contratChaque absence d'au moins 1 semaine calendaire rĂ©duira le forfait de 5 absences non rĂ©munĂ©rĂ©es donneront lieu Ă une retenue sur le montant mensuel de la rĂ©munĂ©ration calculĂ©e sur la base de 1 journĂ©e ou 1 demi-journĂ©e de nombre de jours de repos supplĂ©mentaires auquel aurait pu prĂ©tendre le salariĂ© s'il n'avait pas Ă©tĂ© absent, sera rĂ©duit au prorata de son temps d'absence. DĂ©part en cours de pĂ©riode de rĂ©fĂ©renceAfin d'Ă©tablir le solde de compte en cas de dĂ©part en cours de pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence, l'entreprise s'assure que le nombre de jours travaillĂ©s par le salariĂ© correspond Ă la rĂ©munĂ©ration mensuelle qui lui a Ă©tĂ© assurer ce contrĂŽle, l'entreprise dĂ©termine le nombre de jours travaillĂ©s de rĂ©fĂ©rence en soustrayant au nombre de jours calendaires Ă©coulĂ©s sur la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence considĂ©rĂ©e avant le dĂ©part â le nombre de samedis et de dimanches ; â les jours fĂ©riĂ©s coĂŻncidant avec un jour ouvrĂ©s depuis le dĂ©but d'annĂ©e ; â le prorata du nombre de jours de repos supplĂ©mentaires pour la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence l'hypothĂšse oĂč le nombre de jours travaillĂ©s est supĂ©rieur au nombre de jours travaillĂ©s de rĂ©fĂ©rence l'entreprise procĂšde au paiement du nombre de jours de dĂ©passement dans le cadre du solde de compte. Ces jours ne supportent pas de majorations Ă moins qu'ils ne dĂ©passent le seuil de 218 jours. Droit Ă la dĂ©connexion L'utilisation des technologies de l'information et de la communication TIC mis Ă disposition des salariĂ©s bĂ©nĂ©ficiant d'une convention de forfait en jours sur l'annĂ©e doit respecter leur vie personnelle et leur droit Ă repos. Ă cet Ă©gard, ils bĂ©nĂ©ficient d'un droit Ă dĂ©connexion les soirs, les week-ends et pendant leurs congĂ©s, ainsi que l'ensemble des pĂ©riodes de suspension de leur contrat de travail, sauf circonstances Ă dĂ©faut de dispositions spĂ©cifiques en vigueur dans l'entreprise, qu'elles aient Ă©tĂ© mises en place par accord collectif ou par une charte Ă©tablie unilatĂ©ralement, l'employeur veillera Ă assurer au salariĂ© en forfait-jours un droit effectif Ă dĂ©connexion dans les conditions ci-aprĂšs droit Ă la dĂ©connexion consiste Ă Ă©teindre et/ ou dĂ©sactiver les outils de communication mis Ă leur disposition comme le tĂ©lĂ©phone portable, l'ordinateur portable et la messagerie Ă©lectronique professionnelle en dehors des heures habituelles de salariĂ©s n'ont pas l'obligation, hors plages de travail habituelles, en particulier, en soirĂ©e, les week-ends et lors de leurs congĂ©s, de rĂ©pondre aux courriels et appels tĂ©lĂ©phoniques qui leur sont adressĂ©s. Il leur est demandĂ© Ă©galement, pendant ces pĂ©riodes, de limiter au strict nĂ©cessaire et Ă l'exceptionnel l'envoi de courriels ou les appels de l'entretien d'embauche d'un nouveau salariĂ© bĂ©nĂ©ficiant d'une convention de forfait en jours sur l'annĂ©e, ou au moment du passage en forfait-jours pour un salariĂ© dĂ©jĂ prĂ©sent, une information spĂ©cifique lui sera dĂ©livrĂ©e sur l'utilisation des outils de communication Ă distance. Article 61 2 non en vigueur RemplacĂ©La possibilitĂ© de conclure des conventions de forfait en heures sur l'annĂ©e est encadrĂ©e par les articles L. 3121-38 et suivants du code du convention de forfait en heures sur l'annĂ©e peut ĂȘtre conclue avec â les cadres autonomes » dont on peut dĂ©compter l'horaire ; â les salariĂ©s itinĂ©rants non-cadres exclusivement ceux dont la durĂ©e du temps de travail ne peut ĂȘtre prĂ©dĂ©terminĂ©e ou qui disposent d'une rĂ©elle autonomie dans l'organisation de leur emploi du temps pour l'exercice des responsabilitĂ©s qui leur sont confiĂ©es.1 L'article 61 est Ă©tendu sous rĂ©serve du respect de l'ensemble des clauses obligatoires prĂ©vues au I de l'article L. 3121-64 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 12 L'article 61 est Ă©tendu sous rĂ©serve que la rĂ©fĂ©rence aux articles L. 3121-38 et suivants soit entendue comme Ă©tant la rĂ©fĂ©rence aux articles L. 3121-53 et suivants du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1Les conventions de forfait en heures sur l'annĂ©e La possibilitĂ© de conclure des conventions de forfait en heures sur l'annĂ©e est encadrĂ©e par les articles L. 3121-53 et suivants du code du convention de forfait en heures sur l'annĂ©e peut ĂȘtre conclue avec 1° Les cadres dont la nature des fonctions ne les conduit pas Ă suivre l'horaire collectif applicable au sein de l'atelier, du service ou de l'Ă©quipe auquel ils sont que cette liste ne soit exhaustive, peuvent ainsi bĂ©nĂ©ficier d'une convention de forfait heures â les responsables de services ; â les responsables d'ateliers ; â les Les techniciens et agents de maĂźtrise qui disposent d'une rĂ©elle autonomie dans l'organisation de leur emploi du que cette liste ne soit exhaustive, peuvent ainsi bĂ©nĂ©ficier d'une convention de forfait heures â les responsables de services ; â les responsables d'ateliers ; â les techniciens. Article non en vigueur RemplacĂ©a Clauses obligatoires La convention de forfait en heures doit fixer les catĂ©gories de cadres concernĂ©es ; les modalitĂ©s et caractĂ©ristiques principales des conventions de forfait envisagĂ©es et la durĂ©e annuelle de travail sur la base de laquelle le forfait est Ă©tabli. b Clauses facultatives 1La convention de forfait en heures doit fixer des limites journaliĂšres et hebdomadaires excĂ©dant les durĂ©es lĂ©gales maximales quotidiennes et hebdomadaires Ă condition â d'organiser le contrĂŽle de l'application de ces nouveaux maxima conventionnels et le suivi de l'organisation et de la charge de travail des intĂ©ressĂ©s ; â de respecter les rĂšgles applicables en matiĂšre de repos quotidien et de repos hebdomadaire.1 Le b de l'article est exclu de l'extension en tant qu'il est contraire Ă l'obligation de respecter les durĂ©es maximales lĂ©gales de travail dans le cadre d'un forfait en heures. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1CaractĂ©ristiques et mise en Ćuvre de la convention annuelle en heures La convention de forfait en heures doit fixer â les caractĂ©ristiques de l'emploi occupĂ© par le salariĂ© justifiant qu'il puisse conclure une convention de forfait en heures ; â la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence du forfait annuel telle que fixĂ©e par le prĂ©sent accord ; â le nombre d'heures comprises dans le forfait annuel du salariĂ©, ce nombre Ă©tant plafonnĂ© au nombre d'heures fixĂ© au prĂ©sent accord ; â la rĂ©munĂ©ration qui ne pourra ĂȘtre infĂ©rieure Ă la rĂ©munĂ©ration minimale Ă temps plein applicable dans l'entreprise, augmentĂ©e du paiement des heures supplĂ©mentaires Ă taux convention annuelle de forfait en heures pourra ĂȘtre dĂ©terminĂ©e par l'entreprise en fonction des emplois concernĂ©s et des nĂ©cessitĂ©s d'organisation dans les conditions suivantes â soit sur la base de 1 824 heures par an en moyenne 40 heures hebdomadaires, incluant la journĂ©e de solidaritĂ©, incluant forfaitairement des heures supplĂ©mentaires, dans le respect des dispositions lĂ©gales en matiĂšre de durĂ©es maximales de travail ; â soit sur la base de 1 688 heures par an en moyenne 37 heures hebdomadaires incluant la journĂ©e de solidaritĂ©, incluant forfaitairement des heures supplĂ©mentaires, dans le respect des dispositions lĂ©gales en matiĂšre de durĂ©es maximales de pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence pourra ĂȘtre l'annĂ©e civile, ou toutes autres pĂ©riodes de 12 mois consĂ©cutifs retenue par l'entreprise. Article non en vigueur RemplacĂ©Le contrat de travail ou un avenant au contrat fixe les conditions d'application de la convention de Ă©crit du salariĂ© Ce type de convention nĂ©cessite l'accord express et la conclusion avec chaque salariĂ© concernĂ© d'une convention annuelle individuelle de forfait en heures au contrat de travail ou par avenant au contrat de travail. Article non en vigueur RemplacĂ©DurĂ©es maximales du travail et temps de reposLes salariĂ©s ayant une convention de forfait annuel en heures sont soumis aux dispositions relatives â au repos quotidien ; â au repos hebdomadaire d'une durĂ©e minimale de 24 heures auxquelles s'ajoutent les heures consĂ©cutives de repos quotidien ; â Ă la durĂ©e maximale quotidienne de 10 heures ; â Ă la durĂ©e maximale hebdomadaire de 48 heures ou 44 heures en moyenne sur 12 dĂ©passement de la durĂ©e annuelle du travail fixĂ©e par la convention de forfait est possible Ă certaines conditions. Les heures excĂ©dant la durĂ©e annuelle forfaitaire doivent bĂ©nĂ©ficier d'une majoration de salaire. Un rappel de salaire devra alors figurer sur le bulletin de des rĂšgles relatives Ă la durĂ©e du travail DurĂ©es maximales du travail et temps de repos Les salariĂ©s ayant une convention de forfait annuel en heures sont soumis aux dispositions relatives â au repos quotidien d'une durĂ©e minimale de 11 heures consĂ©cutives ; â l'horaire hebdomadaire ne doit pas dĂ©passer 48 heures ou 46 heures par pĂ©riode de 12 semaines consĂ©cutives ; â au repos hebdomadaire d'une durĂ©e minimale de 24 heures ; â auxquelles s'ajoutent les heures consĂ©cutives de repos quotidien prĂ©vues de 11 heures, soit au total, une durĂ©e de 35 heures minimum ; â Ă la durĂ©e maximale quotidienne de 10 heures ; sauf dĂ©rogations prĂ©vues par la prĂ©sente convention collective. Article non en vigueur RemplacĂ©Les heures excĂ©dentaires ainsi effectuĂ©es peuvent ĂȘtre capitalisĂ©es sur un compte bulletin de paie indique la nature et le volume du forfait du forfait Toute heure rĂ©alisĂ©e au-delĂ de la convention de forfait constituera une heure supplĂ©mentaire et ouvrira droit aux contreparties y heures excĂ©dentaires ainsi effectuĂ©es peuvent ĂȘtre capitalisĂ©es sur un compte bulletin de paie indique la nature et le volume du forfait convenu. Article 1 non en vigueur RemplacĂ©Les salariĂ©s soumis Ă une convention de forfait annuel en heures bĂ©nĂ©ficient d'une rĂ©munĂ©ration calculĂ©e selon les mĂȘmes modalitĂ©s que la rĂ©munĂ©ration versĂ©e dans le cadre d'une convention en heures sur une base hebdomadaire.1 L'article est Ă©tendu sous rĂ©serve du respect de l'article L. 3121-57 du code du travail relatif Ă la rĂ©munĂ©ration des salariĂ©s au forfait annuel en heures. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1RĂ©munĂ©ration du salariĂ© en forfait annuel en heures La rĂ©munĂ©ration du salariĂ© ayant conclu une convention individuelle de forfait en heures est au moins Ă©gale Ă la rĂ©munĂ©ration minimale applicable dans l'entreprise pour le nombre d'heures correspondant Ă son forfait, augmentĂ©e, le cas Ă©chĂ©ant, si le forfait inclut des heures supplĂ©mentaires, des majorations relatives aux heures est rappelĂ© que ces salariĂ©s bĂ©nĂ©ficient des majorations de salaire prĂ©vues par le code du travail majoration fixĂ©e par convention ou accord collectif d'entreprise ou d'Ă©tablissement ou, Ă dĂ©faut, par convention ou un accord de branche, pour les heures de nuit ainsi que pour les heures effectuĂ©es le dimanche ou 1 jour fĂ©riĂ©.1 Article Ă©tendu sous rĂ©serve qu'un accord d'entreprise prĂ©cise l'impact, sur la rĂ©munĂ©ration des salariĂ©s, des absences, arrivĂ©es et dĂ©parts en cours de pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence, conformĂ©ment au 4° du I du l'article L. 3121-64 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 23 mai 2022 - art. 1 ArrivĂ©e, dĂ©part et absence en cours d'annĂ©e Le nombre d'heures correspondant aux absences indemnisĂ©es, aux congĂ©s lĂ©gaux ou conventionnels, aux absences maladies est dĂ©duit du nombre annuel d'heures Ă travailler, sur la base de 8 heures par journĂ©e d'absence en cas de base forfaitaire annuelle Ă 1 824 heures 40 heures hebdomadaires en moyenne, ou de 7,4 heures en cas de base forfaitaire annuelle Ă 1 688 heures 37 heures hebdomadaires en moyenne.En cas d'embauche en cours de pĂ©riode, ou de conclusion d'une convention individuelle en heures en cours de pĂ©riode, la convention individuelle de forfait dĂ©finit individuellement pour la pĂ©riode en cours le nombre d'heures restant Ă cela, il sera tenu compte notamment de l'absence de droits complets Ă congĂ©s payĂ©s, le nombre d'heures de travail Ă©tant augmentĂ© du nombre de jours de congĂ© auquel le salariĂ© ne peut prĂ©tendre et du nombre de jours fĂ©riĂ©s chĂŽmĂ©s situĂ©s pendant la pĂ©riode restant Ă cas de dĂ©part en cours de pĂ©riode, le nombre d'heures Ă effectuer jusqu'au dĂ©part effectif est Ă©valuĂ© en prenant en compte le nombre de congĂ©s payĂ©s acquis et pris. Suivi du nombre d'heures de travail Le salariĂ© est libre d'organiser son temps de travail, sous rĂ©serve de respecter les dispositions de l'article salariĂ© doit tenir un dĂ©compte quotidien de ses heures de travail sur le formulaire mis Ă sa disposition par l'entreprise Ă cet formulaire devra ĂȘtre adressĂ© au supĂ©rieur hiĂ©rarchique chaque mois de maniĂšre qu'un suivi du forfait puisse ĂȘtre rĂ©alisĂ© tout au long de la pĂ©riode de formulaire sera validĂ© chaque mois par le supĂ©rieur rĂ©sultait de ce contrĂŽle l'existence d'une charge de travail inadaptĂ©e, un entretien sera organisĂ© avec le salariĂ© afin de mettre en place les mesures adaptĂ©es permettant de respecter le forfait fixĂ©. Chapitre III Temps partiel DĂ©finition du temps partiel Les horaires de travail Ă temps partiel sont ceux infĂ©rieurs Ă la durĂ©e lĂ©gale du travail ou Ă la durĂ©e du travail fixĂ©e conventionnellement dans l'entreprise ou l'Ă©tablissement, conformĂ©ment Ă l'article L. 3123-1 du code du travail pouvant s'apprĂ©cier Ă©galement dans un cadre mensuel ou annuel selon le horaires de travail Ă temps partiel peuvent ĂȘtre pratiquĂ©s Ă l'initiative de l'employeur ou Ă la demande des qui prend l'initiative de la mise en place d'horaires Ă temps partiel doit obtenir l'avis prĂ©alable du comitĂ© Ă©conomique et social. Cet avis est transmis dans un dĂ©lai de 15 jours Ă l'inspecteur du l'absence de reprĂ©sentant du personnel, les horaires de travail Ă temps partiel peuvent ĂȘtre pratiquĂ©s Ă l'initiative de l'employeur soit Ă la demande des salariĂ©s sous rĂ©serve d'une information prĂ©alable de l'inspection du salariĂ© qui prend l'initiative de la mise en place d'horaires Ă temps partiel doit adresser une demande en ce sens Ă l'employeur par lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception, selon la procĂ©dure fixĂ©e aux articles D. 3123-3 et suivants du code du durĂ©e du travail Ă temps partiel peut ĂȘtre fixĂ©e dans le cadre hebdomadaire, mensuel ou annuel. Elle doit ĂȘtre au minimum de 24 heures par semaine ou l'Ă©quivalent selon le cadre retenu, conformĂ©ment aux dispositions lĂ©gales, sauf dans les cas expressĂ©ment visĂ©s par la dĂ©rogation, il est toutefois possible de prĂ©voir une durĂ©e du travail infĂ©rieure Ă 24 heures conformĂ©ment aux dispositions lĂ©gales, sur demande Ă©crite et motivĂ©e du salariĂ© â pour faire face Ă des contraintes personnelles ; â pour cumuler plusieurs activitĂ©s pour atteindre la durĂ©e d'activitĂ© correspondant Ă un temps plein ou au moins Ă©gale Ă 24 heures par semaine ; â en cas de CCD d'une durĂ©e maximale de 7 jours ; â si le salariĂ© a moins de 26 ans et poursuit ses Ă©tudes ; â en cas de signature d'un CDD ou d'un contrat temporaire justifiĂ© par le remplacement d'un ce cas, les horaires de travail du salariĂ© concernĂ© par cette dĂ©rogation devront ĂȘtre regroupĂ©s sur des journĂ©es ou demi-journĂ©es rĂ©guliĂšres ou complĂštes. Contrat de travail Ă temps partiel En application de l'article L. 3123-14 du code du travail, le contrat de travail des salariĂ©s Ă temps partiel est un contrat le cas oĂč la nature de l'activitĂ© ne permet ni de dĂ©terminer les pĂ©riodes travaillĂ©es ni la rĂ©partition de la durĂ©e du travail, le contrat de travail dĂ©finit les pĂ©riodes de l'annĂ©e Ă l'intĂ©rieur desquelles l'employeur peut faire appel au salariĂ©. Le dĂ©lai de prĂ©venance est d'au moins 7 jours. Le salariĂ© peut refuser la pĂ©riode de travail ou la rĂ©partition des horaires proposĂ©e 2 fois si elles entrent dans la durĂ©e annuelle prĂ©vue au contrat et 4 fois si elles constituent un dĂ©passement de la durĂ©e annuelle sous forme d'heures complĂ©mentaires ou le cadre de la rĂ©partition de l'horaire de travail des salariĂ©s Ă temps partiel, la durĂ©e quotidienne minimale continue de travail ne peut ĂȘtre infĂ©rieure Ă 2 heures. De plus, l'activitĂ© ne peut ĂȘtre interrompue plus de 1 fois, hors temps de pause, au cours d'une mĂȘme journĂ©e. Heures complĂ©mentaires et supplĂ©mentaires Le contrat de travail Ă temps partiel dĂ©termine les limites dans lesquelles peuvent ĂȘtre effectuĂ©es des heures complĂ©mentaires au-delĂ du temps de travail fixĂ© par le durĂ©e du travail accompli en heures complĂ©mentaires ne doit pas excĂ©der 1/3 de la durĂ©e hebdomadaire ou mensuelle dĂ©terminĂ©e heures complĂ©mentaires ne peuvent avoir pour effet de porter la durĂ©e du travail au niveau de la durĂ©e lĂ©gale du travail ou de celle fixĂ©e dans l'entreprise ou l'Ă©tablissement. Le refus d'effectuer les heures complĂ©mentaires proposĂ©es par l'employeur au-delĂ des limites fixĂ©es par le contrat ne constitue pas une faute ou un motif de licenciement. De la mĂȘme maniĂšre, le salariĂ© doit ĂȘtre informĂ© au moins 3 jours avant la date Ă laquelle les heures complĂ©mentaires sont heures complĂ©mentaires effectuĂ©es jusqu'au tiers de la durĂ©e hebdomadaire ou mensuelle sont majorĂ©es de 10 %.Les salariĂ©s Ă temps partiel annualisĂ© peuvent effectuer des heures complĂ©mentaires dans la limite de 1/3 de la durĂ©e annuelle prĂ©vue dans le contrat de travail ainsi que le cas Ă©chĂ©ant des heures supplĂ©mentaires. Celles-ci sont majorĂ©es, s'imputent sur le contingent annuel d'heures complĂ©mentaires ainsi que sur le contingent annuel d'heures supplĂ©mentaires. ComplĂ©ments d'heures par avenant Les variations d'activitĂ© durant l'annĂ©e sont inhĂ©rentes aux mĂ©tiers exercĂ©s au sein de la branche et peuvent rendre nĂ©cessaire l'augmentation temporaire de la durĂ©e du travail des salariĂ©s Ă temps partiel. Ce besoin peut Ă©galement ĂȘtre liĂ© Ă la nĂ©cessitĂ© de pallier l'absence de ces raisons, il est prĂ©vu qu'un employeur puisse convenir, dans un cadre bien dĂ©fini, avec un salariĂ© travaillant Ă temps partiel d'augmenter temporairement la durĂ©e du travail fixĂ©e dans son contrat de accord doit ĂȘtre formalisĂ© par un avenant au contrat de travail du salariĂ© Ă temps partiel et qui doit prĂ©ciser le motif du recours au complĂ©ment d'heures, les dates de dĂ©but et de fin du recours, la durĂ©e du travail et sa rĂ©partition sur la pĂ©riode considĂ©rĂ©e, et la rĂ©munĂ©ration mensualisĂ©e recours Ă ce type d'avenant, qui n'a pas vocation Ă se substituer aux emplois Ă temps plein doit rester exceptionnel et concerner des situations spĂ©cifiques par exemple pĂ©riodes de formationâŠ.Les complĂ©ments d'heures seront proposĂ©s en prioritĂ© aux salariĂ©s compĂ©tents dans l'emploi Ă pourvoir qui ont manifestĂ© la volontĂ© d'augmenter temporairement leur temps de nombre maximal d'avenants pouvant ĂȘtre conclu est limitĂ© Ă 6 par an et par salariĂ© en dehors des cas de remplacement d'un salariĂ© absent nommĂ©ment heures accomplies au-delĂ de la durĂ©e dĂ©terminĂ©e par l'avenant donnent lieu Ă une majoration de salaire qui ne peut ĂȘtre infĂ©rieure Ă 25 %. Garanties collectives Les salariĂ©s Ă temps partiel bĂ©nĂ©ficient, au prorata de leur temps de travail, des mĂȘmes droits et avantages lĂ©gaux et conventionnels que ceux accordĂ©s aux salariĂ©s Ă temps bĂ©nĂ©ficient notamment de l'Ă©galitĂ© de traitement en matiĂšre d'Ă©volution de carriĂšre, de promotion, de formation professionnelle, de maintien dans l'emploi, de droit syndical. Chapitre IV Travail de nuit et travail du dimanche DĂ©finition du travail de nuit et du travailleur de nuitDĂ©finition du travail de nuit Tout travail entre 21 heures et 6 heures est considĂ©rĂ© comme travail de autre pĂ©riode de 9 heures consĂ©cutives, comprise entre 21 heures et 7 heures mais comprenant, en tout Ă©tat de cause, l'intervalle compris entre 24 heures et 5 heures, peut ĂȘtre substituĂ©e Ă la plage de nuit de 21 heures Ă 6 heures par accord d'entreprise ou d'Ă©tablissement. Ă dĂ©faut d'accord et lorsque les caractĂ©ristiques particuliĂšres de l'activitĂ© de l'entreprise le justifient, cette substitution peut ĂȘtre autorisĂ©e par l'inspecteur du travail aprĂšs consultation des dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux et avis du CSE. DĂ©finition du travailleur de nuit Le travailleur de nuit est tout salariĂ© qui â soit accomplit, au moins 2 fois par semaine, selon son horaire de travail habituel, au moins 3 heures de travail effectif durant la plage de nuit comprise entre 21 heures et 6 heures ou de celle qui lui est substituĂ©e ; â soit accomplit, sur une pĂ©riode quelconque de 12 mois consĂ©cutifs pĂ©riode dĂ©finie correspondant soit Ă l'annĂ©e civile, soit Ă la pĂ©riode de modulation, soit Ă la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence des congĂ©s payĂ©s⊠au moins 270 heures de travail effectif au cours de la plage de nuit comprise entre 21 heures et 6 heures, ou de celle qui lui est substituĂ©e. Contreparties gĂ©nĂ©rales au travail de nuit Tout salariĂ© travaillant habituellement de nuit bĂ©nĂ©ficie d'une prime indĂ©pendante du salaire, Ă©gale Ă 10 % de son taux horaire pour chaque heure de travail effectif situĂ©e au cours de la plage de nuit comprise entre 21 heures et 6 heures ou de celle qui lui est salariĂ© sĂ©dentaire, Ă l'exclusion du personnel de roulage, travaillant exceptionnellement de nuit bĂ©nĂ©ficie d'une prime, indĂ©pendante du salaire, Ă©gale Ă 25 % de son taux horaire pour chaque heure de travail effectif situĂ©e au cours de la plage de nuit comprise entre 21 heures et 6 heures ou de celle qui lui est les majorations prĂ©vues ci-dessus, tout salariĂ© effectuant au moins 4 heures de travail effectif au cours de la plage de nuit comprise entre 21 heures et 6 heures ou de celle qui lui est substituĂ©e bĂ©nĂ©ficie d'une indemnitĂ© de restauration d'un montant Ă©gal Ă une fois et demie le taux horaire du majorations prĂ©vues ci-dessus peuvent ĂȘtre remplacĂ©es par l'attribution d'un repos compensateur d'une durĂ©e Ă©quivalente par accord d'entreprise ou d'Ă©tablissement. Contrepartie spĂ©cifique au travailleur de nuit Les travailleurs de nuit dĂ©finis Ă l'article 67 bĂ©nĂ©ficient, outre les contreparties gĂ©nĂ©rales prĂ©vues Ă l'article 68, d'une contrepartie sous forme de repos compensateur forfaitaire de 3 jours par pĂ©riode de 12 mois consĂ©cutifs. Ce repos compensateur est attribuĂ© en fin de pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence pĂ©riode dĂ©finie correspondant soit Ă l'annĂ©e civile, soit Ă la pĂ©riode » de modulation, soit Ă la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence des congĂ©s payĂ©s⊠et est pris par journĂ©e entiĂšre au plus tard dans l'annĂ©e suivant la fin de la pĂ©riode de 12 contrepartie en temps ne se cumule pas avec toute contrepartie ayant le mĂȘme objet dĂ©terminĂ©e au niveau de l'entreprise ou de l'Ă©tablissement. DurĂ©e du travail des travailleurs de nuit Article 1 non en vigueur RemplacĂ©La durĂ©e moyenne hebdomadaire de travail effectif des travailleurs de nuit calculĂ©e sur une pĂ©riode quelconque de 12 semaines consĂ©cutives ne peut excĂ©der 42 heures.1 L'article est Ă©tendu sous rĂ©serve du respect des articles L. 3122-7 et L. 3122-18 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1DurĂ©e hebdomadaire de travail effectif des travailleurs de nuit sur 12 semaines consĂ©cutives La durĂ©e moyenne hebdomadaire de travail effectif des travailleurs de nuit calculĂ©e sur une pĂ©riode quelconque de 12 semaines consĂ©cutives ne peut excĂ©der 42 heures, conformĂ©ment aux dispositions des articles L. 3122-7 et L. 3122-18 du code du dĂ©passement de la durĂ©e maximale hebdomadaire de travail prĂ©vue Ă l'article L. 3122-7 se justifie au regard de la saisonnalitĂ© de certaines activitĂ©s, des contraintes de transport et de circulation et des contraintes de productivitĂ© notamment. Article 1 non en vigueur RemplacĂ©La durĂ©e quotidienne du travail accompli par un travailleur de nuit ne peut excĂ©der 8 heures conformĂ©ment Ă l'article L. 3122-34 du code du travail sauf dĂ©rogations prĂ©vues par ce mĂȘme article.1 L'article est Ă©tendu sous rĂ©serve que la rĂ©fĂ©rence Ă l'article L. 3122-34 du code du travail soit entendue comme la rĂ©fĂ©rence Ă l'article L. 3122-6. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1DurĂ©e quotidienne de travail La durĂ©e quotidienne du travail accompli par un travailleur de nuit ne peut excĂ©der 8 heures conformĂ©ment Ă l'article L. 3122-6 du code du travail sauf dĂ©rogations prĂ©vues par ce mĂȘme article. Garanties et protections des travailleurs de nuit Tout travailleur de nuit doit bĂ©nĂ©ficier, avant son affectation sur un poste de nuit, et Ă intervalles rĂ©guliers, d'une surveillance mĂ©dicale particuliĂšre dans les conditions dĂ©finies par voie l'Ă©tat de santĂ© du travailleur de nuit constatĂ© par le mĂ©decin du travail l'exige, le travailleur de nuit doit ĂȘtre transfĂ©rĂ© Ă titre dĂ©finitif ou temporaire sur un poste de jour correspondant Ă sa qualification et aussi comparable que possible Ă l'emploi prĂ©cĂ©demment ne peut prononcer la rupture du contrat de travail du travailleur de nuit du fait de son inaptitude au poste comportant le travail de nuit, sauf s'il justifie par Ă©crit soit de l'impossibilitĂ© pour lui de proposer un poste de reclassement au salariĂ© soit du refus de celui-ci d'accepter le poste proposĂ© dans ces conditions. Toutefois, ces dispositions s'appliquent sans prĂ©judice des rĂšgles de droit commun en matiĂšre d' travailleurs de nuit qui souhaitent occuper ou reprendre un poste de jour et le salariĂ© occupant un poste de jour qui souhaite occuper ou reprendre un poste de nuit dans l'entreprise ou l'Ă©tablissement ont prioritĂ© pour l'attribution d'un emploi ressortissant Ă leur catĂ©gorie professionnelle ou d'un emploi Ă©quivalent. L'employeur porte Ă la connaissance de ces salariĂ©s la liste des emplois disponibles travailleur de nuit peut demander son affectation sur un poste de jour s'il justifie d'obligations familiales impĂ©rieuses, telles que la garde d'un enfant ou la prise en charge d'une personne dĂ©pendante incompatibles avec le travail de nuit. De mĂȘme un salariĂ© peut refuser le passage au travail de nuit sans s'exposer Ă une sanction ou Ă un licenciement s'il justifie d'obligations familiales impĂ©rieuses, telles que la garde d'un enfant ou la prise en charge d'une personne dĂ©pendante incompatibles avec le travail de tout Ă©tat de cause, les entreprises ou Ă©tablissements seront attentives Ă faciliter l'articulation de l'activitĂ© nocturne des travailleurs de nuit avec l'exercice de responsabilitĂ©s familiales et sociales, notamment en ce qui concerne les moyens de travailleuse de nuit en Ă©tat de grossesse mĂ©dicalement constatĂ© ou ayant accouchĂ©, est affectĂ©e Ă un poste de jour â sur sa demande, pendant la durĂ©e de la grossesse et pendant la pĂ©riode du congĂ© lĂ©gal postnatal ; â sur constatation par Ă©crit du mĂ©decin du travail que le poste de nuit est incompatible avec son Ă©tat. Cette pĂ©riode peut ĂȘtre prolongĂ©e pour une durĂ©e n'excĂ©dant pas 1 mois pour les mĂȘmes raisons et dans les mĂȘmes conditions. Ce changement d'affectation ne doit entraĂźner aucune diminution de la rĂ©munĂ©ration. L'affectation dans un autre Ă©tablissement est subordonnĂ©e Ă l'accord de la salariĂ©e. Si l'employeur est dans l'impossibilitĂ© de proposer un autre emploi, il doit faire connaĂźtre par Ă©crit Ă la salariĂ©e ou au mĂ©decin du travail les motifs qui s'opposent au reclassement. Le contrat de travail de la salariĂ©e est alors suspendu jusqu'Ă la date de dĂ©but du congĂ© lĂ©gal maternitĂ© et, Ă©ventuellement, durant la pĂ©riode complĂ©mentaire qui suit la fin de ce congĂ©. Durant la pĂ©riode de suspension du contrat de travail, la salariĂ©e bĂ©nĂ©ficie d'une garantie de rĂ©munĂ©ration, composĂ©e d'une allocation journaliĂšre versĂ©e par la sĂ©curitĂ© sociale et d'un complĂ©ment de rĂ©munĂ©ration Ă la charge de l'employeur conformĂ©ment aux dispositions lĂ©gales et rĂ©glementaires en professionnelle entre les hommes et les femmesLes parties signataires de la prĂ©sente convention collective nationale rappellent leur volontĂ© de favoriser l'Ă©galitĂ© professionnelle entre les hommes et les femmes et engagent les entreprises Ă ĂȘtre vigilantes sur l'application de ce principe en matiĂšre d'embauche, de rĂ©munĂ©ration, de formation professionnelle et d'Ă©volution de carriĂšre pour les salariĂ©s occupant un poste de travail comportant du travail de professionnelle â exercice du droit syndical et exercice des mandats des institutions reprĂ©sentatives du parties signataires de la prĂ©sente convention collective nationale soulignent que la formation professionnelle doit ĂȘtre privilĂ©giĂ©e et dĂ©veloppĂ©e pour tous les salariĂ©s. Une attention particuliĂšre devra ĂȘtre portĂ©e, par consĂ©quent, aux travailleurs de nuit et aux salariĂ©s occupant un poste de travail comportant du travail de nuit afin qu'ils puissent bĂ©nĂ©ficier des actions comprises dans le plan de formation de l'entreprise, accĂ©der aux actions de formation au titre du capital de temps de formation ou Ă un congĂ© individuel de parties signataires de la prĂ©sente convention collective nationale soulignent Ă©galement que le travail de nuit ne doit pas constituer un obstacle Ă l'exercice du droit syndical et Ă l'exercice des mandats des institutions reprĂ©sentatives du personnel. Ă cet effet, les entreprises seront attentives Ă faciliter la conciliation de ces responsabilitĂ©s avec l'activitĂ© professionnelle des salariĂ©s concernĂ©s.1 L'article 71 est Ă©tendu sous rĂ©serve du respect de la jurisprudence selon laquelle un jour fĂ©riĂ© chĂŽmĂ© dans l'entreprise est traitĂ© comme un jour non ouvrable pour le calcul des congĂ©s payĂ©s, et sous rĂ©serve du respect de l'article du code du travail, qui prĂ©voit que les pĂ©riodes pendant lesquelles l'exĂ©cution du contrat de travail est suspendue pour cause d'accident du travail ou de maladie professionnelle sont dĂ©comptĂ©es comme du temps de travail effectif pour le calcul des congĂ©s payĂ©s dans la limite d'une durĂ©e ininterrompue d'un an. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1 Article 72 1 non en vigueur RemplacĂ©Les heures effectuĂ©es le dimanche sont majorĂ©es de 100 %. Toutefois, cette majoration peut ĂȘtre remplacĂ©e par l'attribution d'un repos compensateur d'une durĂ©e Ă©quivalente. Cette substitution doit ĂȘtre dĂ©cidĂ©e par voie d'accord d'entreprise ou d'Ă©tablissement.1 L'article 72 est Ă©tendu sous rĂ©serve que ses stipulations soient justifiĂ©es par une dĂ©rogation au repos hebdomadaire ou au repos dominical, telle que prĂ©vue par les articles L. 3132-4 Ă L. 3132-27-1 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1Travail du dimanche Les heures effectuĂ©es le dimanche sont majorĂ©es de 100 %. Toutefois, cette majoration peut ĂȘtre remplacĂ©e par l'attribution d'un repos compensateur d'une durĂ©e Ă©quivalente. Cette substitution doit ĂȘtre dĂ©cidĂ©e par voie d'accord d'entreprise ou d' stipulations doivent ĂȘtre justifiĂ©es par une dĂ©rogation au repos hebdomadaire ou au repos dominical, telle que prĂ©vue par les articles L. 3132-4 Ă L. 3132-27-1 du code du travail. Sous-titre II CongĂ©s payĂ©s et jours fĂ©riĂ©s Article non en vigueur RemplacĂ©Pour tout ce qui concerne les congĂ©s payĂ©s annuels, les parties signataires se rĂ©fĂšrent Ă la rĂ©glementation en vigueur art. L. 3141-1 et suivants du code du travail.La durĂ©e du congĂ© est fixĂ©e Ă 21/2 jours par mois de travail effectif pour la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence du 1er juin au 31 membre du personnel a droit Ă un congĂ© annuel dĂ©terminĂ© Ă raison de 21/2 jours ouvrables par mois de travail sans que la durĂ©e totale du congĂ© exigible puisse excĂ©der 30 jours congĂ© lĂ©gal inclut les jours de congĂ©s supplĂ©mentaires rĂ©sultant d'usages locaux ou d'accords d'entreprises et non repris dans la prĂ©sente convention la pĂ©riode de congĂ© comporte 1 ou plusieurs jours fĂ©riĂ©s tombant un jour ouvrable, ceux-ci sont assimilĂ©s Ă des jours ouvrables pour le calcul de la durĂ©e du congĂ©. Ils peuvent toutefois, Ă la demande du salariĂ©, donner droit Ă un nombre Ă©gal de jours d'absence pris en dehors de la pĂ©riode du congĂ©. Lorsqu'il s'agit de jours fĂ©riĂ©s payĂ©s, leur paiement a lieu soit en mĂȘme temps que l'indemnitĂ© de congĂ©, soit au moment de l' absences pour maladie, en une ou plusieurs fois, dans la limite d'une durĂ©e totale de 2 mois, pendant la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence pour le calcul des congĂ©s payĂ©s, sont considĂ©rĂ©es comme temps de travail CongĂ© sans soldeLes salariĂ©s ayant au moins 6 mois de prĂ©sence le 1er juin peuvent, sur leur demande, bĂ©nĂ©ficier d'un complĂ©ment de congĂ© non payĂ© jusqu'Ă concurrence de la durĂ©e normale correspondant Ă 1 an de SalariĂ©s originaires de pays Ă©trangers ou des DOM-TOMDans les entreprises occupant des travailleurs d'outre-mer ou originaires de pays Ă©trangers, des dispositions pourront intervenir, d'un commun accord entre les employeurs et les intĂ©ressĂ©s, dans le but de faciliter Ă ces derniers le dĂ©roulement normal de leur gĂ©nĂ©rales Pour tout ce qui concerne les congĂ©s payĂ©s annuels, les parties signataires se rĂ©fĂšrent Ă la rĂ©glementation en vigueur art. L. 3141-1 et suivants du code du travail.La durĂ©e du congĂ© est fixĂ©e Ă 2 jours et demi par mois de travail effectif pour la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence du 1er juin au 31 membre du personnel a droit Ă un congĂ© annuel dĂ©terminĂ© Ă raison de 2 jours et demi ouvrables par mois de travail sans que la durĂ©e totale du congĂ© exigible puisse excĂ©der 30 jours congĂ© lĂ©gal inclut les jours de congĂ©s supplĂ©mentaires rĂ©sultant d'usages locaux ou d'accords d'entreprises et non repris dans la prĂ©sente convention la pĂ©riode de congĂ© comporte un ou plusieurs jours fĂ©riĂ©s tombant un jour ouvrable, ceux-ci sont assimilĂ©s Ă des jours ouvrables pour le calcul de la durĂ©e du congĂ©. Ils peuvent toutefois, Ă la demande du salariĂ©, donner droit Ă un nombre Ă©gal de jours d'absence pris en dehors de la pĂ©riode du congĂ©. Lorsqu'il s'agit de jours fĂ©riĂ©s payĂ©s, leur paiement a lieu soit en mĂȘme temps que l'indemnitĂ© de congĂ©, soit au moment de l' est rappelĂ© qu'aux termes de la jurisprudence, 1 jour fĂ©riĂ© chĂŽmĂ© dans l'entreprise est traitĂ© comme 1 jour non ouvrable pour le calcul des congĂ©s payĂ©s, et sous rĂ©serve du respect de l'article L. 3141-5 du code du travail, qui prĂ©voit que les pĂ©riodes pendant lesquelles l'exĂ©cution du contrat de travail est suspendue pour cause d'accident du travail ou de maladie professionnelle sont dĂ©comptĂ©es comme du temps de travail effectif pour le calcul des congĂ©s payĂ©s dans la limite d'une durĂ©e ininterrompue de 1 absences pour maladie, en une ou plusieurs fois, dans la limite d'une durĂ©e totale de 2 mois, pendant la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence pour le calcul des congĂ©s payĂ©s, sont considĂ©rĂ©es comme temps de travail effectuĂ©. Date des congĂ©s et fractionnement Le plan des dĂ©parts en vacances est Ă©tabli par l'employeur aprĂšs avis, le cas Ă©chĂ©ant, du CSE, compte tenu des dĂ©sirs exprimĂ©s par les intĂ©ressĂ©s, de leur anciennetĂ© et de leur situation des dĂ©parts est communiquĂ© Ă chaque ayant droit 1 mois avant son dĂ©part et affichĂ© sur les lieux de pĂ©riode ordinaire des vacances doit dans tous les cas ĂȘtre portĂ©e par l'employeur Ă la connaissance du personnel au moins 2 mois avant l'ouverture de cette congĂ© payĂ© ne dĂ©passant pas 12 jours ouvrables doit ĂȘtre continu. Le congĂ© d'une durĂ©e supĂ©rieure Ă 12 jours ouvrables peut ĂȘtre fractionnĂ© par l'employeur avec l'agrĂ©ment du salariĂ©. Dans ce cas, une fraction doit ĂȘtre au moins de 12 jours ouvrables continus, compris entre 2 jours de repos hebdomadaires et situĂ©s, sauf accord individuel ou collectif contraire, pendant la pĂ©riode du 1er mai au 31 jours restant dus peuvent ĂȘtre accordĂ©s en une ou plusieurs fois en dehors de cette pĂ©riode. Sauf dĂ©rogation rĂ©sultant d'un accord individuel du salariĂ© ou d'un accord collectif d'Ă©tablissement, il est attribuĂ© 2 jours ouvrables de congĂ© supplĂ©mentaire lorsque le nombre de jours de congĂ© pris en dehors de cette pĂ©riode est au moins Ă©gal Ă 6 jours et un seul lorsqu'il est compris entre 3 jours et 5 toute la mesure du possible, le congĂ© est attribuĂ© de façon continue ; toutefois, en raison des caractĂ©ristiques de l'industrie et des commerces en gros des viandes, la 4e semaine de congĂ© annuel peut ĂȘtre attribuĂ©e, avec l'agrĂ©ment du salariĂ©, Ă une Ă©poque diffĂ©rente de celle du congĂ© principal et en dehors de la pĂ©riode lĂ©gale de congĂ©s payĂ©s. Sauf accord individuel ou collectif contraire, ce fractionnement emporte attribution de jours supplĂ©mentaires dans les limites indiquĂ©es Ă l'alinĂ©a dĂ©rogation particuliĂšre, la 5e semaine de congĂ©s payĂ©s doit ĂȘtre accordĂ©e en une seule fois et se situer en dehors de la pĂ©riode lĂ©gale 1er mai â 31 octobre, Ă une date compatible avec les besoins de la production et les nĂ©cessitĂ©s commerciales. Elle ne peut ĂȘtre accolĂ©e au congĂ© principal. Elle ne donne pas droit Ă jour supplĂ©mentaire pour fractionnement. Calcul de l'indemnitĂ© de congĂ©s payĂ©s L'indemnitĂ© de congĂ© est calculĂ©e sur la rĂ©munĂ©ration totale perçue par le salariĂ© pendant la pĂ©riode prise en considĂ©ration pour l'apprĂ©ciation de la durĂ©e de son rĂ©munĂ©ration totale, on doit entendre le salaire brut proprement dit auquel s'ajoutent, le cas Ă©chĂ©ant, la rĂ©munĂ©ration correspondant aux heures supplĂ©mentaires normalement effectuĂ©es ainsi que les primes ayant le caractĂšre d'un complĂ©ment de salaire et prĂ©sentant un caractĂšre de gĂ©nĂ©ralitĂ©, de constance et de sont pas, en revanche, Ă prendre en considĂ©ration les primes et gratifications bĂ©nĂ©voles, les primes qui compensent un risque exceptionnel, les primes et les gratifications qui ne sont pas affectĂ©es par la prise du congĂ© sont Ă©galement Ă exclure de l'assiette de la rĂ©munĂ©ration versĂ©e ci-dessus, les primes et indemnitĂ©s ayant le caractĂšre de remboursement de de congĂ© est Ă©gale au 1/10 de la rĂ©munĂ©ration ainsi dĂ©finie sans pouvoir ĂȘtre infĂ©rieure Ă la rĂ©munĂ©ration qu'aurait perçue l'intĂ©ressĂ© pendant sa pĂ©riode de congĂ©, s'il avait continuĂ© Ă travailler. Article 74 1 non en vigueur RemplacĂ©Le chĂŽmage des jours lĂ©galement fĂ©riĂ©s ne peut ĂȘtre la cause d'une rĂ©duction de la rĂ©munĂ©ration, sous rĂ©serve, pour chaque intĂ©ressĂ© de totaliser au moins 3 mois d'anciennetĂ© dans l'entreprise ou l' rĂ©munĂ©ration Ă©tant maintenue intĂ©gralement, le dĂ©compte des heures supplĂ©mentaires travaillĂ©es durant la semaine comprenant le jour fĂ©riĂ© sera effectuĂ© comme si le jour fĂ©riĂ© avait Ă©tĂ© normalement dĂ©cision de faire travailler un jour fĂ©riĂ© n'est prise par la direction de l'entreprise ou de l'Ă©tablissement qu'aprĂšs consultation du salariĂ©s qui sont occupĂ©s un jour fĂ©riĂ© ont droit, en plus du salaire normal affĂ©rent Ă cette journĂ©e, Ă une indemnitĂ© de 100 % pour chaque heure travaillĂ©e. Toutefois, cette indemnitĂ© peut ĂȘtre, sauf pour le 1er Mai, remplacĂ©e par l'attribution d'un congĂ© d'une durĂ©e Ă©quivalente. Le CSE est obligatoirement consultĂ© sur le choix de l'une ou l'autre particuliĂšres aux jeunesEn application de l'article L. 3164-6 du code du travail, les jeunes travailleurs, c'est-Ă -dire les salariĂ©s ĂągĂ©s de moins de 18 ans ou les stagiaires ĂągĂ©s de moins de 18 ans qui accomplissent des stages d'initiation ou d'application en milieu professionnel dans le cadre d'un enseignement alternĂ© ou du dĂ©roulement de leur scolaritĂ© ne peuvent travailler les jours de fĂȘte reconnus par la loi, sauf dĂ©rogation expressĂ©ment prĂ©vue.1 L'article 74 est Ă©tendu sous rĂ©serve du respect de l'article du code du travail qui prĂ©voit qu'un accord d'entreprise ou d'Ă©tablissement, ou Ă dĂ©faut un accord de branche dĂ©finit les jours fĂ©riĂ©s chĂŽmĂ©s, et de l'article du mĂȘme code qui prĂ©voit que l'employeur fixe les jours fĂ©riĂ©s chĂŽmĂ©s uniquement Ă dĂ©faut d'accord. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1Jours fĂ©riĂ©s ConformĂ©ment aux dispositions des articles L. 3133-3-1 et L. 3133-3-2 du code du travail, Ă dĂ©faut d'accord collectif dĂ©finissant les jours fĂ©riĂ©s chĂŽmĂ©s, l'employeur fixe les jours fĂ©riĂ©s chĂŽmĂ©s, aprĂšs le cas Ă©chĂ©ant, consultation du chĂŽmage des jours lĂ©galement fĂ©riĂ©s ne peut ĂȘtre la cause d'une rĂ©duction de la rĂ©munĂ©ration, sous rĂ©serve, pour chaque intĂ©ressĂ© de totaliser au moins 3 mois d'anciennetĂ© dans l'entreprise ou l' rĂ©munĂ©ration Ă©tant maintenue intĂ©gralement, le dĂ©compte des heures supplĂ©mentaires travaillĂ©es durant la semaine comprenant le jour fĂ©riĂ© sera effectuĂ© comme si le jour fĂ©riĂ© avait Ă©tĂ© normalement salariĂ©s qui sont occupĂ©s un jour fĂ©riĂ© ont droit, en plus du salaire normal affĂ©rent Ă cette journĂ©e, Ă une indemnitĂ© de 100 % pour chaque heure travaillĂ©e. Toutefois, cette indemnitĂ© peut ĂȘtre, sauf pour le 1er Mai, remplacĂ©e par l'attribution d'un repos d'une durĂ©e Ă©quivalente. Le CSE est obligatoirement consultĂ© sur le choix de l'une ou l'autre particuliĂšres aux jeunesEn application de l'article L. 3164-6 du code du travail, les jeunes travailleurs, c'est-Ă -dire les salariĂ©s ĂągĂ©s de moins de 18 ans ou les stagiaires ĂągĂ©s de moins de 18 ans qui accomplissent des stages d'initiation ou d'application en milieu professionnel dans le cadre d'un enseignement alternĂ© ou du dĂ©roulement de leur scolaritĂ© ne peuvent travailler les jours de fĂȘte reconnus par la loi, sauf dĂ©rogation expressĂ©ment prĂ©vue.1 Article Ă©tendu sous rĂ©serve qu'un accord d'entreprise prĂ©cise l'impact, sur la rĂ©munĂ©ration des salariĂ©s, des absences, arrivĂ©es et dĂ©parts en cours de pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence, conformĂ©ment au 4° du I du l'article L. 3121-64 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 23 mai 2022 - art. 1 Titre VI Formation professionnelle Organisation de la formation professionnelle La politique de formation de la branche et les outils permettant sa mise en Ćuvre sont dĂ©finis dans le cadre du dialogue social organisĂ© au plan national Ă travers ses diffĂ©rentes instances paritaires la CPPNI et la commission paritaire nationale de l'emploi et de la formation ce cadre, les organisations signataires souscrivent aux politiques de formation professionnelle continue dĂ©finies par les accords nationaux interprofessionnels et les accords interbranches conclus dans le pĂ©rimĂštre du secteur compte tenu de l'importance que revĂȘt la formation professionnelle, et des Ă©volutions lĂ©gislatives et rĂ©glementaires rĂ©guliĂšres, les parties signataires confirment leur attachement au dialogue social au sein de la branche et Ă la nĂ©gociation d'accords accords de branche doivent permettre d'enrichir et de complĂ©ter les dispositions prĂ©vues par les accords nationaux interprofessionnels et les accords interbranches du secteur alimentaire. Parcours professionnels L'Ă©volution professionnelle et l'employabilitĂ© des salariĂ©s des entreprises des industries et commerces en gros des viandes sont une prioritĂ© des organisations signataires de la prĂ©sente convention des salariĂ©s, et plus particuliĂšrement les opĂ©rateurs de production, doivent pouvoir bĂ©nĂ©ficier de parcours d'Ă©volution professionnelle bĂątis sur plusieurs dispositifs de formation â la formation permettant l'acquisition des compĂ©tences de base requises par le mĂ©tier visĂ©. Pour ce faire, les parties signataires rĂ©affirment leur volontĂ© de dĂ©velopper la mise en Ćuvre de formations d'intĂ©gration en alternance apprentissage et contrat de professionnalisation proposĂ©s par les organismes et centres de formation relevant du secteur alimentaire ; â la formation professionnelle continue, qui doit participer au dĂ©veloppement des compĂ©tences des salariĂ©s et Ă leur Ă©volution professionnelle vers la polyvalence et l'expertise notamment ; â la certification l'accĂšs aux diplĂŽmes et titres Ă finalitĂ© professionnelle, et tout particuliĂšrement les certificats de qualification professionnelle CQP. Les organisations signataires soulignent leur volontĂ© de pouvoir proposer une certification inscrite au rĂ©pertoire national des certifications professionnelles au plus grand nombre de salariĂ©s, notamment Ă ceux qui ne disposent ni de diplĂŽme, ni de qualification au moment de leur entrĂ©e dans une entreprise de la branche. L'ensemble de ces certifications est accessible via la validation des acquis de l' transmission intergĂ©nĂ©rationnelle des compĂ©tences, par le biais notamment du tutorat et de la formation interne, est une des prioritĂ©s des organisations signataires de la prĂ©sente convention collective. Perfectionnement professionnel des cadres Des facilitĂ©s seront accordĂ©es dans toute la mesure du possible aux cadres pour leur permettre de mettre Ă jour leurs connaissances et se perfectionner dans leur spĂ©cialitĂ© en assistant aux stages organisĂ©s par les Ă©tablissements, instituts, centres d'Ă©tudes, de perfectionnement technique, Ă©conomique ou social, lĂ©galement employeurs mettront Ă la disposition des cadres, notamment par la communication de documents ou de publications pĂ©riodiques, les moyens matĂ©riels qui leur sont nĂ©cessaires pour s'entretenir et se perfectionner dans la pratique de leur mĂ©tier. Titre VII Emploi, salaire et Ă©galitĂ© de traitement Classifications des emplois et qualifications Les entreprises des industries et commerces en gros des viandes connaissent rĂ©guliĂšrement des mutations dans leurs organisations, leurs mĂ©tiers et leurs outils de mutations, consĂ©quences des Ă©volutions technologiques, lĂ©gislatives et rĂ©glementaires, induisent des changements rĂ©guliers dans les emplois, classifications et qualifications des salariĂ©s de la maniĂšre Ă bĂ©nĂ©ficier d'un systĂšme adaptable, Ă©volutif et souple, la classification des emplois et les qualifications professionnelles de la branche sont dĂ©finies par un accord collectif figurant en annexe Ă la prĂ©sente convention tout Ă©tat de cause, le dispositif de classification repose sur deux composantes essentielles â les niveaux chaque emploi, analysĂ© Ă partir de critĂšres gĂ©nĂ©raux, est positionnĂ© sur un niveau ; â les Ă©chelons la classification par niveau est complĂ©tĂ©e et prĂ©cisĂ©e Ă l'aide d'Ă©chelons dont les critĂšres objectifs sont choisis par l'entreprise. Salaires Le salaire de base mensuel minimum se dĂ©finit comme le produit du taux horaire contractuel par 151,67 heures de travail effectif ou aux dispositions de l'article L. 2253-1 du code du travail, aucun salaire de base ne peut ĂȘtre infĂ©rieur aux montants des salaires dĂ©finis chaque annĂ©e dans la convention collective nationale, qui excluent donc tout autre Ă©lĂ©ment de rĂ©munĂ©ration pauses, habillage, douche, primes diversesâŠ.La prime de fin d'annĂ©e doit faire l'objet d'une ligne distincte sur le bulletin de consĂ©quence, aucun salariĂ© ne pourra ĂȘtre rĂ©munĂ©rĂ© en deçà du salaire de base horaire minimum conventionnel correspondant Ă son niveau et Ă©chelon et en tout Ă©tat de cause en deçà du salaire horaire minimum lĂ©gal Smic.Tout salariĂ© bĂ©nĂ©ficiant d'une rĂ©munĂ©ration variable doit pouvoir en vĂ©rifier le aux dispositions lĂ©gales, les organisations liĂ©es par la prĂ©sente convention collective se rĂ©unissent au moins 1 fois par an pour nĂ©gocier les salaires. Cette nĂ©gociation porte sur le salaire de base mensuel minimum applicable pour chaque niveau et grille du salaire de base mensuel minimum ainsi Ă©tablie fait l'objet d'un accord annexĂ© Ă la convention collective. Article 80 1 non en vigueur RemplacĂ©L'Ă©galitĂ© entre les hommes et les femmes et, plus gĂ©nĂ©ralement, l'Ă©galitĂ© de traitement entre les salariĂ©s constitue un principe fondamental qui s'impose dans toutes les dimensions de la vie de l'entreprise et du dialogue veillera en consĂ©quence Ă garantir le respect de ce principe tout particuliĂšrement en matiĂšre de recrutement et de rĂ©munĂ©ration Ă compĂ©tences et fonction identiques, puis en matiĂšre de formation et de promotion principe d'Ă©galitĂ© de traitement implique par ailleurs l'absence de toute et conformĂ©ment Ă l'article L. 1132-1 du code du travail, aucune personne ne peut ĂȘtre Ă©cartĂ©e d'une procĂ©dure de recrutement ou de l'accĂšs Ă un stage ou Ă une pĂ©riode de formation en entreprise, aucun salariĂ© ne peut ĂȘtre sanctionnĂ©, licenciĂ© ou faire l'objet d'une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, notamment en matiĂšre de rĂ©munĂ©ration, de mesures d'intĂ©ressement ou de distribution d'actions, de formation, de reclassement, d'affectation, de qualification, de classification, de promotion professionnelle, de mutation ou de renouvellement de contrat en raison de son origine, de son sexe, de ses mĆurs, de son orientation sexuelle ou identitĂ© de genre, de son Ăąge, de sa situation de famille ou de sa grossesse, de ses caractĂ©ristiques gĂ©nĂ©tiques, de la particuliĂšre vulnĂ©rabilitĂ© rĂ©sultant de sa situation Ă©conomique, apparente ou connue de son auteur, de son appartenance ou de sa non-appartenance, vraie ou supposĂ©e, Ă une ethnie, une nation ou une origine, de ses opinions politiques, de ses activitĂ©s syndicales ou mutualistes, de ses convictions religieuses, de son apparence physique, de son nom de famille, de son lieu de rĂ©sidence ou de sa domiciliation bancaire, ou en raison de son Ă©tat de santĂ©, de sa perte d'autonomie ou de son handicap, de sa capacitĂ© Ă s'exprimer dans une langue autre que le dĂ©clinaison du principe d'Ă©galitĂ© entre les hommes et les femmes et de l'Ă©galitĂ© de traitement se fera au travers des accords de branche spĂ©cifiques ou gĂ©nĂ©raux intĂ©grant cette cet Ă©gard, il est rappelĂ© que conformĂ©ment aux dispositions lĂ©gales, les organisations liĂ©es par la prĂ©sente convention collective doivent se rĂ©unir tous les 3 ans pour nĂ©gocier sur les mesures tendant Ă assurer l'Ă©galitĂ© professionnelle entre les femmes et les hommes et sur les mesures de rattrapage tendant Ă remĂ©dier aux inĂ©galitĂ©s constatĂ©es, et assurer un suivi rĂ©gulier des accords conclus en la matiĂšre.1 L'article 80 est Ă©tendu sous rĂ©serve de l'application des dispositions de l'article L. 2241-1 du code du travail qui imposent aux organisations liĂ©es par une convention de branche, de nĂ©gocier au moins une fois tous les quatre ans sur les mesures tendant Ă assurer l'Ă©galitĂ© professionnelle entre le hommes et les femmes et des dispositions des articles L. 2241-11 et D. 2241-2 du code du travail qui prĂ©voient la nĂ©cessitĂ© d'Ă©tablir, au niveau de la branche et Ă dĂ©faut d'accord prĂ©cisant le calendrier, la pĂ©riodicitĂ©, les thĂšmes et les modalitĂ©s de nĂ©gociation, et en prĂ©paration de la nĂ©gociation sur l'Ă©galitĂ© professionnelle, Ă la fois, un rapport prĂ©sentant la situation comparĂ©e des femmes et des hommes et un diagnostic des Ă©carts Ă©ventuels de rĂ©munĂ©ration. Ces Ă©lĂ©ments doivent ĂȘtre Ă©tablis prĂ©alablement Ă toute nĂ©gociation sur l'Ă©galitĂ© professionnelle. ArrĂȘtĂ© du 6 novembre 2020 - art. 1ĂgalitĂ© de traitement Ces stipulations s'entendent en application des dispositions de l'article L. 2241-1 du code du travail qui imposent aux organisations liĂ©es par une convention de branche, de nĂ©gocier au moins une fois tous 4 ans sur les mesures tendant Ă assurer l'Ă©galitĂ© professionnelle entre les hommes et les femmes et des dispositions des articles L. 2241-11 et D. 2241-2 du code du travail qui prĂ©voient la nĂ©cessitĂ© d'Ă©tablir, au niveau de la branche et Ă dĂ©faut d'accord prĂ©cisant le calendrier, la pĂ©riodicitĂ©, les thĂšmes et les modalitĂ©s de nĂ©gociation, et en prĂ©paration de la nĂ©gociation sur l'Ă©galitĂ© professionnelle, Ă la fois, un rapport prĂ©sentant la situation comparĂ©e des femmes et des hommes et un diagnostic des Ă©carts Ă©ventuels de rĂ©munĂ©ration. Ces Ă©lĂ©ments doivent ĂȘtre Ă©tablis prĂ©alablement Ă toute nĂ©gociation sur l'Ă©galitĂ© professionnelle. L'Ă©galitĂ© entre les hommes et les femmes et, plus gĂ©nĂ©ralement, l'Ă©galitĂ© de traitement entre les salariĂ©s constitue un principe fondamental qui s'impose dans toutes les dimensions de la vie de l'entreprise et du dialogue social. L'employeur veillera en consĂ©quence Ă garantir le respect de ce principe tout particuliĂšrement en matiĂšre de recrutement et de rĂ©munĂ©ration Ă compĂ©tences et fonction identiques, puis en matiĂšre de formation et de promotion professionnelle. Le principe d'Ă©galitĂ© de traitement implique par ailleurs l'absence de toute discrimination. Ainsi, et conformĂ©ment Ă l'article L. 1132-1 du code du travail, aucune personne ne peut ĂȘtre Ă©cartĂ©e d'une procĂ©dure de recrutement ou de l'accĂšs Ă un stage ou Ă une pĂ©riode de formation en entreprise, aucun salariĂ© ne peut ĂȘtre sanctionnĂ©, licenciĂ© ou faire l'objet d'une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, notamment en matiĂšre de rĂ©munĂ©ration, de mesures d'intĂ©ressement ou de distribution d'actions, de formation, de reclassement, d'affectation, de qualification, de classification, de promotion professionnelle, de mutation ou de renouvellement de contrat en raison de son origine, de son sexe, de ses mĆurs, de son orientation sexuelle ou identitĂ© de genre, de son Ăąge, de sa situation de famille ou de sa grossesse, de ses caractĂ©ristiques gĂ©nĂ©tiques, de la particuliĂšre vulnĂ©rabilitĂ© rĂ©sultant de sa situation Ă©conomique, apparente ou connue de son auteur, de son appartenance ou de sa non-appartenance, vraie ou supposĂ©e, Ă une ethnie, une nation ou une origine, de ses opinions politiques, de ses activitĂ©s syndicales ou mutualistes, de ses convictions religieuses, de son apparence physique, de son nom de famille, de son lieu de rĂ©sidence ou de sa domiciliation bancaire, ou en raison de son Ă©tat de santĂ©, de sa perte d'autonomie ou de son handicap, de sa capacitĂ© Ă s'exprimer dans une langue autre que le français. 1La dĂ©clinaison du principe d'Ă©galitĂ© entre les hommes et les femmes et de l'Ă©galitĂ© de traitement se fera au travers des accords de branche spĂ©cifiques ou gĂ©nĂ©raux intĂ©grant cette dimension.1 AlinĂ©a Ă©tendu sous rĂ©serve du respect de l'article L. 1132-1 du code du travail, modifiĂ© par la loi n° 2019-1461 du 27 dĂ©cembre 2019. ArrĂȘtĂ© du 23 mai 2022 - art. 1 EntrĂ©e en vigueur Le prĂ©sent avenant de rĂ©vision est conclu pour une durĂ©e indĂ©terminĂ©e Ă compter de sa date d'entrĂ©e en vigueur au 1er jour du mois suivant son arrĂȘtĂ© d'extension. Le prĂ©sent accord sera adressĂ©, Ă l'issue du dĂ©lai d'opposition de 15 jours, au ministĂšre en vue de son extension, en 2 exemplaires dont un sur support papier et l'autre sur support Ă©lectronique, ainsi qu'au conseil de prud'hommes de Paris, selon les dispositions de l'article D. 2231-2 du code du travail. Les parties signataires du prĂ©sent accord conviennent que culture viande sera chargĂ© de ces formalitĂ©s de dĂ©pĂŽt et de demande d'extension.
Laprésente convention a pour objet le maintien de rapports harmonieux et mutuellement avantageux entre l'Employeur, les employés et l'Institut, l'établissement de certaines conditions d'emploi concernant la rémunération, la durée du travail, les avantages sociaux et les conditions de travail générales des employés assujettis à la présente convention.
Juste aprĂšs lâarrĂȘt du contraceptif oral, il peut en effet ne pas y avoir dâovulation, ou alors lâovulation est de mauvaise qualitĂ©. LâĆuf risque donc dâĂȘtre Ă©liminĂ© de maniĂšre naturelle. Comptez un dĂ©lai moyen de sept mois Ă un an pour constater une grossesse aprĂšs lâarrĂȘt de votre pilule. Contents1 Comment tomber enceinte rapidement aprĂšs lâarrĂȘt de la pilule?2 Quel dĂ©lai pour tomber enceinte aprĂšs arrĂȘt pilule?3 Est-il possible de tomber enceinte juste aprĂšs arrĂȘt pilule?4 Pourquoi ça prend du temps pour tomber enceinte?5 Comment calculer son ovulation aprĂšs arrĂȘt de la pilule?6 Est-ce que faire pipi aprĂšs lâamour empĂȘche dâĂȘtre enceinte?7 Comment connaĂźtre la durĂ©e de son cycle aprĂšs lâarrĂȘt de la pillule?8 Quels symptĂŽmes quand on tombe enceinte sous pilule?9 Quand faire lâamour quand on prend la pilule?10 Quelle est la durĂ©e moyenne pour tomber enceinte?11 Quels effets aprĂšs arrĂȘt pilule?12 Quel est la quantitĂ© de sperm pour tomber enceinte?13 Comment tomber enceinte le plus rapidement possible?14 Quel sont les chances de tomber enceinte pendant lâovulation? On peut ĂȘtre enceinte dĂšs le cycle menstruel qui suit lâ arrĂȘt de la pilule. En effet, dĂ©gagĂ©e de tout contraceptif hormonal, lâovulation peut Ă nouveau reprendre. Parfois avec caprice et irrĂ©gularitĂ©, mĂȘme si cela est rare 2 % des cas environ. La plupart du temps, le cycle se remet en place dĂšs lâ arrĂȘt de la pilule. Quel dĂ©lai pour tomber enceinte aprĂšs arrĂȘt pilule? En cas de projet parental, elles souhaitent savoir combien de temps elles devront attendre aprĂšs lâ arrĂȘt du moyen de contraception avant de tomber enceinte. Avec ou sans moyen de contraception au prĂ©alable, il faut en moyenne une durĂ©e de sept mois pour obtenir une grossesse, selon les donnĂ©es de lâINED. Est-il possible de tomber enceinte juste aprĂšs arrĂȘt pilule? Puis-je tomber enceinte juste aprĂšs lâ arrĂȘt de ma pilule? Dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale oui. Sachez aussi que le vĂ©ritable cycle sâinstalle naturellement entre 3 et 6 mois aprĂšs la prise de dernier comprimĂ©. Ce dĂ©lai est rallongĂ© pour lâimplant et le stĂ©rilet. Pourquoi ça prend du temps pour tomber enceinte? Et pour quâil y ait fĂ©condation, il faut dâun cĂŽtĂ© un ovocyte, de lâautre un spermatozoĂŻde. Or cela nâarrive que quelques jours par cycle. Pour maximiser ses chances de grossesse, il est donc important de dĂ©tecter cette fenĂȘtre de fertilitĂ© », moment propice Ă la conception. La reprise de lâ ovulation peut sâeffectuer au plus tĂŽt au 7e jour du cycle suivant lâ arrĂȘt de la pilule. Elle peut reprendre seulement au bout de plusieurs semaines voire mois. âIl nây a pas de rĂšgle. Cela dĂ©pend des femmesâ insiste le Dr Elisabeth Paganelli. Est-ce que faire pipi aprĂšs lâamour empĂȘche dâĂȘtre enceinte? Bien Ă©videmment, Ă cette question, la rĂ©ponse est non. Faire pipi aprĂšs lâamour nâa rien dâune mĂ©thode contraceptive naturelle. Et ce mĂȘme si vous allez aux toilettes immĂ©diatement aprĂšs lâĂ©jaculat. Il se peut que ton corps ait besoin dâun peu plus de temps pour reprendre un rythme et des cycles naturels. Pas de panique, donc, si tes rĂšgles tardent Ă arriver dans les quelques mois qui suivent lâ arrĂȘt de la pilule. On estime quâon peut observer des rĂšgles irrĂ©guliĂšres jusquâĂ un an aprĂšs lâ arrĂȘt de la pilule. Quels symptĂŽmes quand on tombe enceinte sous pilule? Quels symptĂŽmes quand on tombe enceinte sous pilule? GĂ©nĂ©ralement, une femme enceinte sous pilule ne constate pas de saignements. Par contre, elle peut remarquer une sensibilitĂ© et une douleur des seins. Elle peut Ă©galement se sentir davantage fatiguĂ©e. Quand faire lâamour quand on prend la pilule? Si tu commences bien le premier jour de tes rĂšgles, tu es protĂ©gĂ©e dĂšs le premier jour. Si tu la commences en dehors des rĂšgles, tu ne seras protĂ©gĂ©e quâaprĂšs lâavoir prise correctement pendant 7 jours. Dans ce cas, tu dois donc utiliser un prĂ©servatif si tu as un rapport pendant les 7 premiers jours de la plaquette. Quelle est la durĂ©e moyenne pour tomber enceinte? Le dĂ©lai moyen pour tomber enceinte Selon lâInstitut national dâĂ©tudes dĂ©mographiques, ou Ined, il faudra en moyenne sept mois afin dâaboutir Ă un rĂ©sultat positif, mais pour les 25% de couples Ă fertilitĂ© moyenne, le premier mois aprĂšs lâarrĂȘt de la contraception suffira pour avoir un bĂ©bĂ©. Quels effets aprĂšs arrĂȘt pilule? Les femmes peuvent ressentir des maux de tĂȘte, des crampes abdominales, des douleurs aux seins. Et en ce qui concerne la fertilitĂ©, les hormones sont Ă©liminĂ©es trĂšs vite dans le corps aprĂšs lâ arrĂȘt. Il est donc tout Ă fait possible de tomber rapidement enceinte. Quel est la quantitĂ© de sperm pour tomber enceinte? Une Ă©jaculation en projette entre 2 et 6 millilitres. Mais, son volume dĂ©pend de lâhydratation du corps et de la frĂ©quence des rapports sexuels. Mais, la quantitĂ© nâinflue pas sur la fertilitĂ©. Si le liquide sĂ©minal est trop dense, la progression des spermatozoĂŻdes dans le vagin peut ĂȘtre altĂ©rĂ©e. Comment tomber enceinte plus rapidement? Ne pas trop attendre. Programmer les rapports au moment de lâovulation. Eliminer les facteurs nuisibles Ă la fertilitĂ© Avoir une alimentation Ă©quilibrĂ©e. Faire lâamour dans la bonne position. Avoir un orgasme. Quel sont les chances de tomber enceinte pendant lâovulation? Il convient de noter que chaque cycle dâ ovulation nâa que 20% de chances de dĂ©boucher sur une grossesse. LâĂąge est Ă©galement une donnĂ©e importante pour dĂ©terminer la fĂ©conditĂ©. JusquâĂ 30 ans, la fertilitĂ© de la femme est maximale. Puis elle dĂ©croĂźt, et ce phĂ©nomĂšne sâaccentue Ă partir de 35 ans.
Ilpeut aussi ĂȘtre condamnĂ© Ă une amende de 750 euros pour les personnes physiques et 3 750 euros pour les personnes morales. Les points de vigilance Ă connaĂźtre pour lâemployeur En plus des obligations lĂ©gales Ă respecter pour lâemployeur lors de la dĂ©mission dâun salariĂ©, il faut aussi vĂ©rifier quelques Ă©lĂ©ments avant son dĂ©part.
Math64 Le 28-12-2021 Ă 0041 + 1000 messages Bonjour, Fort heureusement, en France, une femme a le droit de concevoir un enfant avec qui elle veut et quand elle veut sas que son employeur nâai de mot Ă dire sauf si câest son conjoint ! Il n'existe aucune obligation d'en informer l'employeur qui n'est absolument pas partie de cette dĂ©cision. Pour ce qui est de l'annonce, l'usage veut qu'on attende 3 mois afin de s'assurer de la viabilitĂ© de la grossesse. La pratique veut souvent que la salariĂ©e attende la fin de sa pĂ©riode d'essai, si celle-ci est longue, avant de concevoir son enfant mais rien d'obligatoire. RĂ©pondre Signaler ce contenu Visiteur Nicky02838 Le 28-12-2021 Ă 0425 J'ai oubliĂ© de prĂ©ciser que je suis du QuĂ©bec. Ils ne peuvent donc pas me mettre dehors si je comprends bien? Signaler ce contenu Visiteur Nicky02838 Le 28-12-2021 Ă 0429Noemie Tu va recevoir un code pajeemploi, ou la tu va devoir dĂ©clarĂ© ta nounou tout les mois et suivants le montant ta caf va te verser mais un conseil si tu es perdu, va voir un relais d'assistante maternelle, moi c'est se que j'ai fait et En cas de projet parental, elles souhaitent savoir combien de temps elles devront attendre aprĂšs lâarrĂȘt du moyen de contraception avant de tomber enceinte. Avec ou sans moyen de contraception au prĂ©alable, il faut en moyenne une durĂ©e de sept mois pour obtenir une grossesse, selon les donnĂ©es de lâINED. Contents1 Comment tomber enceinte rapidement aprĂšs lâarrĂȘt de la pilule?2 Est-il possible de tomber enceinte juste aprĂšs arrĂȘt pilule?3 Quand on arrĂȘte la pilule combien de temps pour tomber enceinte?4 Quand reviennent les rĂšgles aprĂšs lâarrĂȘt de la pilule?5 Pourquoi ça prend du temps pour tomber enceinte?6 Comment calculer son ovulation aprĂšs arrĂȘt de la pilule?7 Quand faire lâamour quand on prend la pilule?8 Quels symptĂŽmes quand on tombe enceinte sous pilule?9 Quelle est la durĂ©e moyenne pour tomber enceinte?10 Est-ce que faire pipi aprĂšs lâamour empĂȘche dâĂȘtre enceinte?11 Quel symptĂŽme quand la pilule ne convient plus?12 Quels sont les effets quand on arrĂȘte la pilule?13 Pourquoi pas de rĂšgles aprĂšs arrĂȘt pilule?14 Est-ce que la pilule peut arrĂȘter les rĂšgles?15 Quand A-t-on ses rĂšgles quand on prend la pilule? On peut ĂȘtre enceinte dĂšs le cycle menstruel qui suit lâ arrĂȘt de la pilule. En effet, dĂ©gagĂ©e de tout contraceptif hormonal, lâovulation peut Ă nouveau reprendre. Parfois avec caprice et irrĂ©gularitĂ©, mĂȘme si cela est rare 2 % des cas environ. La plupart du temps, le cycle se remet en place dĂšs lâ arrĂȘt de la pilule. Est-il possible de tomber enceinte juste aprĂšs arrĂȘt pilule? Puis-je tomber enceinte juste aprĂšs lâ arrĂȘt de ma pilule? Dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale oui. Sachez aussi que le vĂ©ritable cycle sâinstalle naturellement entre 3 et 6 mois aprĂšs la prise de dernier comprimĂ©. Ce dĂ©lai est rallongĂ© pour lâimplant et le stĂ©rilet. Quand on arrĂȘte la pilule combien de temps pour tomber enceinte? En gĂ©nĂ©ral, sept jours aprĂšs lâ arrĂȘt de votre pilule, une ovulation peut se produire. Mais certains mĂ©decins conseillent dâattendre deux cycles avant dâenvisager une grossesse. Quand reviennent les rĂšgles aprĂšs lâarrĂȘt de la pilule? Petit Ă petit la production naturelle dâhormones va reprendre le dessus et ton cycle naturel va se remettre en place. Il est donc raisonnable dâestimer au deuxiĂšme ou troisiĂšme mois environ tes premiĂšres rĂšgles aprĂšs lâarrĂȘt de la pilule. Pourquoi ça prend du temps pour tomber enceinte? Et pour quâil y ait fĂ©condation, il faut dâun cĂŽtĂ© un ovocyte, de lâautre un spermatozoĂŻde. Or cela nâarrive que quelques jours par cycle. Pour maximiser ses chances de grossesse, il est donc important de dĂ©tecter cette fenĂȘtre de fertilitĂ© », moment propice Ă la conception. Par exemple si la contraception provoquait des rĂšgles tous les 28 jours une ovulation peut se faire au 12 Ăšme jour du cycle le premier jour du cycle Ă©tant Ă©gal au premier jour des rĂšglesâ, dĂ©crit-elle. Chez certaines femmes, il faut plusieurs semaines aprĂšs lâ arrĂȘt de la pilule pour quâune ovulation ait lieu. Quand faire lâamour quand on prend la pilule? Si tu commences bien le premier jour de tes rĂšgles, tu es protĂ©gĂ©e dĂšs le premier jour. Si tu la commences en dehors des rĂšgles, tu ne seras protĂ©gĂ©e quâaprĂšs lâavoir prise correctement pendant 7 jours. Dans ce cas, tu dois donc utiliser un prĂ©servatif si tu as un rapport pendant les 7 premiers jours de la plaquette. Quels symptĂŽmes quand on tombe enceinte sous pilule? Quels symptĂŽmes quand on tombe enceinte sous pilule? GĂ©nĂ©ralement, une femme enceinte sous pilule ne constate pas de saignements. Par contre, elle peut remarquer une sensibilitĂ© et une douleur des seins. Elle peut Ă©galement se sentir davantage fatiguĂ©e. Quelle est la durĂ©e moyenne pour tomber enceinte? Le dĂ©lai moyen pour tomber enceinte Selon lâInstitut national dâĂ©tudes dĂ©mographiques, ou Ined, il faudra en moyenne sept mois afin dâaboutir Ă un rĂ©sultat positif, mais pour les 25% de couples Ă fertilitĂ© moyenne, le premier mois aprĂšs lâarrĂȘt de la contraception suffira pour avoir un bĂ©bĂ©. Est-ce que faire pipi aprĂšs lâamour empĂȘche dâĂȘtre enceinte? Bien Ă©videmment, Ă cette question, la rĂ©ponse est non. Faire pipi aprĂšs lâamour nâa rien dâune mĂ©thode contraceptive naturelle. Et ce mĂȘme si vous allez aux toilettes immĂ©diatement aprĂšs lâĂ©jaculat. Quel symptĂŽme quand la pilule ne convient plus? Saignements, migraine, prise de poids, acnĂ© intensifiĂ©e Ces effets indĂ©sirables peuvent ĂȘtre les signes dâune pilule non adaptĂ©e ou trop dosĂ©e. Quels sont les effets quand on arrĂȘte la pilule? Lâ arrĂȘt de la pilule contraceptive engendre des changements hormonaux et un retour Ă la production naturelle dâĆstrogĂšne et de progestĂ©rone. Chez certaines femmes, ce retour au naturel peut prendre plusieurs mois et modifier les cycles menstruels qui deviennent alors irrĂ©guliers. Pourquoi pas de rĂšgles aprĂšs arrĂȘt pilule? AprĂšs lâ arrĂȘt de la pilule, vous pouvez avoir une absence de rĂšgles pendant quelques mois. Si elle se prolonge au-delĂ de 4 ou 5 mois, nâhĂ©sitez pas Ă consulter un gynĂ©cologue ou une sage-femme ils pourront vous prescrire un traitement hormonal pour que tout rentre dans lâordre. Est-ce que la pilule peut arrĂȘter les rĂšgles? EnchaĂźner ses plaquettes de pilule pour ne plus avoir ses rĂšgles. Dans le cas de lâenchaĂźnement de plaquettes, prendre la pilule sur un mode continu est une solution pour sâaffranchir des rĂšgles, temporairement le temps des vacances par exemple ou Ă plus long terme. Quand A-t-on ses rĂšgles quand on prend la pilule? Les rĂšgles surviennent en gĂ©nĂ©ral dans les derniers jours de la plaquette. Si elles se dĂ©calent, il faut quand mĂȘme enchaĂźner la plaquette suivante. On est protĂ©gĂ© pendant les 7 jours dâarrĂȘt de la pilule.
Lorsquevous arrĂȘtez votre contraceptif (oral ou implant) il faudra compter entre 3 et 6 mois pour tomber enceinte. Il faut en effet laisser Ă votre corps le temps de rĂ©guler normalement vosBeaucoup de femmes se demandent aprĂšs avoir donnĂ© naissance Ă un bĂ©bĂ© si câest possible de tomber enceinte aprĂšs lâaccouchement, juste aprĂšs le retour des rĂšgles. Bien que plusieurs femmes craignent le fait de retomber enceinte rapidement suite Ă un accouchement et donner naissance Ă un deuxiĂšme enfant, on remarque que d'autres ont du mal Ă concevoir de nouveau malgrĂ© des essais rĂ©pĂ©titifs. Une grossesse peut-elle survenir directement aprĂšs un accouchement ? Quelles sont les consĂ©quences dâune telle grossesse sur la production du lait chez une femme allaitante ? Quels sont les risques dâune seconde grossesse qui survient juste aprĂšs lâaccouchement ? Quelles sont les mĂ©thodes possibles pour prĂ©venir une deuxiĂšme grossesse non planifiĂ©e ? Tomber enceinte aprĂšs lâaccouchement les probabilitĂ©s chez la femme qui allaite Plusieurs femmes allaitantes refusent de prendre des contraceptifs car elles pensent que lâallaitement provoque Ă lui seul une baisse de fertilitĂ© et que ça sera presque impossible de tomber enceinte aprĂšs lâaccouchement lorsquâon allaite. Cette idĂ©e nâest pas vraie Ă 100% parce que lâallaitement nâinhibe pas toujours lâovulation, donc câest tout Ă fait possible de concevoir de nouveau suite Ă un accouchement mĂȘme si on allaite au sein. En rĂ©alitĂ©, lâallaitement maternel peut prĂ©venir la survenue dâune grossesse indĂ©sirable seulement si certaines conditions sont respectĂ©es Ă savoir le bĂ©bĂ© est ĂągĂ© de moins de 6 mois, la femme allaite son bĂ©bĂ© jour et nuit, les rĂšgles sont encore absentes aprĂšs lâaccouchement. Selon les spĂ©cialistes de santĂ©, le nombre et la frĂ©quence des tĂ©tĂ©es favorisent ou empĂȘchent le retour du cycle chez la femme. Lâallaitement exclusif est gĂ©nĂ©ralement considĂ©rĂ© comme un moyen de contraception car lâhormone de la lactation appelĂ©e prolactine, qui est secrĂ©tĂ©e par lâorganisme de la femme allaitante, empĂȘche la sĂ©crĂ©tion des hormones qui favorisent lâovulation. Selon les statistiques, 90% des femmes qui pratiquent lâallaitement exclusif ne tombent pas enceintes durant les 6 premiers mois qui suivent lâaccouchement Ă condition que les menstruations soient toujours absentes. Une femme qui allaite son nouveau-nĂ© jour et nuit Ă sa demande et entre 6 et 7 fois par jour, aura alors un minimum de chances de tomber enceinte aprĂšs lâaccouchement. De toute façon, il est recommandĂ© de se fier Ă un moyen de contraception plus efficace que lâallaitement maternel pour empĂȘcher une grossesse si vous ne dĂ©sirez pas avoir le bonheur de tomber enceinte une seconde fois juste aprĂšs lâaccouchement. Tomber enceinte aprĂšs lâaccouchement les probabilitĂ©s chez la femme qui nâallaite pas Une femme qui nâallaite pas au sein son petit aprĂšs quâelle ait accouchĂ© sĂ©crĂšte gĂ©nĂ©ralement des hormones qui favorisent lâovulation et le retour des rĂšgles. Par consĂ©quent, elle redevient fertile dans les 4 Ă 6 semaines aprĂšs lâaccouchement et sera capable de concevoir de nouveau. En outre, il faut signaler que les femmes ne se ressemblent pas. La fertilitĂ© peut alors ne pas revenir rapidement mĂȘme si la femme nâallaite pas au sein et le temps pour tomber enceinte de nouveau peut dans des cas trĂšs rares ĂȘtre plus long. Tomber enceinte aprĂšs lâaccouchement quels sont les risques ? Si vous souhaitez faire une planification familiale et espacer les naissances, il est alors crucial de suivre certaines rĂšgles pour ne pas tomber enceinte aprĂšs lâaccouchement. La reprise des contraceptifs est fortement recommandĂ©e que ce soit pour les femmes qui allaitent au sein ou qui utilisent les prĂ©parations infantiles pour nourrir leurs bĂ©bĂ©s. Il faut toutefois choisir une mĂ©thode de contraception qui sâadapte Ă la nouvelle situation, surtout lorsque vous allaitez au sein, pour bien vous protĂ©ger. Voici certains moyens contraceptifs disponibles les pilules contraceptives, les prĂ©servatifs, le stĂ©rilet, le diaphragme. Il est Ă signaler que la pose dâun stĂ©rilet se fait 4 semaines aprĂšs lâaccouchement par voie basse et 2 mois aprĂšs lâaccouchement par cĂ©sarienne. Durant la pĂ©riode qui suit lâaccouchement, il est conseillĂ© dâemployer une autre mĂ©thode contraceptive pour minimiser les risques. Lisez aussi Comment tomber enceinte dâune fille des astuces qui marchent Quand faut-il commencer Ă utiliser les contraceptifs pour ne pas tomber enceinte aprĂšs lâaccouchement ? Bien que la prĂ©vision de la date de lâovulation reste une chose impossible, il sera mieux de commencer lâutilisation des contraceptifs dĂšs que possible. La fertilitĂ© de la femme qui nâallaite pas au sein peut revenir trĂšs tĂŽt aprĂšs lâaccouchement parce que lâovulation peut avoir lieu entre deux et trois semaines. Mais la prise des pilules contraceptives doit ĂȘtre reportĂ©e jusquâau retour des rĂšgles. Entre temps, il est recommandĂ© dâutiliser un autre moyen de contraception. Tomber enceinte aprĂšs lâaccouchement y a-t-il des risques ? Durant la pĂ©riode de grossesse, lâorganisme subit Ă©normĂ©ment de changements et de modifications qui peuvent fatiguer la future maman. Plusieurs transformations physiques et physiologiques apparaissent pendant les mois de la grossesse comme la modification du volume utĂ©rin, lâaugmentation de la rĂ©sistance Ă lâinsuline, la dilatation des uretĂšres, lâaugmentation du volume sanguin, des modifications au niveau de lâappareil respiratoire, lâaugmentation du taux de triglycĂ©rides, etc. Ces changements ne sont pas permanents et tout revient dans lâordre aprĂšs lâaccouchement mais ça demande un peu de temps. Câest pour cette raison que les spĂ©cialistes recommandent dâattendre au moins 6 mois pour tomber enceinte aprĂšs lâaccouchement. En ce qui concerne les femmes qui ont accouchĂ© par cĂ©sarienne, les experts conseillent dâattendre entre un an et un an et demi avant de tomber Ă nouveau enceintes parce que lâutĂ©rus doit se remettre avant la deuxiĂšme grossesse. Il faut aussi que la cicatrisation de lâutĂ©rus soit complĂšte avant de penser Ă concevoir. Pour les femmes allaitantes, il faut signaler que la production du lait chez la femme qui allaite peut baisser si elle tombe enceinte une deuxiĂšme fois aprĂšs un accouchement. Les hormones qui maintiennent la grossesse peuvent entrer en conflit avec la lactation et par la suite empĂȘcher la production du lait. Tomber enceinte aprĂšs lâaccouchement comment le prĂ©venir naturellement ? Si pour une raison ou une autre, vous prĂ©fĂ©rez ne pas utiliser de moyens contraceptifs alors que vous ne dĂ©sirez pas tomber enceinte aprĂšs lâaccouchement, vous devez alors prĂ©venir une Ă©ventuelle grossesse Ă lâaide de mĂ©thodes naturelles. Dans ce cas, Ă©vitez tout simplement les rapports sexuels pendant la pĂ©riode de fertilitĂ©. Vous pouvez la calculer en vous basant sur la durĂ©e de votre cycle menstruel. Sinon, demandez Ă votre conjoint dâĂ©jaculer Ă lâextĂ©rieur de votre vagin pour que son sperme nâentre pas en contact avec vos ovocytes. Tomber enceinte aprĂšs lâaccouchement avec le miracle de la grossesse Vous essayez de tomber enceinte aprĂšs lâaccouchement mais quelque chose ne va pas ? Quâest-ce qui vous empĂȘche de retomber enceinte aprĂšs le retour du cycle normal ? Est-ce que les problĂšmes dâinfertilitĂ© peuvent apparaĂźtre aprĂšs lâaccouchement ? Vous voulez dĂ©couvrir les rĂ©ponses et parvenir Ă tomber enceinte une seconde fois aprĂšs lâaccouchement ? Consultez le fameux ouvrage de Lisa Olson Le Miracle De La Grossesse » pour vous renseigner sur les mĂ©thodes qui permettent dâavoir dâautres enfants directement aprĂšs lâaccouchement. Cliquez ici pour plus de dĂ©tails sur Le Miracle De La Grossesse !
Toutefois Ă titre dĂ©rogatoire, dans les entreprises de moins de 11 salariĂ©s, en vue de favoriser l'embauche dans ces petites structures, la pĂ©riode d'essai des employĂ©s pourra ĂȘtre renouvelĂ©e, une fois, pour une durĂ©e d'au plus 2 mois (au lieu de 1 mois) ; â 1 mois de date Ă date pour la catĂ©gorie des techniciens et agents de maĂźtrise ; â 2 mois de date Ă date pour la
Les congĂ©s pour Ă©vĂ©nements familiaux - GĂ©rer le personnel - Editions Tissot -p-GĂ©rer le personnelRĂ©fĂ©rence absences exceptionnelles de courte durĂ©e, rĂ©munĂ©rĂ©es par l'employeur, sont autorisĂ©es Ă l'occasion d'Ă©vĂšnements familiaux tels qu'un mariage, une naissance ou un dĂ©cĂšs. D'autres, plus longues, prĂ©vues en cas de naissance ou d'adoption, entraĂźnent une suspension du contrat qui s'accompagne d'une interruption du versement du sont les droits des salariĂ©s en congĂ© pour Ă©vĂšnements familiaux ? Que devez-vous savoir pour gĂ©rer au mieux ces demandes de congĂ© ?La bonne mĂ©thodeCas 1 - GĂ©rer les congĂ©s pour Ă©vĂšnements familiaux de courte durĂ©eLes congĂ©s pour Ă©vĂšnements familiaux sont des absences autorisĂ©es rĂ©munĂ©rĂ©es, mais soumises au respect de certaines que votre salariĂ© remplit les conditionsTout salariĂ© peut en bĂ©nĂ©ficier quels que soient son anciennetĂ© et l'effectif de l' tous les cas, le salariĂ© doit adresser Ă l'employeur une demande de congĂ©s, avec justification de l'Ă©vĂ©nement certificat de naissance, de dĂ©cĂšs, etc..VĂ©rifiez que le congĂ© est pris dans un dĂ©lai raisonnable Le congĂ© peut ĂȘtre pris le jour oĂč l'Ă©vĂ©nement survient ou dans un dĂ©lai raisonnable avant ou aprĂšs l' cas de mariage d'un enfant, le congĂ© peut ĂȘtre pris le jour du mariage, mais aussi la veille ou le le salariĂ© est absent de l'entreprise le jour de l'Ă©vĂ©nement pour une autre raison congĂ©s payĂ©s, maladie, etc., il ne peut pas prendre ces jours de congĂ© Ă son retour dans l' est en congĂ©s payĂ©s au moment de son mariage, l'employeur peut refuser de lui accorder les 4 jours de congĂ©s lĂ©gaux pour mariage. En revanche, il peut y prĂ©tendre s'il pose ses congĂ©s payĂ©s juste avant ou juste aprĂšs les 4 s'agit d'un dĂ©cĂšs, les rĂšgles sont les mĂȘmes le congĂ© ne peut pas ĂȘtre pris si le dĂ©cĂšs intervient pendant des congĂ©s payĂ©s, sauf accord de l' rĂšgle s'applique Ă©galement dans le cas oĂč l'Ă©vĂ©nement interviendrait lors de prise de jours de rĂ©duction du temps de travail RTT ou de jours de rĂ©cupĂ©ration et non de congĂ©s le congĂ© de deuil de 8 jours pour le dĂ©cĂšs d'un enfant ou d'une personne Ă charge de moins de 25 ans voir ci-dessous peut ĂȘtre pris dans l'annĂ©e qui la durĂ©e de l'absence La durĂ©e lĂ©gale autorisĂ©e du congĂ© varie selon le type d' ou remariage du salariĂ©4 joursConclusion d'un pacs par le salariĂ©4 joursNaissance ou adoption pour un mĂȘme salariĂ©, cumulables avec le congĂ© de paternitĂ©, mais pas avec un congĂ© de maternitĂ© ou d'adoptionAu 1er juillet 2021 le congĂ© de naissance court, au choix du salariĂ©, le jour de la naissance ou le 1er jour ouvrable qui suit ;y sont Ă©ligibles le salariĂ© pĂšre, conjoint, concubin de la mĂšre ou liĂ© Ă elle par un joursMariage ou remariage de son enfant1 jourDĂ©cĂšs du conjoint mariĂ©, concubin ou pacsĂ©3 joursDĂ©cĂšs d'un enfant de 25 ans ou plus5 joursDĂ©cĂšs d'un enfant lui-mĂȘme parent, quel que soit son Ăąge7 joursDĂ©cĂšs d'un enfant de moins de 25 ans voir Ă©galement ci-dessous7 joursDĂ©cĂšs d'une personne de moins de 25 ans Ă la charge effective et permanente du salariĂ© voir Ă©galement ci-dessous7 joursDĂ©cĂšs du pĂšre ou de la mĂšre 3 joursDĂ©cĂšs d'un frĂšre ou d'une soeur 3 joursDĂ©cĂšs du beau-pĂšre ou de la belle-mĂšre entendus seulement comme les parents du conjoint3 joursAnnonce de la survenue d'un handicap chez un enfant2 joursAnnonce de la survenue d'un cancer ou d'une pathologie chronique et Ă©volutive chez un enfant2 joursNotez-le Depuis le 1er juillet 2021, les jours pour Ă©vĂ©nements familiaux sont des jours ouvrables. Seule l'absence pour dĂ©cĂšs d'un enfant ou personne Ă charge de moins de 25 ans ou d'un enfant lui-mĂȘme parent, se dĂ©compte en jours procĂ©dure particuliĂšre n'est prĂ©vue pour formaliser votre rĂ©ponse. L'accord peut ĂȘtre tacite, verbal ou Ă©crit. En cas de refus, pour Ă©viter tout litige, vous pouvez prĂ©ciser par Ă©crit que vous n'avez pas Ă©tĂ© informĂ© ou que vous vous opposez aux dates retenues par le salariĂ© hors dĂ©lai raisonnable.CongĂ© pour enfant atteint d'un cancer ou d'une pathologie chroniqueĂ effet du 19 dĂ©cembre 2021, ce congĂ© est accordĂ© aux salariĂ©s, sur prĂ©sentation d'un justificatif. Aucune condition d'anciennetĂ© n'est requise. Le salariĂ© peut en faire la demande par tout moyen. Un accord collectif peut toutefois imposer des modalitĂ©s particuliĂšres. Ce congĂ© a une durĂ©e minimale de 2 jours ouvrables, pouvant ĂȘtre augmentĂ©e par accord d'entreprise ou, Ă dĂ©faut, de pathologie doit ĂȘtre chronique, Ă©volutive, avoir un fort retentissement sur la vie quotidienne et nĂ©cessiter un apprentissage congĂ© n'entraĂźne aucune rĂ©duction de la rĂ©munĂ©ration et est Ă©galement assimilĂ© Ă du temps de travail effectif pour la durĂ©e des congĂ©s lĂ©gal de deuil de 8 jours pour le dĂ©cĂšs d'un enfant ou d'une personne Ă charge de moins de 25 ansEn cas de dĂ©cĂšs de son enfant de moins de 25 ans ou d'une personne Ă sa charge effective et permanente de moins de 25 ans, le salariĂ© a droit, en plus du congĂ© de 7 jours, Ă un congĂ© de deuil de 8 jours, qui peut ĂȘtre fractionnĂ©. Il peut le prendre dans les 12 mois qui suivent le dĂ©cĂšs, et doit vous informer au moins 24 heures avant chaque congĂ© de deuil peut ĂȘtre fractionnĂ© en deux pĂ©riodes, d'au moins 1 journĂ©e chacune. L'indemnisation est fractionnĂ©e de la mĂȘme perçoit pendant la durĂ©e du congĂ© des indemnitĂ©s journaliĂšres de la SĂ©curitĂ© sociale, sous rĂ©serve de cesser son activitĂ©, dans les mĂȘmes conditions qu'un congĂ© de maternitĂ©, complĂ©tĂ©es par l'employeur en vue du maintien de salaire. Celui-ci est subrogĂ© dans les droits du salariĂ© aux indemnitĂ©s indemnitĂ©s ne sont pas cumulables avec celles versĂ©es pour maladie, maternitĂ©, paternitĂ©, adoption, accident du travail ou la durĂ©e du congĂ© ne peut pas ĂȘtre imputĂ©e sur celle du congĂ© payĂ© les erreursLe rĂŽle des RPLes sanctions possiblesNotre conseilQuestions rĂ©ponsesVous ĂȘtes sur une version de dĂ©monstrationRĂ©volutionnez votre quotidien avec lâoffre ACTIV. Conçue pour vous accompagner de l'embauche jusquâau dĂ©part des salariĂ©s, la solution GĂ©rer le personnel ACTIV allie l'information synthĂ©tique des fiches pratiques Ă l'interactivitĂ© des procĂ©dures Lumio pour vous permettre de trouver rapidement des rĂ©ponses adaptĂ©es et personnalisĂ©es Ă votre dĂ©couvre l'offreModĂšles Ă tĂ©lĂ©chargerTableau rĂ©capitulatif des congĂ©s pour Ă©vĂšnements familiauxCongĂ© de maternitĂ© durĂ©esFormulaire de transmission des pĂ©riodes de fractionnement en cas de congĂ© de paternitĂ©Fiches associĂ©esTextes officielsC. trav., art. L. 1225-17 et suivants congĂ© de maternitĂ©, L. 1225-35 Ă L. 1225-36, D. 1225-8 et D. 1225-8-1 congĂ© de paternitĂ© et d'accueil du jeune enfant, L. 1225-37 Ă L. 1225-46-1 et R. 1225-9 Ă R. 1225-11 congĂ© d'adoption, L. 3142-1 et L. 3142-1-1 congĂ©s pour Ă©vĂ©nement familial, L. 3142-1, L. 3142-1-1 et D. 3142-1-1 congĂ© de deuilCSS, art. L. 331-3 et suiv. et D. 331-3 Ă D. 331-6 indemnisation des congĂ©s de maternitĂ© et de paternitĂ©, L. 331-9 et D. 331-6 indemnisation du congĂ© de deuil d'un enfant de moins de 25 ansCass. soc., 5 juillet 2017, n° les avantages accordĂ©s par la convention collective en cas de mariage doivent Ă©galement bĂ©nĂ©ficier aux salariĂ©s qui se pacsentArrĂȘtĂ© du 24 juin 2019 unitĂ©s de soins spĂ©cialisĂ©es pour la prolongation du congĂ© de paternitĂ© en cas d'hospitalisation immĂ©diate de l'enfantLoi n° 2020-692, du 8 juin 2020 et dĂ©cret n° 2020-1233, du 8 octobre 2020 augmentation des durĂ©es des congĂ©s pour dĂ©cĂšs d'un enfant et fractionnementLoi n° 2020-1576, du 14 dĂ©cembre 2020, art. 73, et dĂ©cret n° 2021-574, du 10 mai 2021 dĂ©compte en jours ouvrables des congĂ©s pour Ă©vĂ©nements familiaux, allongement du congĂ© d'adoption et du congĂ© de paternitĂ©, et rĂ©forme du congĂ© de naissance au 1er juillet 2021Loi n° 2021-1678, du 17 dĂ©cembre 2021 accompagnement des enfants atteints de pathologies chroniques ou de cancersLoi n° 2022-219, du 21 fĂ©vrier 2022, art. 25 assouplissement du congĂ© d'adoption
Bonjour Est-ce que quelqu'un peut il me renseigner sur le delai d'attente qu'il faut pour pouvoir tomber enceinte Ă partir de la date d'embauche, afi Plainte Ă l'administration X Veuillez
Peut-on tomber enceinte un mois et demi aprĂšs un rapport sexuel non protĂ©gĂ© ?Elodie, 30 ansLa rĂ©ponse de l'expertOn peut mettre en route une grossesse plusieurs jours aprĂšs un rapport sexuel non protĂ©gĂ©. En effet, les spermatozoĂŻdes peuvent attendre plusieurs jours que l'ovulation se produise, jusqu'Ă 5 ou 7 jours, maximum dĂ©crit. Pour savoir si l'on est enceinte aprĂšs un rapport sexuel, il faut faire un test de grossesse au plus tĂŽt 3 semaines aprĂšs le rapport sexuel Ă risque. Plus tĂŽt, le test ne serait pas fiable. Catherine SolanoMĂ©decinSes convictions Chacun doit ĂȘtre encouragĂ© Ă prendre en charge sa santĂ© physique et mentale car la mĂ©decine et les mĂ©decins ne peuvent pas tout, loin de lĂ . Et si tout le monde le faisait, les systĂšmes dâassurance maladie feraient du bĂ©nĂ©fice !ConformĂ©ment Ă nos conditions dâutilisation, les mĂ©decins ne sont pas habilitĂ©s Ă porter de diagnostic en ligne. Leur rĂŽle est dâĂ©clairer et de proposer des pistes de rĂ©flexion Ă lâinternaute ainsi que des Ă©lĂ©ments dâinformation sans pour autant poser de diagnostic prĂ©cis. Leurs rĂ©ponses sont gĂ©nĂ©rales et ne doivent en aucun cas, remplacer une visite chez votre mĂ©decin. Recevez chaque jour des conseils d'experts pour prendre soin de thĂ©matiques Le Mag SantĂ© Naturelle SantĂ© Pratique Nutrition Minceur Psychologie Bien-ĂȘtre *Votre adresse email sera utilisĂ©e par M6 Digital Services pour vous envoyer votre newsletter contenant des offres commerciales personnalisĂ©es. Elle pourra Ă©galement ĂȘtre transfĂ©rĂ©e Ă certains de nos partenaires, sous forme pseudonymisĂ©e, si vous avez acceptĂ© dans notre bandeau cookies que vos donnĂ©es personnelles soient collectĂ©es via des traceurs et utilisĂ©es Ă des fins de publicitĂ© personnalisĂ©e. A tout moment, vous pourrez vous dĂ©sinscrire en utilisant le lien de dĂ©sabonnement intĂ©grĂ© dans la newsletter et/ou refuser lâutilisation de traceurs via le lien PrĂ©fĂ©rences Cookies » figurant sur notre service. Pour en savoir plus et exercer vos droits , prenez connaissance de notre Charte de ConfidentialitĂ©.
Nousproposons en effet de rĂ©tablir un dĂ©lai raisonnable pour le jugement de la CNDA ainsi que le principe de collĂ©gialitĂ© de la dĂ©cision. Il a Ă©tĂ© fait rĂ©fĂ©rence au rapport dâinformation de Jean-Yves Leconte et Christophe-AndrĂ© Frassa, fait en 2012 au nom de la commission des lois.